L’agence de L’espace Info Energie du Plateau de Saclay lié à l’ADEME : l’ATEPSà ouvert le 1er février.
Lieu : Mairie de Saclay Bourg – 12, place de la Mairie
L’agence de L’espace Info Energie du Plateau de Saclay lié à l’ADEME : l’ATEPSà ouvert le 1er février.
Lors de la première réunion de MonSaclay Live, certains participants ont souhaité apprendre à créer des Groupes sur le Réseau. Voici une vidéo qui, je l’espère devrait leur mettre le pied à l’étrier.
Vingt et une personnes se sont réunies samedi 5 mars au restaurant l’Etoile de Saclay pour la première de MonSaclay Live, la réunion du réseau social MonSaclay.fr.
L’objectif était de réunir les membres et les contributeurs du site pour mettre en commun leurs expériences et faire évoluer le site.
Hervé Hocquard, maire de Bièvres, était présent car pour lui, « MonSaclay est un fantastique outil d’information et d’échange sur le Plateau. C’est le seul média vraiment neutre et non-partisan ».
De son côté Philippe Auger un Bièvrois et futur habitant de Saclay explique qu’il consulte le site pour se renseigner sur Saclay et pour y socialiser avant d’emménager en juin.
Les attentes des participants à MonSaclay Live sont à l’image du site : centrées sur une recherche d’information locale et sur un besoin d’échanger avec les membres d’une communauté d’intérêts ou d’idées.
« J’aime recevoir le résumé des derniers articles par emails », dit Danièle Guérin une habitante du Val d’Albian. « Le site me permet de m’informer aussi bien sur le développement du Plateau de Saclay que sur les activités des associations de la ville », ajoute Isabelle Leduc qui vit au Bourg et aimerait fédérer sur MonSaclay.fr les parents d’enfants scolarisés à Versailles pour, par exemple, faciliter le covoiturage.
Vianney Lecoart, un administrateur de MonSaclay.fr, explique qu’il est important pour faire évoluer le site, de comprendre les attentes des membres et les freins que peuvent rencontrer les utilisateurs.
Deux ans après son lancement, 365 articles ont été publiés et le site est consulté quotidiennement par 150 personnes en moyenne. Le référencement et la fréquentation de MonSaclay.fr sont excellents. Il faut par contre augmenter le nombre des contributeurs et des commentateurs.
Claude Duez, le responsable du comité de quartier du Bourg, s’interroge sur la façon de faire encore mieux connaitre le site auprès des Saclaysiens.
Nella Pacaud, maire honoraire de Saclay, se montre surprise que les associations et les clubs ne cherchent pas plus à utiliser le site pour promouvoir leurs activités et communiquer entre leurs membres au sein des forums.
Cette réunion a permis aux administrateurs de réaliser que pour beaucoup de participants, les avantages de la version 2 du réseau et l’intérêt des groupes ne sont pas encore bien compris. Il a donc été décidé de réaliser des vidéos de démonstrations et de simplifier au maximum le processus d’inscription au site.
« Je suis l’évolution du site depuis son début », dit Philippe Pascual qui vit au Val. « Aujourd’hui le site prend de l’ampleur et je pense qu’il peut jouer un vrai rôle pour faciliter l’emploi sur le Plateau. En tant que professionnel de ce secteur je me propose donc de réfléchir à ce nouveau service».
Après la réunion et un apéro qui a permis aux membres de mieux se connaitre, MonSaclay Live a été clôturée par un excellent dîner partagé par 11 membres à l’Etoile de Saclay.
Après vu le succès de cette soirée et les attentes des participants, une nouvelle réunion MonSaclay Live sera organisé avant l’été.
Un lecteur nous avait averti il y a quelques temps de nombreuses voitures sont forcées et parfois volé sur Saclay.
Cette nuit c’est le Grand C4 Picasso de mon épouse qui a été volé à l’angle de la rue Voltaire et Victor Hugo, au Val d’Albian.
Le gendarme qui à reçu notre déposition n’était nullement surpris. « Des professionnels écument le département de l’Essonne. Ils doivent avoir une commande de monospaces en ce moment, » dit le gendarme de la Brigade d’Orsay.
A chaque fois le mode opératoire est le même : la porte est forcée, un ordinateur est connecté sur la prise de diagnostique de la voiture et l’ordinateur de bord est réinitialisé pour permettre de démarrer avec une nouvelle clé.
« Ne vous faites pas d’illusion », dit le gendarme, « on ne retrouve jamais les véhicules ».
L’association Ainsi Danse organise ce samedi 5 mars un « concours de danse » à partir de 20h30.
En fait nous avons proposé à nos adhérentes de 10 ans et plus, d’inventer elles-mêmes une petite chorégraphie à plusieurs et de la présenter devant un jury.
Nous avons donc quelques courageuses qui se sont lancées dans l’aventure :
Ce qui est intéressant, c’est que presque tous les styles de danse que nous pratiquons au sein de l’association seront représentés.
Nous aurons :
Chaque chorégraphie dure entre 2 et 5 minutes, donc l’ensemble ne sera pas très long. Mais l’entrée est libre, si vous souhaitez venir les encourager…
Alors RDV ce samedi 5 mars, à partir de 20h30, dans la salle de danse, au gymnase du Val d’Albian.
par Baptiste Roux Dit Riche | Cleantech Republic | 02.03.11
Dépasser les exigences du « Grenelle 2 ». C’est l’objectif de la Société du Grand Paris qui présentait ce matin sa politique de développement durable pour son projet de métro automatique en Île-de-France. Un nouveau réseau dont les premiers tronçons doivent être mis en service dès 2018. En attendant les premiers coups de pioche, la Société du Grand Paris a déjà concrétisé, l’an dernier, ses bonnes intentions vertes par la réalisation d’une évaluation stratégique environnementale de son futur métro.

Précédant la phase de débat public du projet (30 septembre 2010 au 31 janvier 2011), cette étude avait pour objectif d’identifier l’ensemble des enjeux environnementaux liés à la construction du réseau. L’idée étant notamment de réfléchir sur le tracé et le mode de déploiement (aérien ou souterrain) du futur métro. « C’est la première fois en France qu’une évaluation stratégique environnementale était un pré-requis à la création d’un réseau de transport explique Florence Castel, Directrice du développement durable et de la qualité au sein de la Société du Grand Paris.
L’identification des enjeux environnementaux nous a notamment permis d’affiner le tracé, d’estimer la profondeur des tunnels et de définir l’emplacement de certaines gares ». Citons ainsi l’exemple emblématique du plateau de Saclay où une attention particulière a ainsi été portée à la protection des terres agricoles.
Samedi 5 mars 2011 à 19 heure MonSaclay.fr organise une réunion informelle au restaurant L’Etoile de Saclay.
Cette soirée sera l’occasion de permettre à ceux qui font le réseau MonSaclay.fr depuis maintenant un an et demi et à ceux qui veulent mieux utiliser le site d’apprendre à le faire et de se rencontrer lors d’une réunion suivie pour ceux qui le souhaitent d’un dîner.
Inscription (http://monsaclay-email.eventbrite.com)
…mais il ne reste que peu de places, alors réservez vite.
A samedi
Dimanche 27 février à 15 heures à l’initiative d’un collectif local et du réseau social MonSaclay.fr une quinzaine de personnes sont venus montrer leur soutient aux Roms du Petit-Clamart avant leur évacuation prévue dans les prochains jours.
M. Yves Doucet un habitant de Meudon très engagé auprès des Roms a évoqué des projets pour mieux héberger les Roms à l’avenir (voir la vidéo).
Le collectif animé par M. Doucet étudie en effet la mise en place d’une maîtrise d’Oeuvre Urbaine et Sociale (MOUS). Il y à déjà quarte MOUS Roms en Seine-Saint-Denis.
Le préfet des Hauts-de-Seine a décidé de faire évacuer et démanteler à brève échéance le campement précaire situé à Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine), entre la nationale 118 et le bois de Verrières, dans lequel s’abritent depuis un an une quarantaine de Roms de nationalité roumaine. On connaît la suite : emploi de la force publique pour déloger les occupants puis du bulldozer pour détruire le campement et « nettoyer »le terrain. Quant aux Roms, ils seront « renvoyés dans leur pays », en Roumanie.
Nous ne contestons pas les raisons invoquées par la préfecture pour justifier son action : occupation illégale du terrain, campement insalubre et potentiellement dangereux etc. Mais n’y a-t-il pas d’autre choix que la destruction du camp et l’expulsion des familles ?
On le sait bien, outre le traumatisme infligé aux familles et en particulier aux enfants, ceci ne règlera rien. Stigmatisés et maltraités en Roumanie, ils ne manqueront pas de revenir dans les mois, voire les semaines qui suivent. Déjà chassés de Meudon en 2008, puis de Clamart, la persistance de leur présence est la marque de leur volonté de s’établir dans notre pays. Des associations sont prêtes à les y aider, tant sur le plan matériel qu’en aidant à la scolarisation des enfants et à l’alphabétisation des parents.
On a su, dans le passé, éradiquer des bidonvilles en proposant de meilleures conditions d’hébergement ; on peut encore le faire aujourd’hui, à condition que les pouvoirs publics fassent le choix de l’intégration et non de l’exclusion.
Discriminés depuis toujours, ce sont des Européens « pas comme les autres » puisque nul ne leur reconnaît les droits que leur confère pourtant leur citoyenneté européenne. Si le cas des Roms doit bien évidement être traité au niveau européen et en particulier en Roumanie, la France se doit d’en assumer sa juste part et permettre à ceux qui en ont fait le choix de pouvoir vivre parmi nous dans des conditions dignes.
Jean Ganeval
Président de la Fédération des Hauts-de-Seine de la Ligue des droits de l’Homme
[email protected] – http://ldh92.voila.net
Section LDH de Châtenay-malabry
Section LDH de Clamart, Sèvres, Meudon
Enfants du Camp de Roms
La préfecture Préfet des Hauts-de-Seine a décidé de détruire le camp situé le long de la N118 (devant Usine Center).
Nous ne pouvons pour le moment rien faire de plus pour les Roms qui après destruction du camp vont être expulsés, alors montrons leur un peu d’humanité.
Venez nombreux pour leur dire qu’ils ne sont pas seuls.
Ensemble passons « Une heure de solidarité avec les Roms du Petit Clamart »
Pour vous garer en venant de Saclay, prenez la N118 direction Paris, puis la bretelle vers le Petit-Clamart et garez vous derrière les plots en plastique à droite, le long du terrain.
Communiqué de la préfecture des Hauts-de-Seine du 23/02/2011
Pourquoi le campement précaire de Châtenay-Malabry sera démantelé
Depuis plusieurs semaines, un campement précaire s’est constitué sur un terrain en bordure de la RN 118 sur la commune de Châtenay-Malabry. Ce campement, composé de cabanes en bois et de divers matériaux, est occupé par une quarantaine de personnes de nationalité roumaine.
Le 23 février 2011 le Préfet des Hauts-de-Seine a reçu, à leur demande, [ndlr et grâce entre autre aux articles de MonSaclay.fr] deux responsables de la Ligue des Droits de l’Homme de Meudon et de Chatenay (accompagnés de Michèle CANET, conseillère générale du canton de Châtenay-Malabry), qui sont venus le sensibiliser à cette situation et lui demander quelles perspectives il envisageait pour régler ce dossier.
Le Préfet a rappelé que ce campement s’est installé sans autorisation sur un terrain appartenant au Conseil général de l’Essonne. Cette installation pose d’abord un important problème de sécurité car elle est située en bordure d’un axe routier très fréquenté.
Cette proximité crée un risque d’accidents à la fois pour les occupants qui traversent régulièrement les voies pour accéder au campement et pour les automobilistes. Le niveau accidentogène du campement est élevé. Le Préfet a également insisté sur le fait que ce campement pose des problèmes d’hygiène et de salubrité publiques.
Il n’y a ni eau, ni électricité, les détritus s’amoncellent et les occupants utilisent des systèmes de chauffage de fortune multipliant ainsi les risques d’incendies. Enfin, le campement est occupé par des personnes qui se maintiennent irrégulièrement en France et qui sont donc en infraction au regard des règles de séjour des étrangers.
A ce titre, le Préfet des Hauts-de-Seine a déjà notifié 31 obligations de quitter le territoire français. Il a également rappelé que 5 occupants ont été interpellés en flagrant délit de cambriolage dans des pavillons proches et ont été expulsés. Comme ce terrain ne relève pas de la réglementation sur les aires de stationnement des gens du voyage, il sera évacué et démantelé dans un délai rapproché pour mettre fin à ce trouble à l’ordre public.
Source : http://www.challenges.fr par Irène Inchauspé
Le rapprochement des universités et des grandes écoles n’est qu’une première étape. « Il faudra ensuite les fusionner », affirmait René Ricol, commissaire général à l’investissement, le 27 janvier aux Matins HEC-Challenges, donnant en exemple ce qui se passe aux Etats-Unis. « Ceux qui connaissent bien le système ne se contentent pas de savoir que vous avez fait Harvard, ils vous demandent tout de suite quel collège », rappelle-t-il.
HEC pourrait ainsi devenir le business college du pôle d’excellence de Saclay. Une telle fusion permettrait, en totalisant plus d’étudiants, d’être plus visible à l’étranger. Pour intégrer ces grandes écoles, le commissaire général à l’investissement note que « les jeunes sont moins tentés aujourd’hui par les classes préparatoires, ils n’ont plus envie de passer deux ans de leur vie enfermés à travailler ».
Ils sont de plus en plus nombreux à choisir plutôt de passer par l’université en faisant un master. Ce dont se félicite René Ricol, très critique à l’égard de l’élitisme français. Il regrette que l’on mette les élèves en compétition dès les classes primaires. Si cela continue, « nous risquons d’avoir autant de suicides qu’au Japon », prévient-il.
Source : Le Parisien, FLORENCE MÉRÉO | Publié le 21.02.2011
En Essonne, la campagne recule.Chaque année, des terres agricoles disparaissent pour laisser place à des logements, des zones d’activité ou des routes.
Il fait la promotion du terroir et vante les charmes des terres agricoles. Mais alors que le Salon de l’agriculture bat son plein cette semaine à Paris, l’Essonne continue de voir disparaître ses champs comme peau de chagrin. Depuis 1999, le département perd en moyenne chaque année un peu plus de 350 ha de culture, soit l’équivalent de… près de 500 terrains de foot! Une tendance qui s’accélère. Depuis cinq ans, on flirte même avec les 370 ha de terres cultivables perdues sur les 90673 ha que compte le département.
En contrepartie, l’habitat individuel gagne plus de 860 ha par an en grignotant les champs donc mais aussi les friches, les zones activités, les espaces naturels non cultivées… La campagne s’éloigne pour laisser place à la ville, ses habitations, ses entreprises, ses routes.
« Vu comme cela, ces chiffres paraissent plutôt raisonnables, concède Christophe Dion, conseiller régional pour la chambre d’agriculture, mais le grignotage des terres risque de s’accentuer d’un coup avec l’arrivée du Grand Paris. Rien que sur le Plateau de Saclay (NDLR : qui doit devenir un pôle scientifique et économique d’envergure mondial), on pourrait perdre plusieurs centaines d’hectares de terres. » Le texte de loi du Grand Paris promet pourtant de conserver 2300 des 2800 ha de parcelles paysannes qui restent sur le Plateau. Mais l’urbanisation mettrait automatiquement d’autres cultures en danger puisque, selon la chambre de l’agriculture : « Les nouvelles infrastructures, notamment routières, rendent la circulation des engins quasi impossible. Et sans tracteur, pas d’activité. »
Plus au sud, un autre projet, plus modeste, risque de venir grignoter les terrains existants. A Mauchamps, l’extension de la base logistique d’Intermarché est quasiment actée. L’emprise foncière, c’est-à-dire le terrain où s’étale le site, doublera sa surface, passant de 25 à plus de 50 ha répartis sur Mauchamps, Chamarande et Boissy-sous-Saint-Yon. Dans le Val d’Orge, le développement de la base aérienne (qui va fermer l’an prochain) pourrait aussi causer la disparition de terres agricoles.
« Il ne faut pas oublier qu’une zone d’activités crée de l’emploi. Si des entreprises s’installent, c’est parce que l’urbanisation a déjà eu lieu et que cela induit de nouvelles infrastructures et entreprises. C’est un vrai confort pour les nouveaux habitants de ne pas avoir deux heures de transport pour aller travailler », plaide de son côté Gérard Huot, le président de la chambre de commerce et d’industrie (CCI). « L’agriculture aussi développe de l’économie, peut-être en nombre moindre mais toute aussi importante. Et elle permet de maintenir une vraie politique de développement de territoire et de projet écologique », rétorque la chambre d’agriculture.
Dimanche 27 février 2011 à 14 h30.
Salle Delavaux, la maison de quartier de Porchefontaine,
86 rue Yves le Coz
VERSAILLES
Tous les fonds récoltés seront intégralement reversé à l’association Verticale.
Créée en 1991, Verticale est une association loi 1901 composée d’une quarantaine
de membres actifs tous bénévoles. Son président Roger PHILIBERT (70 ans),
lui-même paraplégique depuis l’âge de 26 ans, y consacre sa vie depuis 20 ans.
Pourquoi ?
– Parce qu’en France 40 000 personnes sont devenues paraplégiques ou tétraplégiques à la suite d’un accident de la circulation, du travail, du sport ou autre.
– Parce que chaque année 1 500 personnes sont condamnées au fauteuil roulant dont 55 % de jeunes de moins de 25 ans.
– Parce que des hommes et des femmes se battent pour faire avancer la recherche.
Son but
Apporter un soutien financier à la recherche médicale sur les traumatismes de la moelle épinière
Le Ladies’ Circle France est un club service 100 % féminin dont les membres partagent les mêmes valeurs. Les clubs se rencontrent régulièrement, et à travers des actions culturelles, sociales ou sportives récoltent des fonds pour des associations à buts humanitaires, locales ou nationales. De plus, une action service nationale à laquelle chaque club participe, est votée en Assemblée Générale.
Nous vous attendons très nombreux !
A compter du 1er janvier 2011, la crèche privée était censée accueillir (entre autres !) 5 des 10 enfants saclaysiens jusqu’alors accueillis par la crèche parentale.
Mais comme cela était prévisible, les travaux ont pris du retard, et l’ouverture de la crèche privée a successivement été reportée de fin décembre à mi-janvier, puis de mi-janvier à mi-février, et l’on parle maintenant « d’après les vacances ».
Heureusement, malgré les craintes qui planent sur sa pérennité, la crèche parentale n’a pas (encore ?) fermé : elle a donc pu prolonger jusqu’à mi-février les contrats de 4 enfants en attente de place dans la crèche privée, permettant ainsi à leurs parents de ne pas se trouver sans moyen de garde pendant plusieurs semaines.
Mais une question demeure : qui la Mairie subventionnera-t-elle pour l’accueil ces petits saclaysiens de janvier à mi-février ?
La crèche privée, non encore ouverte, qui n’a pas fourni la prestation de garde pour laquelle la Mairie devait la subventionner – ou la crèche parentale qui l’a fournie, mais qu’on songe à dépouiller de toute subvention locale ?
La crèche parentale et les familles qu’elle a ‘dépannées’ ont soumis la question à la Mairie – elles attendent sa réponse !
Préparation d’un nouveau jardin près de la mare du Tonkin
Le Service Technique de Saclay aménage en ce moment les abords de la marre du Tonkin au Val d’Albian.
La construction de nouvelles maisons sur la Zac du Val d’Albian a eu l’effet bénéfique de voir la ville et les bénévoles se mobiliser pour rendre le secteur de la mare du Tonkin plus agréable pour les promeneurs et les nouveaux habitants.
L’hiver dernier la chapelle a été rénovée et son terrain nettoyée. Puis la ville a fait curer la mare et rénover ses berges.
Le responsable du service technique de Saclay, Jean-Marc Duval, prépare l’aménagement du terrain situé à gauche du chemin menant de la chapelle à la mare. « Les piquets plantés sur la pelouse nous servent de repères pour aménager un jardin sur ce terrain », dit-il.
« Le travail commencera dès que le temps le permettra, au plus tard dans un mois. Nous prévoyons trois semaines pour tracer les sentiers et planter les végétaux». De très nombreux petits piquets ont fleuri sur l’herbe de la pelouse. « Nous traçons par exemple un sentier de promenade et avons marqué l’implantation des bosquets. Graminées, feuillus, caduques… La bioversité est assurée.
Le comité de soutien des Roms 92 sud nous communique les informations suivantes :
Mercredi 9 février la police a notifié à 35 Roms de quitter le territoire sous un mois.
Mercredi 9 février notification par la police
Depuis, les événements semblent se précipiter.
Ce matin, jeudi 10, trois personnes en civil sont passés dire aux Roms du Petit-Clamart que leurs cabanes seraient détruites demain matin (vendredi), ce qui revient à une expulsion de fait.
A la connaissance du comité de soutien il n’y a pas trouble à l’ordre public.
D’autre part le comité s’est assuré qu’il n y a pas eu d’acte extra judiciaire demandant l’expulsion du terrain, propriété du Conseil Général de l’Essonne
Le comité de soutien des Roms encourage tous les citoyens à contacter la préfecture du 92 pour demander à ce que les Roms puissent continuer à vivre en paix sur ce terrain tant que l’ordre public est respecté.
MonSaclay publie le texte du communiqué de presse d’Hervé Hocquard (Maire de Bièvres, Conseiller régional d’Ile-de-France et Administrateur représentant les maires de l’Essonne au CA de l’Etablissement Public Paris Saclay)
Hervé HOCQUARD déplore l’intervention du Cécile DUFLOT ce 10 février devant l’assemblée régionale au nom du groupe EELV.
Devant l’assemblée régionale ce 10 février, Madame DUFLOT a dénoncé l’accord passé entre la Région et l’Etat et comparé le Président HUCHON à Don Quichotte. Hervé HOCQUARD regrette ce déni hallucinant des progrès considérables que la mise en œuvre de ce protocole doit apporter aux conditions de transports des Franciliens, à court et à moyen terme. Il déplore le manque de respect du groupe EELV pour le Président HUCHON et note la profonde désunion de la majorité régionale sur un dossier pourtant crucial.
Le groupe EELV a réaffirmé son opposition au tronçon de métro Massy-Saclay-Saint-Quentin en-Yvelines-Versailles en alléguant que les élus locaux unanimes y sont opposés. Hervé HOCQUARD dénonce cette opposition qui voudrait condamner étudiants, universitaires et chercheurs à utiliser des transports inefficaces (bus ou tram), favorisant en cela le développement de l’automobile. Il constate, au contraire de ce que Madame DUFLOT avance, qu’une très large majorité des maires concernés, ainsi que le Président du Conseil général de l’Essonne réclament ce métro. Ceux qui ne le réclament pas n’en réfutent pas la pertinence à terme.
Au cours de cette séance, Valérie PECRESSE, au nom du Groupe Majorité Présidentielle, s’est félicitée de cet accord historique. Elle a loué l’esprit de responsabilité du Président HUCHON et rappelé que depuis le début, le groupe Majorité Présidentielle appelait au rapprochement qui s’est opéré. Elle a aussi réaffirmé l’engagement de l’Etat à réaliser seul le tronçon de métro souterrain Massy-Saclay-Saint-Quentin-en-Yvelines-Versailles que refuse le groupe EELV, dans le respect absolu de la sauvegarde d’au moins 2 300 hectares de terres agricoles sur la plateau de Saclay. Toutes les économies modernes qui développent un grand campus universitaire commencent par assurer sa desserte par un transport rapide et efficace.
Contact : Stéphan Sabathé
01 69 35 15 52 – [email protected]
Contact : Stanislas Berteloot [email protected]












