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Manifeste étudiant pour la préservation du site de Grignon

Fév 28, 2022

Je relais ici un message d’étudiants AgroParisTech

Nous sommes la communauté étudiante de l’école de formation d’ingénieurs du vivant et de l’environnement AgroParisTech et nous nous mobilisons pour la préservation du domaine de Grignon sur lequel se trouvent les bâtiments historiques de l’école, des terres agricoles ainsi qu’une biodiversité remarquable. En effet, suite à l’annonce du déménagement d’AgroParisTech et de la plupart des unités de recherche de Grignon sur le Plateau de Saclay, il a été décidé de privatiser le domaine de Grignon et une première procédure d’appel d’offres a été lancée de mars 2020 à mars 2021. 

Voici le lien vers la pétition

Pour rappel, cet appel d’offre a suscité de vives réactions de la part de la communauté AgroParisTech, notamment par les étudiants qui ont entrepris un blocus du domaine pendant le mois de mars 2021 ainsi que d’autres manifestations (soutenu par Gérard Larcher, Yannick Jadot ou encore Jean-Luc Mélenchon). Finalement, c’est le promoteur immobilier Altarea-Cogedim qui fut le lauréat avec un projet de transformation totale du site. Les mois qui suivirent furent ponctués de manifestations et de révélations faites par les médias, et en novembre 2021 le ministère annula le processus de vente.


Un nouvel appel d’offres sera publié au second semestre 2022. Bien que nous, la communauté étudiante, ne disposions pas des ressources pour porter un dossier complet dans ce processus, nous avons souhaité définir un ensemble de valeurs pour l’avenir du site de Grignon en cohérence avec les enjeux du siècle et faire valoir ce point de vue aux autorités décisionnaires. Le manifeste en pièce jointe est né de cette réflexion. Conçu dans une volonté de démocratie participative, il a ainsi mobilisé 70 d’entre nous, et comptabilise à ce jour quasiment 600 signatures d’étudiants et d’étudiantes d’AgroParisTech. 


Nous vous écrivons donc pour vous informer que le 28 février prochain, ce manifeste sera publié sur notre site web sauvonsgrignon.fr ainsi que sur la plateforme change.org afin de pouvoir recueillir le soutien de tout un chacun. Il aura vocation à être diffusé dans les sphères estudiantines, les associations, auprès des élus locaux, des autorités décisionnaires, mais aussi auprès de chaque citoyen et citoyenne, et dans la presse. L’objectif est de fédérer toute personne ou structure volontaire autour des valeurs communes qui y sont exprimées, à savoir la conciliation des activités humaines avec la préservation du vivant. 

Manifeste Agroparistech
Télécharger le PDF du Manifeste


Nous nous tenons à votre disposition,


Bien cordialement,
Xavier Dworniczek
3ème année d’école d’ingénieur agronome
Domaine de spécialisation : gestion des milieux naturels
AgroParisTech-Nancy
06 41 67 53 88Répondez-moi à cette adresse mail : [email protected] 

Université

Création d’une chaire Achat Public au sein de la Fondation de l’Université Paris-Saclay

Jan 8, 2020

Jean-Marc Peyrical, Président chez Association pour l’achat dans les services publics, annonce la création d’une chaire Achat Public au sein de la Fondation de l’Université Paris-Saclay.

« Cette chaire, dont j’ai l’honneur d’assurer la direction, va abriter des activités de recherche, de formation initiale et continue mais aussi d’information dans un domaine particulièrement riche et en constante évolution, elle sera la marque d’une excellence dans la réflexion et l’apprentissage, via un mécanisme de financement participatif à la fois novateur et porteur dans un milieu, celui de l’Université, où les solutions alternatives au financement classique sont une nécessité ».

Agenda, Paris-Saclay, Université

L’édition 2016 du tournoi des jeunes mathématiciennes et mathématiciens accueillie à l’X

Mai 14, 2016

logo polytechniqueLe Tournoi français des jeunes mathématiciennes et mathématiciens (TFJM2) fondé en 2011 aura lieu du samedi 14 mai au lundi 16 mai 2016 sur le campus de l’École polytechnique et de l’ENSTA ParisTech. Organisé par le laboratoire de mathématiques de l’École polytechnique et l’association Animath, il est l’étape française du tournoi international « International Tournament of Young Mathematicians ».

Ce tournoi est destiné aux élèves de lycée qui participent par équipe de 4, 5 ou 6 élèves, encadrés par deux doctorants ou chercheurs. Les participants ont trois mois pour résoudre des problèmes très difficiles puisqu’ils n’admettent, à la connaissance du jury, pas de solution complète.

Le TFJM2, à la différence des autres Olympiades de mathématiques, offre aux élèves une expérience qui n’a rien à envier à ce qu’un vrai chercheur en mathématique fait au quotidien. Ainsi, pour la première fois, les lycéens français peuvent avoir un avant-goût de ce qu’est la recherche en mathématique, leur permettant de faire un choix bien informé de leur future carrière dans le monde des mathématiques, soient-elles pures ou appliquées.

Une nouvelle approche des mathématiques

Le TFJM2 poursuit de multiples objectifs visant à donner le goût des mathématiques et susciter des vocations scientifiques, y compris auprès des jeunes filles qui délaissent souvent les filières scientifiques. Il vise ainsi à donner aux élèves une approche des mathématiques différente, se rapprochant d’un véritable travail de recherche, à stimuler l’intérêt pour les mathématiques et leurs applications et à développer la pensée scientifique des élèves, leurs talents de communication, et leur capacité à travailler en équipe. Son format sur trois jours permet l’échange d’expérience entre enseignants, chercheurs et étudiants pour les inciter à envisager des études longues en sciences.

Un tournoi en pleine croissance

David Zmiaikou, X 2003, est à l’origine du tournoi, ainsi que de sa version internationale, l’ITYM (International Tournament of Young Mathematicians). Soutenu par d’autres polytechniciens et l’association Animath, le premier Tournoi International des Jeunes Mathématiciens a eu lieu en 2009 avec quatre pays représentés : Biélorussie, Bulgarie, France et Russie.

Créé en 2011 comme étape française de l’ITYM, le TFJM2 a connu un fort développement, notamment grâce au soutien financier de Cap’Maths et à l’implication de tous les établissements partenaires (École polytechnique, Université Paris-Sud, ENSTA ParisTech, fondation de Mathématiques Jacques Hadamard). Le tournoi est actuellement organisé par des élèves de l’École ainsi que des chercheurs et doctorants du Centre de Mathématiques Laurent Schwartz, laboratoire de mathématiques pures de l’École.

Ainsi, depuis cette année, sont organisés six tournois régionaux (Lyon, Toulouse, Strasbourg, Rennes et deux à Paris) permettant de distinguer les douze meilleures équipes nationales participant à la finale à l’École polytechnique.

Une compétition internationale

Le tournoi constitue un premier pas vers la compétition internationale. Il permet en effet de sélectionner les équipes françaises qui participeront à l’ITYM. Cette compétition, sur le même format, se déroule en anglais et est accueillie par différents pays : en 2016, elle se déroulera à Saint-Pétersbourg (Russie). Les équipes s’affronteront en deux tours. Les deux meilleures équipes seront sélectionnées pour participer à l’ITYM. En 2015, c’est une équipe française composée de Clara Ding, Alain Delaet, Cyril Cochon-Kerjan, Nicolas Fabiano, Henry Bambury et Pierre Godfard qui a remporté le tournoi.

Paris-Saclay, Université

L’EPPS signe avec un groupement de promoteurs pour réaliser 75 000 m2 mixtes, à Gif sur Yvette

Nov 2, 2015

Source : Immo Week

L’Etablissement public Paris-Saclay (EPPS) a signé une promesse synallagmatique de vente avec le groupement de promoteurs DReAM (mandataire)/Altarea Cogedim/Eiffage Immobilier/Vinci Immobilier, pour la réalisation d’un programme mixte de 75 000 m2 dans le quartier de Moulon, à Gif sur Yvette (91).

Ce programme comprend des logements en accession libre, sociaux et accession maîtrisée, une résidence étudiants, des commerces et équipements publics de proximité en pieds d’immeubles.

Le groupement d’opérateur est accompagné par un architecte référent (Atelier 2/3/4), un paysagiste (Land’Act), un assistant à maîtrise d’ouvrage urbain (CDU) et un bureau d’études environnemental (les ENR). En décembre, DReAM lancera une consultation de maîtrise d’œuvre par îlots, pour la première phase de réalisation et la sélection du lauréat interviendra au premier trimestre 2016.

Ce programme, dont la livraison est prévue en 2019, est situé dans le quartier de Moulon à proximité immédiate du futur lieu d’implantation de l’Ecole Normale Supérieure de Cachan et de l’Ecole Centrale Supélec. Il fait partie de la première tranche de réalisation de la zone d’aménagement concerté de Moulon qui accueillera notamment, à terme, 180 000 m2 de logements familiaux, 90 000 m2 de logements étudiants et 50 000 m2 de services, commerces et équipements dans ce quartier.

Environnement, Grand Paris, Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Université

Un réseau de chaleur pour Paris-Saclay

Sep 23, 2015

SourceObjectif Grand Paris Magazine» le 23/09/2015
Le campus urbain de Paris-Saclay recevra un nouveau réseau de chaleur et de froid d’ici fin 2016. Son point fort : la redistribution de l’énergie entre les différents bâtiments.

Le campus urbain de Paris-Saclay vient de prendre un nouveau tournant dans sa course à l’excellence. Si ce territoire de 570 hectares ambitionne de devenir l’un des pôles mondiaux de la recherche et de l’enseignement supérieur, il tente aussi de relever le défi de l’excellence énergétique à travers la création d’un réseau de chaleur et de froid pour les besoins en chauffage, eau chaude sanitaire, climatisation et rafraichissement.

Cette volonté s’est concrétisée le 22 septembre 2015 par la signature d’un contrat de Conception-Réalisation-Exploitation-Maintenance (CREM) entre l’Établissement public Paris-Saclay (EPPS) et les entreprises Idex Énergies et Egis. Ce groupement a remporté un marché s’étalant sur 7 ans, pour un montant de 51,7 millions d’euros. « Ce nouveau réseau s’intègre pleinement dans la stratégie de faire de Paris-Saclay un éco-territoire », explique Pierre Veltz, president-directeur général de l’EPPS. Le système alimentera tous les bâtiments du campus construits entre 2016 et 2022.

Une chaleur puisée à 700 mètres de profondeur
L’innovation de ce réseau réside dans la possibilité pour chaque bâtiment de donner la chaleur qu’il produit à d’autres immeubles mais aussi d’en recevoir. La principale source d’énergie proviendra de la nappe d’Albien, située à 700 mètres de profondeur et produisant de l’eau à 28 degrés. Au total, 60 % d’énergies renouvelables seront sollicitées via à cette boucle d’échange et de partage. « Nous mobilisons ainsi les énergies disponibles sur le territoire tout en développant un circuit de redistribution », affirme Thierry Franck de Préaumont, président du groupe Idex.Selon l’EPPS, cette solution aurait un impact carbone trois fois inférieur à un chauffage classique au gaz. Par ailleurs, les économies pour les abonnés avoisineraient un « coût global de l’ordre de 20 % ».

Un système de pilotage intelligent viendra en renfort du réseau de chaleur et de froid, qui devrait être mis en fonctionnement à la fin de l’année 2016. Les bâtiments livrés avant cette date disposeront d’une solution de chauffage alternative le temps de sa réalisation.Pour rappel, plus d’un million de mètres carrés de constructions sont attendus sur le secteur de Paris-Saclay, répartis sur le quartier de l’École polytechnique et sur celui de Moulon. En plus de l’implantation d’une vingtaine d’établissements d’enseignement supérieur dans les prochaines années, plus de 2 000 logements étudiants seront livrés d’ici 2018.

Paris-Saclay, Université

KAUFMAN & BROAD: REMPORTE UN PROGRAMME À GIF-SUR-YVETTE.

Août 28, 2015

Kaufman & Broad annonce avoir remporté les droits de construire un programme d’environ 200 lits au sein d’une résidence privée pour étudiants à Gif-sur-Yvette, au terme d’une consultation menée par l’Etablissement Public Paris-Saclay en partenariat avec la Fondation de l’Ecole Centrale Paris.

Située au coeur du quartier de Moulon, cette résidence sera à proximité directe des établissements d’enseignement supérieur (Centrale, Centrale-Supélec, ENS Cachan, Université Paris Sud) et des transports (gare Orsay-Gif).

« Ce quartier accueillera une grande diversité de programmes : logements familiaux, activités économiques, logements étudiants, commerces, services… », souligne le constructeur immobilier.

La résidence proposera aux étudiants des logements individuels et des logements en colocation de deux à quatre étudiants. Le début des travaux devrait avoir lieu en novembre 2016 et la livraison est prévue pour septembre 2018.

Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Université

Sou Fujimoto, Manal Rachdi Oxo et Nicolas Laisné à Saclay

Avr 2, 2015

Source : http://www.darchitectures.com/

L’École Polytechnique a désigné Sou Fujimoto Architects, Manal Rachdi Oxo Architectes et Nicolas Laisné Associés lauréats du concours pour la conception d’un bâtiment d’enseignements mutualisés sur le campus Paris-Saclay. L’équipe multidisciplinaire a été choisie pour réaliser à Palaiseau, à l’ouest du quartier de l’École Polytechnique, un bâtiment de 10 000 m² où seront hébergés des programmes pédagogiques mutualisés entre les établissements d’enseignement supérieur et de recherche de l’École Polytechnique, de l’Institut Mines-Télécom, d’AgroParisTech, de l’ENSTA (École nationale supérieure de techniques avancées), de l’ENSAE (École nationale de la statistique et de l’administration économique) et de l’Institut d’Optique (IOGS). Cette nouvelle construction devrait ouvrir ses portes en septembre 2018.

À l’issue du premier jury, quatre candidats étaient finalistes : Sou Fujimoto Architects, Atelier 2/3/4, Babin + Renaud, Chartier Dalix Architectes. « Le projet porté par le groupement Sou Fujimoto, Manal Rachdi Oxo architectes et Nicolas Laisné Associés, précise le communiqué de presse, a séduit par son ouverture sur le quartier, sa grande transparence et sa porosité avec un jeu sur les limites grâce à la présence de la toiture en débord, d’une grande façade vitrée et de végétation intérieure. »

Pour rappel, le plateau de Saclay accueille Grafton Architects pour l’Institut Mines-Télécom, OMA pour l’École Centrale, David Chipperfield pour l’École des Hautes Études Commerciales, Francis Soler, Emmanuel Combarel et Dominique Marrec pour le centre de recherche EDF, Renzo Piano pour l’École normale supérieure de Cachan, Brenac & Gonzalez pour le Centre de Physique Matière et Rayonnement, Du Besset – Lyon pour le futur bâtiment d’enseignement de la physique de l’Université Paris-Sud, et LAN et Vergély pour les 1000 logements étudiants dans la Zac de Moulon.

Sou Fujimoto, Manal Rachdi Oxo et Nicolas Laisné à Saclay - Crédit photo : dr -
Sou Fujimoto, Manal Rachdi Oxo et Nicolas Laisné à Saclay - Crédit photo : dr -
Sou Fujimoto, Manal Rachdi Oxo et Nicolas Laisné à Saclay - Crédit photo : dr -
Sou Fujimoto, Manal Rachdi Oxo et Nicolas Laisné à Saclay - Crédit photo : dr -
Sou Fujimoto, Manal Rachdi Oxo et Nicolas Laisné à Saclay - Crédit photo : dr -

 

Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Université

L’enseignement du français à l’École polytechnique labellisé Qualité français langue étrangère

Nov 5, 2014

Source: Communiqué de presse, 5 /11/2014

École polytechniqueLa commission interministérielle de labellisation a décerné à l’École polytechnique le label Qualité français langue étrangère le 17 juillet 2014. Ce label qualité FLE permet d’identifier et de promouvoir les lieux de formation avec une offre linguistique et des services de grande qualité. À travers son Département des Langues et Cultures et sa Direction des Relations internationales, l’École polytechnique mène une politique visant à renforcer le niveau des élèves en langues. Cette labellisation confirme les garanties d’excellence de son enseignement de français.

L’École polytechnique fait partie des 4 centres français labellisés Qualité FLE 3 étoiles cette année après avoir obtenu la note maximale sur l’ensemble des critères retenus : Formation et enseignement, Enseignants, Accueil, Locaux et Gestion.
Consolider le niveau des élèves en langue étrangère
Depuis plusieurs années, l’X mène une politique dont l’objectif est de consolider le niveau des élèves en langue étrangère. Un élève non francophone doit justifier d’un niveau de français situé entre B1 et B2 (selon le CECR) pour intégrer définitivement le cycle polytechnicien et d’un niveau C1 pour obtenir le diplôme d’ingénieur.

Le Département des Langues et Cultures de l’X dispense des cours de français aux étudiants non francophones du cycle polytechnicien ainsi qu’aux étudiants des programmes Masters et des programmes internationaux (soit entre 350 et 400 élèves par année académique). Les élèves polytechniciens bénéficient d’une formation intensive en français langue étrangère au début du cursus et de cours réguliers tout au long des 2e et 3e années.
Une équipe de 15 enseignants (4 maîtres de conférences et 11 chargés de cours) dispense les enseignements linguistiques mais aussi culturels dont les élèves internationaux ont besoin pour suivre leur cursus à l’École et pour mieux comprendre la vie culturelle, économique, politique et sociale de la France. Cette bonne intégration des élèves étrangers passe également par l’organisation chaque année de conférences (dans le cadre de la semaine des langues et celle de la Francophonie), de visites de musées, d’excursions et de sorties culturelles.

Le label Qualité français langue étrangère
Créé en 2007, le label Qualité français langue étrangère est le résultat d’une démarche d’assurance qualité engagée par trois ministères français : le ministère de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, le ministère de la culture et de la communication et le ministère des affaires étrangères et du développement international, membres de la commission interministérielle qui délivre le label.

Ce label permet de donner confiance aux publics et de les aider à mieux identifier et distinguer les centres d’apprentissage du français qui garantit des cours et des services de qualité. Le label Qualité FLE aide les établissements labellisés, les postes diplomatiques et le réseau français des instituts et des alliances françaises à prescrire une offre fiable de cours de français en fonction de la demande, des besoins du public et du profil des étudiants. Il propose également un accompagnement des centres dans le développement d’une démarche progressive d’amélioration de la qualité des services.

En savoir plus sur le label qualité FLE

Paris-Saclay, Université

L’École polytechnique, Keyrus, Orange et Thales créent une chaire pour former des Data Scientists.

Oct 15, 2014

La Secrétaire d’État à l’Enseignement supérieur et à la Recherche, Mme Geneviève Fioraso, a parrainé ce matin la signature de la chaire « Data Scientist » créée par l’École polytechnique, Keyrus, Orange et Thales, et portée par la Fondation de l’X. L’objectif de cette chaire est de soutenir des formations en sciences des données appliquées au Big Data pour répondre aux besoins croissants des entreprises.

Avec l’explosion du volume des données, le Big Data est devenu un enjeu technologique, économique et organisationnel pour les entreprises. Selon le cabinet Transparency Market Research, le chiffre d’affaires du marché du Big Data devrait connaître une croissance annuelle proche des 40% et passer de 8,9 milliards de dollars en 2014 à 24,6 milliards de dollars en 2016. En France, le marché du Big Data représentera près de 9 milliards d’euros en 2020 et plus de 130 000 emplois*. Alors que les entreprises sont confrontées à une pénurie de spécialistes en Big Data, la chaire Data Scientist soutiendra activement le développement de cette filière d’enseignement et de recherche au sein de l’École polytechnique.

Former la prochaine génération de « Data Scientists »
L’objectif de la chaire est de soutenir des formations en sciences des données appliquées au « Big Data » à travers une formation d’ingénieur, co-habilitée entre l’École polytechnique et Télécom ParisTech, afin de créer un nouveau vivier de recrutement pour les entreprises. La chaire soutiendra également des actions de formation continue, à destination de professionnels en activité. Le corps enseignant de cette chaire comprendra un professeur chercheur et un ingénieur système s’occupant de l’infrastructure informatique nécessaire à ce type de formation. Les partenaires mécènes Keyrus, Thales et Orange proposeront des stages et interviendront dans le cadre des formations, ils pourront également attribuer des bourses et participer aux remises de prix.

Une approche pluridisciplinaire
L’objectif de la chaire est aussi d’encourager des recherches innovantes et originales en sciences des données appliquées au Big Data. Les travaux associés à la chaire bénéficieront d’une collaboration forte entre informaticiens, mathématiciens appliqués et acteurs du monde économique. Les activités de recherche encouragées par la chaire porteront sur le développement d’algorithmes efficaces dans une approche pluridisciplinaire. Les travaux de la Chaire «Data Scientist» s’appuieront à l’École polytechnique sur le Centre de Mathématiques Appliquées (CMAP) et le Laboratoire d’informatique de l’X (LIX).

Eric Cohen, Président-Directeur Général de Keyrus : « Nous sommes très fiers d’avoir porté et soutenu cette grande initiative qui a éclos au sein du groupe Keyrus. Notre expertise du traitement et de la valorisation de la donnée, associée à notre connaissance de l’écosystème des technologies Big Data, nous a permis de détecter très tôt la nécessité de recruter de nouveaux profils à la fois scientifiques et techniques capables de répondre au défi des « Mégadonnées ». Pour ce faire, nous allons désormais soutenir la formation d’excellence à l’X, de futurs « Data Scientists » pour notre compte et celui de nos clients dans 15 pays. »

Selon Marko Erman, Directeur technique de Thales : « Thales est un acteur majeur de l’informatique décisionnelle, de la protection des données et du traitement en toute sécurité des données massives (Big Data) pour ses clients défense, sécurité, aéronautique, espace et transport. Pour Thales, cet accord permet de créer une nouvelle filière d’ingénieurs spécialisés et capables de faire le lien entre cette technologie nouvelle et les besoins du marché. C’est un profil qui n’existe pas aujourd’hui et qui répond parfaitement à la demande des entreprises. Cette chaire est une belle illustration de collaboration entre le monde académique et celui de l’industrie, profitant à la recherche, à l’innovation et à l’emploi. »

Commentant la création de cette chaire, Bruno Mettling, Directeur Général Adjoint en charge des Ressources Humaines d’Orange, a déclaré : « Nous sommes fiers d’être partenaire de cette chaire et de participer ainsi à la formation de la future génération de data scientists qui permettra aux entreprises technologiques et innovantes comme Orange de répondre à l’enjeu fort de développement des réseaux de données, au cœur de la nouvelle économie numérique.

* Point d’étape sur les 34 plans de la nouvelle France industrielle – juillet 2014

Info Citoyen, Paris-Saclay, Université

Linfluence déclinante de Polytechnique

Oct 2, 2014

Source: Le Monde, 01.10.2014

Défilé d'élèves de l'école polytechnique, le 14 juillet 2012, à Paris.

A quoi doit servir l’Ecole polytechnique dans la France du XXIe siècle ? Pour le député et rapporteur du budget de la défense, François Cornut-Gentille (UMP, Haute-Marne), il est urgent que l’Etat réponde à cette question et fixe une mission claire à la prestigieuse école d’ingénieurs.

Dans un projet de rapport présenté mardi 30 septembre devant la commission des finances de l’Assemblée nationale, le député déplore « l’inertie » et « la désinvolture » de l’Etat, qui n’a mené « aucune réflexion globale sur le rôle de l’école depuis plus de quarante ans ». « La difficulté de l’Etat à définir une stratégie et une ambition dans les domaines scientifiques, techniques et industriels depuis plusieurs décennies est source d’affaiblissement pour Polytechnique », prévient-il d’emblée.

Abandonnée, l’école dériverait vers un double écueil : « une banalisation » dans un contexte de mondialisation de l’enseignement supérieur qui pousse à la standardisation ; une « privatisation » par l’importance grandissante du financement privé.

PROBLÈME D’IDENTITÉ

Certes, l’établissement militaire de Palaiseau (Essonne) dispense un enseignement de haut niveau : « Avec la formation polytechnicienne pluridisciplinaire, écrit le député, la France dispose d’un atout majeur pour affronter ces défis du XXIe siècle. La capacité des élèves de l’X à appréhender un sujet sous plusieurs angles scientifiques leur donne une force d’analyse et de compréhension singulière. »

Pour autant, « la place et l’identité de l’école ne vont plus de soi ». L’Etat, en effet, n’est plus un acteur du développement du pays, et il n’a donc plus besoin d’ingénieurs de haut niveau. Seuls 17,5 % des 400 polytechniciens diplômés par an rejoignent aujourd’hui un grand corps de l’Etat. C’est donc vers le privé qu’ils se tournent.

Alors que les enjeux scientifiques sont omniprésents, « on assiste à la poursuite, voire à l’accélération de la perte d’influence de Polytechnique au sein de la haute fonction publique et de la sphère politique », observe M. Cornut-Gentille.

Lire la suite sur le site du Monde

Université

L’École polytechnique dévoile son nouveau site web

Sep 30, 2014

L’École polytechnique lance aujourd’hui son nouveau site Internet. En cohérence avec la nouvelle identité visuelle de l’École, il accompagne le projet de transformation dans lequel l’X s’est engagée depuis un an.

Le site web de l’École polytechnique a fait l’objet d’une refonte complète à la fois au niveau graphique et au niveau des contenus et du système de gestion.
Le design a été réalisé en collaboration avec l’agence BABEL, qui avait développé la nouvelle identité visuelle de l’École en décembre 2013. Ce nouveau graphisme, épuré et moderne, donne une large place à l’image. Le site a également été allégé afin de simplifier la recherche, la mise à jour et la lisibilité des informations pour les utilisateurs. Grâce à une ergonomie fluide, il permet une navigation optimisée facilitant l’accès aux données clés.

Organisés autour de sept thématiques, les contenus couvrent tous les sujets liés à l’École, mettant ainsi en valeur la richesse et la diversité des activités de l’X. L’utilisateur se voit proposer, en fonction de son profil (élève, candidat, alumni, enseignant…), un accès direct à des informations personnalisées.

En page d’accueil, un slide show invite le visiteur à découvrir les dernières actualités phares de l’École. L’espace « Salle de presse » a été enrichi : il centralise les communiqués de presse, les principaux évènements et supports de communication et permet de découvrir les partenariats presse.

Conçu en responsive design, le site s’adapte automatiquement à tous les écrans et répond ainsi aux nouveaux usages des médias digitaux. Plus largement, il s’intègre dans une stratégie web globale ayant pour vocation d’accompagner le développement de la présence de l’École polytechnique sur les réseaux sociaux.

Véritable vitrine de l’École polytechnique, le site web constitue un premier contact avec l’établissement et joue ainsi un rôle important dans son attractivité.

« Cette refonte s’inscrit dans l’ambitieux projet de transformation de l’École qui doit lui permettre de développer sa politique de marque et d’accroître sa visibilité et sa notoriété dans l’univers très concurrentiel de l’enseignement supérieur et de la recherche », souligne Jacques Biot, président de l’École polytechnique.

Entreprise, Info Citoyen, Paris-Saclay, Université

La Silicon Valley en direct de Paris ! Stanford Ignite – Polytechnique choisit la visioconférence pour sa formation d’excellence

Juin 4, 2014

Ce programme de formation professionnelle de format court offert aux scientifiques et ingénieurs européens de haut niveau bénéficiera des technologies de collaboration vidéo haute définition de Cisco pour la tenue de sa 2e session.

Ce programme, offert conjointement par l’École polytechnique et Stanford Graduate School of Business, l’un des meilleurs programmes de MBA au monde, se tiendra dans la région parisienne au cours de plusieurs week-ends étendus à partir du 25 septembre prochain. Les cours auront lieu dans les locaux de Cisco, le leader mondial des technologies de l’information, situés au cœur du quartier des affaires d’Issy-les-Moulineaux, à proximité immédiate de Paris et aisément accessibles en transports en commun.

La technologie au service d’une expérience d’apprentissage de première qualité

En plus des enseignements de haut niveau dispensés par l’École polytechnique et l’Université de Stanford autour des fondamentaux de la création d’entreprise, les participants auront à leur disposition des équipements technologiques de pointe. Ils pourront ainsi interagir en TelePresence avec des enseignants et des intervenants basés dans la Silicon Valley ou ailleurs dans le monde. Cette solution de vidéo conférence Cisco permet de recréer les conditions d’un échange en face à face depuis des sites distants dans des conditions optimales de son et de définition d’image. Les participants du programme Stanford Ignite – Polytechnique disposeront d’un étage entier au siège de Cisco comprenant plusieurs salles de réunion connectées et un auditorium de 100 places.

Un programme d’excellence qui encourage l’innovation

Depuis le lancement du programme en 2006 au cœur de la Silicon Valley, ce sont plus de 100 entreprises qui ont vu le jour, dont plusieurs à l’issue de la première édition française du programme en 2013.

Stanford Ignite – Polytechnique offre aux étudiants diplômés, aux entrepreneurs, aux scientifiques ou aux ingénieurs qui y participent les outils et connaissances nécessaires à la création d’entreprises performantes et au lancement d’initiatives innovantes. Son ambition première est de dispenser un enseignement de haut niveau, au travers de conférences, d’accompagnements et de mises en situation. À cet effet, les cours feront notamment intervenir le corps professoral de Stanford – Graduate School of Business et de Polytechnique, deux établissements de renom reconnus pour l’excellence de leur formation. Par ailleurs, des chefs d’entreprises de renom, des business angels et des venture capitalists interviendront au cours de cette formation afin de faire bénéficier les Igniters 2014 de leur expérience et de les conseiller sur leurs projets d’équipe.

Candidater au programme Stanford Ignite – Polytechnique

Cette nouvelle édition débutera le 25 septembre 2014 et s’organise en sept sessions réparties jusqu’en décembre 2014 et se déroulant du jeudi soir au samedi. Elle s’adresse à des étudiants de master, doctorat ou post-doctorat, ainsi qu’aux ingénieurs déjà en poste avec un fort niveau scientifique et diplômés d’une institution reconnue, désireux de participer, comme les participants de la précédente édition, à la croissance économique par l’entrepreneuriat, et l’innovation.
Les scientifiques et ingénieurs souhaitant postuler au programme peuvent envoyer leur dossier de candidature jusqu’au lundi 30 juin.

Ce dossier devra comprendre les éléments suivants : le formulaire en ligne rempli, un curriculum vitae et deux lettres de recommandation. Les frais d’inscription s’élèvent à 7 000€ et comprennent les documents pédagogiques, les repas et la participation aux événements se déroulant dans le cadre du programme.

Cliquer ici pour les inscriptions :
http://www.gsb.stanford.edu/programs/stanford-ignite/global-locations/paris

Le programme Stanford Ignite est également disponible à Bangalore (Inde), Santiago (Chili) et Pékin (Chine).

Agenda, Art, Bon plans, Info Citoyen, Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Université, Val d'Albian, Vallée de la Bièvre, Velizy

15 ans d’art contemporain à HEC

Mai 9, 2014

15 ans d'art à HECNous vous invitons à célébrer les 15 ans de l’Espace d’art contemporain HEC.

A cette occasion, nous inaugurerons

The Altar of Sacrifice

Les Frères Chapuisat

&

les réalisations 2014 de Vestiges Ephémères

parcours d’art contemporain

avec Laurence De Leersnyder, Sambre, Ludovic Sauvage et Kouka

Dimanche 18 mai 2014, à partir de 15h30 et jusqu’à 19h

Entrée libre

Campus HEC

1, rue de la Libération

78 350 Jouy-en-Josas

01 39 67 94 55

plus d’informations : [email protected]

www.hec.fr/espaceart

Agenda, Université

L’École polytechnique accueille le 3 mars le Campus Probono 2014

Fév 27, 2014

Lundi 3 mars 2014 de 9h00 à 19h00, les élèves polytechniciens co-organisent avec Pro Bono Lab l’événement Campus Probono Polytechnique. Pendant une journée, étudiants et salariés volontaires vont mettre leurs compétences au profit de trois projets dans des domaines variés. Les participants auront une journée pour se pencher sur la problématique concrète d’une de ces associations et pour y apporter une solution. Trois projets leurseront proposés :

 leka  Leka est une start-up qui développe des outils permettant aux enfants atteints d’autisme de communiquer, de s’intégrer, d’interagir et de s’épanouir. L’objectif sera de travailler en particulier sur le projet MOTI, une sphère interactive, robotisée et attentive à son environnement, se déplaçant de manière autonome. Il s’agit donc d’un projet d’intelligence artificielle qui demandera des compétences en apprentissage statistique, modélisation mathématique, électronique et robotique.http://weareleka.com/

 

 

carton

Carton Plein 75 est une association créée pour fournir une source d’activité et de revenus à des personnes éloignées du marché du travail et pour favoriser l’insertion sociale de ces personnes.  Ces actions sont menées en déployant une activité autour de la collecte, du tri et du conditionnement du carton ou detoute autre matière valorisable. L’objectif sera de  valoriser l’activité collecte/recyclage auprès des organisations, administrations et associations. Il s’agit donc d’un projet stratégique et marketing.http://cartonplein.org/

 

 

prakti

Prakti est une entreprise sociale qui entend remédier aux problématiques liées à la cuisson domestique dans les pays en développement. L’objectif sera de créer des fours rejetant moins de carburants tout en correspondant aux habitudes de cuissons des populations locales. Il s’agit donc d’un projet de modélisation numérique, qui fera appel à des compétences en  physique des fluides et en thermodynamique.http://praktidesign.com/

Cette initiative d’élèves polytechniciens s’inscrit dans une dynamique nationale portée par l’association Pro Bono Lab. Au total, durant deux mois, dix autres Campus Probono seront ainsi organisés comme à l’École polytechnique par d’autres étudiants dans d’autres grandes écoles et universités :

 

  • 14 mars : Campus Probono ESCP Europe
  • 21 & 22 mars : Campus Probono Epitech Overnight Challenge
  • 28 mars : Campus Probono EMLYON
  • 31 mars : Campus Probono ESPCI
  • 3 avril : Campus Probono ESSEC
  • 10 avril : Campus Probono HEC
  •  11 avril : Campus Probono GEM
  •  14 avril : Campus Probono La Sorbonne
  • 28 avril : Campus Probono EFB Les Défis Juridiques
  • 29 avril : Campus Probono Sciences Po Paris

 

Plus d’informations sur les événements sur www.campus-probono.fr.

Ecoles, Info Citoyen, Université

Choisir une école de commerce : Sophie Ledoux vous aide

Jan 22, 2014

Aujourd’hui et durant les deux prochains mois à Saclay comme dans la France entière, nos lycéens en classe de Terminale vont devoir émettre leurs vœux d’orientation sur le portail APB (Admission Post Bac).

Ça y est c’est décidé, ce sera une carrière commerciale ! Mais comment s’y retrouver avec le large éventail d’écoles proposées ?

Bon nombre d’entre eux vont devoir choisir leur école de commerce mais comment choisir le bon établissement ?

Avec ou sans prépa ? En 3 , 4 ou 5 ans ?  Labellisée ou pas… autant de questions que sont amenés à se poser nos jeunes étudiants ainsi que leur parents, bien souvent démunis face à l’ampleur de la tâche…

Sophie Ledoux

Conseillère en orientation, Psychologue installée sur le Val et sur Versailles, je vais tenter d’apporter quelques éléments de réponse à toutes ces questions.

Les écoles de commerce et management qui recrutent après Classe Prépa comptent parmi les plus prestigieuses et offrent les meilleures chances d’intégration au sein des plus importantes entreprises internationales : notre voisine HEC, ESC P, ESSEC…. Pour ne citer que celles-ci.

Le recrutement est draconien, toutes les CPGE adoptent la même politique d’attaque : ne retenir que les élèves pouvant justifier de 13 de moyenne générale avec une bonne homogénéité.

Si les résultats de vos enfants en cette année de Terminale n’ont pas été à la hauteur de vos espérances, il vous reste la possibilité d’intégrer une école de commerce accessible directement après le Bac par le biais des concours communs.

ecoles de commerce

Il est alors primordial de bien regarder certains critères tels que la reconnaissance de l’état et le visa du diplôme délivré.

Plusieurs concours communs existent qui regroupent une quarantaines d’écoles.

Le concours  Accès : 3 écoles reconnues par l’état, et délivrant un diplôme à bac +5 avec le grade de master.

Le concours Acces se présente comme une alternative au système des classes préparatoires et des ESC et comme une voie menant à de grandes écoles de management.

ESSCA Angers et Paris, IESEG Lille et Paris, ESDES Lyon

Le concours Sésame : 7 écoles toutes reconnues par l’état et de bon niveau.

Ces écoles offrent un parcours très international (au moins une année à l’étranger) et délivre des diplômes en 4 ou 5 ans.

BBA ESSEC  en 4 ans (ex EPSCI), CESEM Reims (4 ans), CeseMed (4 ou 5 ans), EBP International (5 ans), EM Normandie ( 5 ans), ESCE Paris, Lyon ( 5 ans) BSC in international Business (4 ans)

Le concours PASS : permet d’accéder aux écoles post bac en 4 ans des groupes EDHEC et INSEEC

Ces écoles délivrent un diplôme visé par le ministère de l’enseignement supérieur ; ce concours permet d’accéder à des Bachelors rattachés à des groupes d’écoles puissants et reconnus.

ESPEME Lille et Nice, ECE Bordeaux Lyon

Concours LINK : donne accès à trois grandes écoles de management internationales parisiennes visées par l’état.

EBS Paris, EDC Paris et ESG Management School.

Concours TEAM : permet d’accéder à des écoles de commerce et de management délivrant un diplôme Bac + 5, certains diplômes sont visés d’autres certifiés.

Toutes ces écoles appartiennent au groupe IGS : ESAM Paris et Lyon, IDRAC à Lyon, IDC Paris et Toulouse, ISTEC

Concours ATOUT + 3 : 8 écoles de commerce, diplôme Bachelor visé à Bac +3 par l’état.

Ecole Atlantique de Commerce Audencia Group Nantes, EM Normandie, EM Strasbourg, ESC Dijon, Grenoble Ecole de management, Groupe Sup de co La Rochelle, Novencia Business School Paris, Télécom Ecole de Management.

Il existe bien sur d’autres écoles à concours indépendant telles que EMLV , ESA Paris, ESCI, IPAG… 

Concours ECRICOME Bachelor : ce concours est organisé par la banque d’épreuves communes ECRICOME et donne accès aux programmes bachelor des 3 grandes écoles de management multi accréditées ( visés), à savoir Kedge Business School, ICN Business School et Néoma Business School.

Afin de mettre le maximum de chance de votre côté, et vous préparez dans les meilleures conditions, je vous conseille de vous exercer avec les annales des concours des années précédentes : par exemple consultation et téléchargement gratuits sur le site internet du concours TEAM, sur www.concours-acces.com

En ce qui concerne la procédure APB, uniquement les écoles du réseau Ecricome

Les inscriptions pour les écoles hors procédure APB ( la majorité) se font actuellement sur les divers sites internet des concours communs, les journées des concours se déroulent en générale courant Avril.Bachelor, EGC Bachelor et Atout +3 y recourent.

Pour les prépas, vous pouvez inscrire jusqu’à 12 vœux dont  maximum 6 par spécialisation sur APB.

Si  votre enfant rencontre certaines difficultés dans ses choix d’orientation, comme bon nombre d’adolescents et que les informations dispensées par son lycée ne sont pas adaptées à sa demande, pas de panique… je prends en charge les jeunes à partir de la 3ème et vous propose soit un bilan d’orientation  (250 euros) ou des séances de coaching lorsque le projet professionnel est mieux défini.

Sophie Ledoux

[email protected]

0620602699

 

 

Entreprise, Environnement, Info Citoyen, Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Transport, Université, Vallée de la Bièvre

7 prédictions pour le Plateau de Saclay en 2014

Jan 3, 2014

Trafic, agriculture, lieux privilégiés, sécurité, urbanisation, enseignement, prix de l’immobilier… Voici mes 7 prédictions pour le Plateau de Saclay en 2014.

Trafic

Avec l’urbanisation du Plateau et le développement du pôle d’emplois Vélizy, Inovel Parc, les problèmes de circulation et la saturation de la N118 vont empirer. Le tramway ne sera pas en place avant la toute fin d’année. En 2014, il faudra passer le nœud de Vélizy avant 6:20.

Agriculture

Protégée, au moins pour le moment, l’agriculture devrait bien se porter sur le plateau en 2014. Le défi restera cette année de protéger la communication entre les parcelles protégées et de préserver l’écosystème de l’agriculture. Attendez-vous à voir de plus en plus de produits bios cultivés dans les riches terres du plateau.

Lieux Privilégiés

Certains villages tirent mieux leurs cartes du jeu et Bièvres en est un bon exemple. Commerces de qualité (Cave d’O,  la boucherie Fillion…) et entrepreneurs innovants tels Véronique et sa librairie-restaurant le Mille Feuilles, Bièvres est un oasis aux portes de Paris. L’Abbaye de Saint-Louis du Temple – Limon à Vauhallan, sur le Plateau de Saclay va connaitre faire parler d’elle avec ses projets d’accueils.

Sécurité

Citoyens vigilants, mise en place de systèmes de sécurités, accords entre la police et les mairies, je m’attends à voir le nombre des cambriolages décroitre sur le plateau en 2014.

Urbanisation

De nombreux nouveaux bâtiments vont entrer en exploitation en 2014, entrainant circulation et consommation de proximité. De nouveaux restaurants et commerces vont voir le jour.

Enseignement

Le pari de Paris-Saclay est gagné et, de Polytechnique à HEC, les écoles du Plateau rayonnent internationalement. Un microcosme cosmopolite se crée sur le Plateau en 2014.

Prix de l’immobilier

Propriétaires réjouissez-vous le prix de votre bien ne chutera plus en 2014. Investir sur le Plateau de Saclay est une valeur sûre en 2014.

Environnement, Paris-Saclay, Transport, Université

Enquête sur la mobilité sur le campus Paris-Saclay

Déc 18, 2013

Les étudiants en deuxième année de l’école Polytechnique, mènent une étude sur la mobilité au sein du campus Paris-Saclay.

Il s’agit d’étudier la viabilité d’un système de mobilité partagée (type autolib, velib, site de covoiturage …) sur le campus de l’université Paris-Saclay qui va voir le jour en 2014.

Paris-Saclay s’inscrit dans le projet du grand Paris qui vise à mettre en relation les différents acteurs implantés dans cette zone géographique : entreprises, centres de recherche, établissements de l’enseignement supérieur.
Participez à cette étude en remplissant un très court questionnaire. Cela aidera les étudiant dans l’avancée de leur projet.
Lien menant au questionnaire

Ce projet est mené en collaboration avec Romain Beaume, Directeur de l’Institut de la Mobilité Durable à l’école Polytechnique, et le CRG (centre de recherche en gestion) de l’ENSTA.

Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Université

Pierre Veltz : l’avenir du Grand Paris

Déc 10, 2013
 Source : L’Express.fr Par Michel Feltin-Palas, publié le Président directeur général de Paris Saclay, Pierre Veltz est l’un des meilleurs observateurs du territoire français. A l’heure où le Parlement se penche sur l’avenir du Grand Paris, ce Mosellan enraciné le rappelle avec force : l’avenir du pays passe par celui de la capitale. Et tant pis si cela ne plaît pas à tout le monde.

"L'Etat s'est toujours méfié de Paris"

« Il existe en France une méfiance générale à l’égard des villes, qui trouve son paroxysme avec Paris, souligne Pierre Veltz. Ce n’est pas un hasard si la capitale n’a un maire que depuis 1977 et si ce maire ne dispose toujours pas des pouvoirs de police. »

Selon vous, les relations de Paris avec la France ont toujours été ambiguës…

Oui. Paris incarne l’Etat mais, en même temps, l’Etat s’est toujours méfié de sa capitale.

Cela paraît curieux…

Pas si l’on se souvient que toutes les révolutions sont parties de Paris : 1789, 1830, 1848… Sous la Seconde République, le suffrage universel a même été instauré dans le but de noyer le vote révolutionnaire des ouvriers parisiens dans la grande masse des électeurs de la France rurale ! Et cela a fonctionné : Louis-Napoléon Bonaparte a été élu et le Parti de l’Ordre a triomphé en 1849. Après la Commune de 1871, la IIIè République fera mieux encore en nouant une alliance avec les agriculteurs contre les villes. De ce point de vue, l’exaltation par Vichy de  » la terre qui ne ment pas  » n’est pas un accident de l’histoire, mais le résumé chimiquement pur de l’anti parisianisme français. Ce n’est pas un hasard si la capitale n’a un maire que depuis 1977 et si ce maire ne dispose toujours pas des pouvoirs de police, que l’Etat préfère garder sous son contrôle.
L’Etat se méfie-t-il seulement de Paris ?

Non. En France, il existe une méfiance générale à l’égard des villes. Sous l’Ancien Régime, déjà, le pouvoir crée ce que l’on a appelé à juste titre des  » villes d’Etat  » pour mieux contrôler les grandes cités commerçantes dont il redoute la puissance. Le Parlement de Bretagne est établi à Rennes, et non à Nantes ; le Parlement de Provence est installé à Aix et non à Marseille, etc. Cette détestation de la grande ville va s’amplifier après la Révolution, et pas seulement pour des raisons politiques. La droite française considère alors qu’elle fait peser un risque moral sur la société, en menaçant la famille et en isolant l’individu. S’y ajoutent des considérations hygiénistes : jusqu’à l’invention des égouts, on pensait sincèrement que la grande ville était ingérable. De fait, la France cultive une  » urbaphobie  » générale, qui trouve évidemment son paroxysme à l’égard de Paris, la ville des villes.

Et qu’en pensent les Français eux-mêmes ?

Eux aussi entretiennent une relation très ambiguë avec la capitale. Pour les Provinciaux, Paris est à la fois une source de fascination et de fierté _ la Ville Lumière _ et une cité que l’on déteste, parce qu’on croit qu’elle vit aux crochets du reste du pays. Il faut dire que, réciproquement, les Parisiens ont longtemps méprisé les Provinciaux .

Pourtant, nombre d’entre eux sont issus des autres régions…

Précisément. Ce sont souvent ceux-là qui faisaient preuve du plus grand dédain à l’égard des Provinciaux car ils voulaient faire oublier d’où ils venaient, montrer qu’ils étaient devenus de  » vrais  » Parisiens. Un peu comme ces Méridionaux  » montés à la capitale  » qui s’efforcent de parler pointu et se moquent de ceux qui ont gardé l’accent.

Est-ce ainsi que s’explique le succès de la formule  » Paris et le désert français  » ?

Oui. Ce titre d’un livre paru en 1947, sous la plume de Jean-François Gravier _ un Vichyste exalté _ va rencontrer un succès considérable, jusqu’à devenir le mythe fondateur de l’aménagement du territoire. L’idée selon laquelle il faut limiter la croissance de l’ogre parisien pour sauver le reste de la Nation est alors largement partagée.

Seulement pour des raisons idéologiques ?

Non. Cette conviction, à l’époque, s’appuie aussi sur des raisons objectives. Pendant l’entre-deux-guerres, le décalage entre Paris et les autres villes françaises s’est creusé. Par ailleurs, le patronat de l’époque souhaite quitter Paris, où se concentrent alors les industries, pour éloigner la menace du Parti Communiste, jugée trop forte dans la banlieue rouge. Cela tombe bien : après-guerre, la révolution agricole libère une main d’oeuvre très nombreuse et Pour les jeunes du monde rural, l’usine est alors synonyme d’ascenseur social, d’indépendance par rapport aux parents, d’accès à la modernité… C’est ainsi, par exemple, que la Normandie va accueillir des usines automobiles le long de la vallée de la Seine. Cette industrialisation rurale est à la base de la croissance des Trente glorieuses. Au fond, les seuls perdants de ce compromis social ont été le monde ouvrier parisien et les communes de banlieue, qui vont devenir aussi pauvres que leurs habitants.

En perdant son industrie, Paris ne perd-elle pas aussi de sa puissance?

Au contraire, car la capitale conserve toutes les fonctions de conception et de commandement, comme la recherche, les sièges sociaux, le marketing, etc.. Paris est plus que jamais la capitale industrielle du pays, sans les usines.

Selon vous, cette logique de  » Paris et le désert français  » ne serait plus opérante…

Non car elle repose sur une erreur fondamentale consistant à voir l’économie comme un jeu à somme nulle : ce qui est gagné par les uns serait perdu par les autres. C’est évidemment faux quand l’économie devient très internationale, comme c’est le cas après 1980 : les entreprises parisiennes ne délocalisent plus en province, mais… à l’étranger ! Par ailleurs, ce raisonnement méconnaît le phénomène de  » métropolisation « , qui va de pair avec la mondialisation.

En clair ?

Dans une économie de la connaissance, les grandes villes disposent d’un avantage considérable car c’est là que se concentrent les universités, les laboratoires de recherche, les centres d’ingénierie les sièges sociaux, les industries culturelles, etc. Dès lors, Paris n’est pas en concurrence avec Marseille ou Nantes, mais avec New-York, Tokyo, Londres ou Shanghai. Quand on a compris cela, on comprend qu’il ne faut surtout pas handicaper notre capitale. Car affaiblir Paris, ce n’est pas renforcer la Province, c’est affaiblir la France !

Vous osez même dire que Paris finance la Province…

Je reprends les conclusions de l’économiste Laurent Davezies, qui a calculé que l’Ile-de-France assure 30 % de la production française, mais capte seulement 20% des revenus . Ce qui signifie que Paris subventionne la Province, de deux manières. Par le biais des dépenses publiques et des transfert sociaux, d’une part. Par les retraites, les RTT, les vacances et la redistribution privée, d’autre part. Je nuancerais toutefois ses propos en ajoutant que Paris prélève les ressources humaines de la Province en attirant une partie de ses meilleurs étudiants.

Admettons que Paris tire le reste du pays. Comment faire en sorte que la richesse créée en Ile-de-France profite bien aux autres régions ?

De fait, la France fonctionne déjà comme une  » métropole en réseau « , une  » métropole distribuée  » où certaines grandes villes régionales connaissent d’ailleurs un dynamisme supérieur à celui de la capitale. ll faut que ce dynamisme métropolitain se diffuse, de proche en proche, dans les villes moyennes, les petites villes et les campagnes. On n’en est pas si loin. L’effet TGV, notamment, amplifie ce que l’on a observé au XIXè siècle avec le chemin de fer. Le réseau en étoile que l’on a constitué alors a certes renforcé Paris, mais il a aussi permis à la Province de bénéficier plus rapidement des innovations techniques et de s’ouvrir de nouveaux marchés.

En est-il de même aujourd’hui ?

Oui. Prenez la région Rhône-Alpes. Lyon et Paris fonctionnent en synergie. L’avenir de Saint-Etienne ou de Roanne est lié à celui de Lyon, et celui du Roannais à la bonne santé de Roanne . Tout est lié. Comme le dit le philosophe Michel Serres,  » la France est une ville dont le TGV est le métro  » . Il est vrai que certains territoires périphériques sont en grande difficulté, mais les espaces ruraux n’iront pas mieux si les villes sont affaiblies !

Si tous les Français ont intérêt à ce que Paris aille bien, que faut-il faire pour aider Paris ?

Il faut commencer par renforcer ses atouts, qui sont considérables. Songez à sa puissance: par son PIB, le Grand Paris serait à lui seul la 18è nation du monde, devant les Pays Bas ou la Suisse ! Paris possède aussi une économie hyper-productive : le PIB par actif y est supérieur de 50 % à la moyenne nationale ! Enfin, et peut-être surtout, Paris dispose d’un potentiel intellectuel formidable, avec environ 80 000 enseignants chercheurs. C’est autant que la Silicon Valley et bien plus que Londres ! Paris est la première ville universitaire du monde. Hélas, personne ne le dit…

Pourquoi?

Sans doute à cause de nos divisions . Tocqueville disait déjà :  » dès qu’il y a trois Français, ils créent trois groupes « . Et bien l’Ile-de-France, c’est le championnat du monde de la fragmentation municipale. Bertrand Delanoë s’oppose au transfert de l’école d’agronomie du centre de Paris à Saclay alors que, vu de Londres ou de Pékin, il s’agit du même site ! Des communes riches, n’appartiennent à aucune intercommunalité parce qu’elles veulent garder l’argent pour elles. On ne peut pas continuer comme cela car le Grand Paris est un tout. Et si c’est un tout, il n’y a pas de raison que le tas d’or sur lequel les Hauts-de-Seine sont assis grâce à La Défense ne profite pas à la Seine-Saint-Denis.

Cette division est-elle le seul handicap de Paris?

Hélas, non. J’en vois au moins quatre autres. Le premier, c’est la coupure avec la banlieue, symbolisé par le boulevard périphérique. A l’intérieur se concentrent les hauts lieux du pouvoir, de la science, de la culture. A l’extérieur, on a longtemps trouvé les industries polluantes, les usines d’incinération des déchets, le cimetière des indigents de Thiais et même la guillotine quand elle était en usage ! Cette coupure physique se double d’une coupure mentale. Comme l’écrit François Maspero,  » il y a plus perdu qu’un Provincial à Paris, c’est un Parisien en banlieue !  » Le résultat, c’est que les six millions de banlieusards sont encore plus ou moins des Parisiens de seconde classe.

Le second problème, ce sont les transports. Nous avons arrêté d’investir et nous avons mis trop longtemps à créer des liaisons de banlieue à banlieue, là où les déplacements explosent. C’est pourquoi le projet du Grand Paris Express est absolument indispensable.

Le troisième, c’est le manque de logements à des prix accessibles. Cette situation a des causes multiples, mais la principale est la suivante : de nombreux maires, qui contrôlent le foncier via le plan local d’urbanisme refusent de construire, sous la pression de leurs électeurs. Les Franciliens sont bien heureux que l’on ait bâti la maison ou l’appartement qu’ils occupent, mais ils ne veulent pas qu’on en crée pour les autres !

Le dernier problème, c’est la gouvernance…

Evidemment. Non seulement l’Ile-de-France connaît le même mille-feuille administratif que toutes les régions françaises, mais elle souffre d’une difficulté supplémentaire : l’absence d’un acteur fédérateur. Il n’y a pas ici l’équivalent du Grand Lyon ou du Grand Nantes, capables de définir une vision d’avenir et de gérer les problèmes à la bonne échelle. Reprenons l’exemple du logement. On compte 1300 communes en Ile-de-France : comment voulez-vous mettre tout le monde autour d’une table? Dans ce domaine, la seule solution consiste à retirer le pouvoir exclusif d’urbanisme aux maires pour le confier à l’échelon intercommunal.

C’est précisément l’objet de la métropole. Le dispositif examiné au Parlement vous convient-il ?

La formule proposée au départ par le gouvernement était intéressante. Pour simplifier, on obligeait toutes les communes à entrer dans des intercommunalités dignes de ce nom, comme Plaine Commune ou Grand Paris Sud Ouest aujourd’hui,et on créait une métropole fédérant ces intercommunalités.

Mais ce projet a été refusé par le Sénat

Oui, par une étrange alliance entre communistes et UMP. Les députés ont ensuite adopté un autre système, celui d’une intercommunalité unique regroupant les communes de la petite couronne. Ce projet est ambitieux et il a le mérite de mettre un coup de pied dans la fourmilière, mais il a trois énormes défauts.

Lire la suite et en savoir plus sur http://www.lexpress.fr/region/l-etat-s-est-toujours-mefie-de-paris_1306392.html#V68Aj6wTjkUmJjsK.99

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Agenda, Bon plans, Paris-Saclay, Université

CURIOSITas où comment faire dialoguer étudiants et artistes

Oct 5, 2013

Du 5 au 10 octobre 2013, se tiendra sur le Campus Paris Saclay la première édition de CURIOSITas : une manifestation originale visant à faire se rencontrer étudiants en sciences et artistes autour d’un projet de création. Au programme : des installations artistico-scientifiques, des concerts, des ateliers, un défilé de mode, une master class…

Souvenez-vous, le dialogue entre sciences et cultures était mis à l’honneur l’an passé sur le Campus Paris Saclay, dans le cadre des « Journées arts & sciences du Printemps de la culture ». Initiées par Paris-Sud, ces journées étaient organisées autour d’un mix de conférences et de manifestations culturelles conçues par des étudiants de cette université ou des collectifs extérieurs. « Leur vocation, rappelle Christian Jacquemin, coordinateur de ces journées, était de donner à entendre des témoignages de personnes qui œuvrent à ce dialogue entre arts et sciences. »

Lire la suite sur : Paris-Saclay 

Voir le site web de CURIOSITas et découvrez les visites virtuelles.

Lundi 7 octobre à 20h Batiment 201 rue ampère 91400 ORSAY

ne manquez pas le défilé interactif…

FDI COLLECTION 2014 from WAW PRODUKTIONS on Vimeo.

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de Saclay au bourg et au Val d'Albian et de l'ensemble des habitants du Plateau de Saclay. MonSaclay.fr est un blog d'entre-aide; un blog d'information citoyenne sur les
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