Christian Page actuel maire et unique candidat aux élections municipales, présentera son programme lors d’une réunion publique à la salle Lino Ventura de Saclay le 14 mars à partir de 19h30.
J’étais à Nantes samedi 22 février et si je reviens sur l’évènement , c’est pour tenter d’expliciter la problématique du sujet, en espérant que la longueur de cet article ne vous décourage pas. Alors d’un trait ou à petites doses prenez donc la potion, amère pour les uns elle peut être magique pour d’autres.
Selon le dernier sondage ifop, plus de la moitié des français seraient contre le projet d’Aéroport Grand Ouest (AGO) et moins d’un quart est pour. Je ne m’adresserai pas à eux, dont la conviction est faite (quoique …), mais au citoyen sur cinq qui ne formule pas d’opinion sur le sujet.
Ce projet remonte à pratiquement 50 ans, et Jean-Marc Ayrault s’en était fait le porteur. Il fait l’objet d’un contrat Public-Privé dont le concessionnaire pour 55 ans est l’aménageur et exploitant protéiforme VINCI.
Pas la peine de détailler longuement les arguments « pour », ils ont été largement diffusés. C’est d’ailleurs le répertoire classique du siècle dernier : modernisme, développement, création d’emploi … Arguments indiscutables sur le principe mais de ce fait commodes pour la justification de Grands Projets Inutiles, dont les nuisances sont plus réelles que les innovations capables de relancer l’économie stagnante ou d’améliorer la qualité de la vie.
Projets Inutiles, mais Imposés dans des démocraties représentatives illusoires, coincées entre lobbies et cirque médiatique, et où la règle du jeu des pouvoirs est plus importante pour beaucoup d’élus et de hauts fonctionnaires que le véritable intérêt public. Mais ce n’est bien sûr pas le cas en France !
Les temps étaient autres en 1965, et depuis il s’est passé beaucoup de choses (pétrole, désindustrialisation, finance, climat …) qui devaient inciter à une nouvelle réflexion. Cette réflexion, les opposants au projet s’y sont livrés. Leur opinion, au départ viscérale, s’est forgée rationnellement en démontant les omissions, les trucages, voire les mensonges qui émaillent toute opération de promotion. Il est instructif à ce propos d’écouter l’entretien avec Françoise Verchère, conseillère générale de Loire Atlantique.
Réflexion traduite aussi en actes par les 200 à 300 occupants (selon la saison) de la « ZAD » (zone d’aménagement différé, ou zone à défendre selon les camps). Dans ce bocage, (champs, haies, bois, et zones humides), vivent des agriculteurs réfractaires à l’expropriation, et des squatters de bâtiments et terres rachetés par VINCI. Ces activistes y ont instauré des communautés alternatives fonctionnant en démocratie participative. Ils restaurent l’exploitation agricole, visant à produire sain et à protéger la biodiversité riche et fragile. Ils exercent aussi leur créativité dans la construction d’habitats éphémères.
La société se décharge aussi d’un certain nombre d’exclus, de marginaux, et de révoltés vers la ZAD, refuge géré sans police et sans psychiatres.
Dérangeant fortement par leurs actions intérieures et extérieures de lutte contre VINCI et l’avancement du projet, les pas si utopistes et pas si doux « Zadistes » ont dû, à l’automne 2012, affronter une violente offensive des forces de l’ordre. Opération « César » ratée mais qui a laissé des traces dans les lieux et dans les esprits.
Autour de la ZAD autogérée, beaucoup de collectivités territoriales soutiennent le projet : notoriété politique oblige, discipline de parti, attrait des subventions, et la convoitise aussi; la spéculation sur la plus-value des terres agricoles périphériques est bien engagée. Mais toutes n’ont pas cédé aux injonctions du gouvernement et l’opposition au « fol aéroport » s’est structurée dans le cadre institutionnel légal :
– Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d’Aéroport (ACIPA )
– Comité d’élu-e-s Doutant de la pertinence de l’aéroport (CéDpa )
– Association de Défense des Exploitants agricoles Concernés par l’Aéroport (ADECA )
– plusieurs collectifs (organisations professionnelles agricoles, pilotes de ligne, lutte contre l’aéroport)
Pendant ce temps-là, VINCI compte les points et les indemnités qu’il exigera de l’Etat.
Mais revenons à la manifestation de Nantes. A travers les chiffres officiels d’abord, dont un seul est véridique : 1.500 gendarmes mobiles et CRS (pratiquement l’équivalent des troupes envoyées à Bangui !). Les 20.000 manifestants sont eux à multiplier par au moins 2, le millier de « casseurs » est à diviser par au moins 3.
Pour les images animées de la manifestation, ouvrir la video.
A travers la couverture médiatique ensuite, surexposant complaisamment les débordements violents et occultant la mobilisation paysanne (520 tracteurs) et citoyenne (63 cars venus de tout le pays), dans une indiscutable ambiance festive et responsable.
A travers les commentaires toxiques enfin, agitant l’épouvantail de black-blocks basés sur la ZAD, en accusant les organisations institutionnelles contestataires de leur offrir une vitrine légale, et en omettant bien sûr la curieuse stratégie provocatrice des autorités. Les plus bellicistes du champ commun UMP-PS hurlent avec le jeune loup de la place Beauvau.
Et noir c’est noir, que dire du black-out pratiqué par la plupart des grands medias? Sur la jolie lettre ouverte de Françoise Verchère à Manuel Valls, sur la conférence de Bellevue, et sur l’humoristique réponse au préfet des « black-ploucs » de la ZAD. Mais si, mais si, la presse française est indépendante …
Et que dire aussi de la criminalisation dissuasive des actes protestataires ? Pique-niquer bruyamment dans le parc de François Pinault, actionnaire important de VINCI, a valu aux perturbateurs militants des condamnations non proportionnées qu’ils ont le front de ne pas accepter (appel à Versailles mercredi 5 mars) ! Mais si, mais si, la justice française est indépendante …
La tentative de manipulation d’opinion et d’intimidation est donc évidente. Elle semble n’avoir qu’un but : justifier une offensive massive d’expulsion définitive de la ZAD. Pas sans risque vu la détermination des opposants à l’AGO. Mais à l’approche des élections, Jean-Marc Ayrault ne tient pas à engager ce casus belli et vient de calmer le jeu. Répit qui permettra peut être de voir aboutir les recours contre l’impact environnemental du projet qui, rappelons-le, était loin d’être correctement évalué lors de l’enquête d’utilité publique.
Les opposants au projet d’aéroport de NDDL et de son monde ne sont pas dupes du changement de tactique de la part des défenseurs du projet : leur volonté de l’imposer en force est passée d’une logique frontale d’expulsions et d’occupation policière de la zone à défendre, à une logique moins spectaculaire mais tout aussi obstinée, aussi bien par le biais d’arguments pseudo-écologiques (déplacements des espèces, mesures dites « de compensation » etc) qu’à l’aide d’arsenal juridique et politique (arrêtés préfectoraux, arbitrage européen en faveur du Partenariat Public Privé etc).
La manifestation du 22 février 2014 avait pour but de signifier au gouvernement, à Vinci et aux pro-aéroports que le projet ne saurait passer en force sans rencontrer une fois de plus une résistance déterminée des opposants; l’importance de la mobilisation de samedi l’a démontré : les différentes formes qu’a pu prendre cette manifestation, malgré les tentatives de division relayées par les médias, ont participé de sa force.
Des tritons crêtés, des salamandres de feu et des masques à gaz, des clowns, des lunettes de ski, des enfants-arbres, des encapuchées, des maquillages aux couleurs partisanes: différents masques marchaient côte à côte contre la même mascarade du Capital et de l’Etat.
Après deux mois de préparatifs, la manifestation n’a pu emprunter le parcours initialement prévu et a été accueillie par un vaste dispositif policier verrouillant tous les abords du centre-ville et donnant à celle-ci les apparences d’un « état de siège », tout en feignant de préserver la normalité d’un samedi après-midi commerçant à Nantes.
Au niveau du Cours des 50 Otages, passage incontournable des manifestations nantaises, une large barrière anti-émeute était dressée face aux manifestants, avec des camions lances à eau et de nombreuses unités de gardes mobiles disposées derrière ainsi que sur les rues latérales. La préfecture aurait voulu aménager le lieu de l’affrontement qu’elle n’aurait pas agi autrement. Personne ne s’y est trompé : les tracteurs disposés en tampon au long de la barrière ont fini par la quitter sous les tirs de lacrymo et les jets délibérés de lances à eau à leur encontre. Des affrontements ont continué sur le cours Roosevelt et près du CHU, les manifestant.es essuyant des pluies de lacrymo et de grenades assourdissantes, pour certaines en tirs tendus. L' »État de droit » doit-il s’affirmer au travers d’un usage disproportionné de la violence, dont il prétend avoir le monopole?
Les images des violences et surtout leur instrumentalisation politique et médiatique cherchent à impressionner et à noyer dans le sensationnalisme les enjeux réels de la lutte contre le projet d’aéroport de NDDL. Les tentatives de décrédibilisation du mouvement par la stigmatisation des actes de violence évacuent leur contenu politique. Elles masquent également la question des pratiques de lutte et de leur répression dès lors que celles-ci sortent du cadre de la contestation autorisée.
Quand on récolte la tempête, interrogeons-nous sur qui sème le vent.
Nous ne nous laisserons pas classer ni enfermer dans des catégories dans lesquelles nous refusons de nous reconnaître. Nous sommes tou.te.s des casseur.es- d’œuf, de pieds, de pipes, de briques, de dialectique, et de boutiques. Nous ne nous laisserons pas diviser par les polémiques qui tentent d’éclipser les raisons qui nous rassemblent : nous nous battons contre l’aéroport et son monde, contre la parodie de concertation et ses flics, contre l’enfumage politicien et médiatique, contre la violence capitaliste – pour le choix de nos formes de vie et le respect de l’environnement dans lequel elles s’inscrivent.
Le Coffre de Lola et Martine de l’Association Afsep ( Association Française des Sclérosés en Plaque) organisent un marché de la création qui se tiendra les 29 et 30 mars prochain à Saclay. Le coût de participation pour les créateurs et créatrices est de 15 à 30 € et comprends table(s), chaises et grille(s) sur demande. Raccordement électrique possible avec un supplément de 5€. L’intégralité de cette participation sera reversé au profit de l’Afsep.
Si vous souhaitez participer en tant qu’exposant créateurs (hors bijoux), merci de nous contacter par mail pour recevoir un dossier d’inscription : [email protected].
Ce marché est ouvert à une dizaine de créateurs, il reste quelques place. Les inscriptions seront clôturés au 15 mars.
Nous nous tenons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire et nous vous souhaitons une agréable journée.
Une lectrice nous informe qu’il y a eu lieu lundi soir vers 19h30-20h00 un braquage au Simply Market de Saclay.
Cette personne qui était sur place au moment des faits pense qu’il y ait eu deux individus dont l’un était armé et casqué (de là où elle était elle n’en à vu qu’un). Il semble qu’il ait réussi à braquer trois caisses. Les caissières ont fait preuve d’un calme remarquable. Les gendarmes sont arrivés sur les lieux plus tard, les voleurs étaient à son avis déjà loin.
La Gendarmerie d’Orsay, contactée ce matin par téléphone confirme le braquage par deux personnes. L’enquête suit son cours.
Le vide n’est pas vide. Les physiciens quantiques (les atomistes) l’ont démontré et l’agenda du jeune retraité Michel Spiro, astro-physicien, n’apporte pas de preuve contraire. Son road show tourne autour de la planète, entrecoupé de visites où il accompagne des scolaires. Michel Spiro n’a plus le poids de ses équipes. Il s’est délesté d’un coup de deux mille personnes. Il lui reste cependant l’essentiel, les collaborations avec les membres d’une communauté passionnée et libre pour reprendre les termes de Sandrine Laplace, avec qui il co-signe l’ouvrage collectif La physique des infinis. Et un projet disruptif. Construire entre le Jura et le lac Léman un nouvel accélérateur de particules de 100 km de circonférence. Trois fois plus grand que l’actuel anneau qui a permis la découverte du Boson de Higgs. Il n’y a pas d’horizon indépassable.
CEA de Saclay
Le CEA est la structure qui supporte (au sens anglais) le déplacement de M. Spiro pour le kick off meeting project. Le prénom Josiane figure sur le dernier slide de la présentation de M. Spiro qui en compte une quarantaine. On n’imagine pas tout ce qu’elle peut faire.
De [email protected]
Envoyé : mercredi 12 février 2014 09:15
A [email protected]
Le Pr Spiro est en route vers Genève mais sa carte d’accès au CERN est restée sur son bureau. Après la conférence de lancement à l’université, il doit dormir au foyer hôtel du CERN. Voulez-vous que je vous envoie sa carte scannée ?
CERN – Facility services
Le CERN sous-traite à un Facility services les espaces verts, la sécurité incendie et la gestion des accès sur ce site de 150 hectares. Le Services manager dirige une équipe d’une centaine de personnes (120 serait idéal mais les temps sont durs). Les équipes sont autonomes et ne signalent au manager que ce qui sort de l’ordinaire.
De [email protected]
Envoyé : mercredi 12 février 2014 10:07
A [email protected]
Madame, vous pouvez m’envoyer ce document mais les accès sont contrôlés électroniquement. Comme il s’agit de l’ancien président du CERN, je n’imagine pas qu’on le laisse à la porte. Cdlt. Martens
11h – CEA de Saclay
De [email protected]
A [email protected]
J’aurais dû vous préciser que M. Spiro est retraité mais il garde ses habitudes au foyer hôtel.
17h Salle de rédaction de La Tribune de Genève
Un espace est réservé pour l’édition du lendemain (jeudi 13 février) avec un titre provisoire :
PLUS GRAND QUE LE « SEIGNEUR DES ANNEAUX »
Le CERN prépare l’avenir
Le rendez-vous avec le professeur Michel Spiro est fixé à 18h, avant la conférence tous publics qui commencera à 19h et sera suivie d’une verrée. Le journaliste prendra une photo de l’assistance lorsque la salle sera pleine (300 ? 500 personnes ?) et tapera son article dans la salle de presse de l’Université pendant la conférence. Si tout se passe bien, il sera de retour dans l’amphi pour le verre de l’amitié et son article paraîtra dans l’édition du 14 février. Le projet du CERN prévoit l’achèvement de la nouvelle construction pour 2035. Ce qui signifie pour tout le monde un travail longue haleine.
17h 30 12 février 2014 – Parc des Bastions jouxtant l’université de Genève
Un homme d’une soixantaine d’années se repose sur un banc, en costume sombre et parka, un sac à dos à ses pieds qui contient son ordinateur portable et des livres à offrir et dédicacer. La veille, un confrère lui a vanté les mérites des méthodes japonaises de gestion du stress. Il ne demande qu’à voir. Pour l’instant, il pratique la relaxation de base, il a marché dans les allées en respirant bien, et là, il fait le vide avant d’enchaîner interview plus conférence.
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Pour n’avoir pas regardé ses mails après la verrée, M. Spiro a trouvé porte close à son arrivée devant le CERN. Cette mésaventure, qui l’a obligé à revenir par la navette jusqu’au centre-ville de la capitale suisse, a été salutaire en ce sens que pour marquer son passage à la retraite il a fait un break d’un mois en Thaïlande avec sa compagne, avant de reprendre ses activités. Dans l’ordre, Melbourne, Doubna, Boston et Chicago. Là comme à Genève, il espère toujours contribuer à transmettre sa passion pour la recherche et la connaissance.
Christophe Baillat
http://christophebaillat.jimdo.com
Pour la deuxième année consécutive Florian Bocquet organise avec Audrey Estorez (habitante de Saclay) un rallye automobile en vallée de Chevreuse le 16 mars dont le point de départ et d’arrivée est la ville de Saclay.
Les participants partirons pour un fléché d’environ 140 kilomètres à travers la vallée de Chevreuse agrémenté de questions qui nous emmènerons jusqu’au château de Thoiry le midi.
Ce rallye est ouvert à tous les véhicules sportifs des années 50 à aujourd’hui et limité à environ 25 véhicules.
Cette année, et ayant déjà eu une première expérience concluante auprès des participants, Florian cherche à donner un sens associatif à ce rallye.
C’est pourquoi ils ont cherchés une association locale afin qu’elle puisse partager l’aventure à leurs côtés et se faire connaitre des participants et du public que ce rallye réunira.
Il s’agit de l’association « Bleu Soleil » dirigée par Isabelle Leau-Braut de Gif-sur-Yvette. Cette association favorise l’insertion sociale et culturelle des personnes handicapées à travers l’art.
Le rallye partira du gymnase de Favreuse à Saclay aux alentours de 10 heures et le retour se fera vers 15 heures au même endroit.
> Mi-décembre 2013: information aux parents d’élèves de la création du collectif. Demande d’une réunion publique Mr le Maire pour clarifier l’organisation et le coût de la réforme des rythmes scolaires pour notre commune.
> 15/01/2104: Réponse de Mr le Maire: Pas de réunion publique le 17 janvier 2014, une information sera faite en fin d’année scolaire
> 24/01/2014: Réunion des membres du collectif pour élaborer nos propositions et recenser les points à éclaircir.
N’hésitez pas à nous contacter ou nous rejoindre pour nous faire part de vos propositions et de vos questions.
Nous attendons vivement la prochaine réunion de travail avec la mairie pour poursuivre les échanges sur la mise en place de cette réforme.
Ensemble, prenons une part active aux discussions sur cette réforme: nos vies de famille et notre vivre ensemble le méritent.
Chaque jour de nouvelles communes statuent contre la réforme:
délibérations en conseil municipal
moratoires en conseil municipal
annonces à la presse
Des communautés de communes entières annoncent chaque jour qu’elles refusent d’appliquer la réforme à la rentrée 2014/2015.
Il est donc très difficile de tenir un registre à jour.
Le mouvement des gilets jaunes tient à vous mettre à disposition uniquement des informations dont toutes les sources ont été vérifiées. La mise à jour ce cette liste est donc en attente. Dès que notre équipe aura recensé l’ensemble des liens pour les différentes communes citées, nous vous mettrons à disposition une liste signée clrdrs.fr.
Pour information le dernier pointage en date faisait apparaitre 1822 communes.
Les parents ni les professeurs ne désarment pas pour obtenir l’abrogation du décret Peillon sur l’aménagement des nouveaux rythmes scolaires en effet, mardi après la classe des professeurs de l’ensemble de la 2e Circonscription de l’Essonne se sont rassemblés devant la préfecture et l’inspection académique à Évry.
Manifestation contre les rythmes scolaires professeurs et parents d’élèves de la 2e circonscription. (l’Essonnien-Rémi POIRIER).
Plusieurs syndicats étaient présents dont La CGT, SUD éducation, FSU 91, FNEC FP FO 91, voici la partie de leur déclaration commune sur la réforme : « la réforme des rythmes scolaires est considéré par une majorité d’enseignants, des personnels communaux, d’élus de parents d’élèves comme la pierre de la mise en place de l’école territoriale. La perspective d’une école où chaque commune mettrait en place une réforme suivant les moyens de la commune suscite un rejet grandissant ».
En outre de l’abrogation du décret sur les rythmes scolaires : « la FNEC FP FO demande au ministre d’abroger son décret sur les rythmes scolaires et d’abandonner ses projets de réforme des statuts des personnels.
Plusieurs dates d’actions sont prévues pour la semaine prochaine :
La première : un café débat à Wissous au café du coin sur le sujet avec Christian SCHOETTL, maire de Janvry à 19 au 1 Paul Doumer organisé par l’(GPEVB).
La deuxième et peut-être la plus importante :
Le rendez vous est donné en gilet jaune :
le samedi 08 février à 14 heures
devant la préfecture d’Evry,
puis ensuite par l’avenue des Champs Élysée à la Communauté d’agglomération.
Le club de modélisme de Saclay , créé en 1978 , regroupe 130 adhérents, des passionnés de 10 à 80 ans venus de tout le territoire de la Communauté d’agglomération du Plateau de Saclay. Chaque année , il organise un « Salon du modélisme »: c’était le cas dimanche 19 janvier au gymnase de Favreuse.
Au fil de la journée , les curieux , dûment protégés par un filet de sécurité , ont pu voir évoluer 30 modèles d’avions et d’hélicoptères qui ont exécuté successivement des figures diverses : « slow flyer » (vol lent), voltige, vols synchronisés étaient au programme ; on pouvait aussi chercher à toucher la banderole attachée à un autre avion, tourner autour de pylônes , crever des ballons , casser des bagues… Le spectacle était au rendez-vous!
Des démonstrations de pilotage de voitures téléguidées étaient également au programme.
JMS
DES IMAGES :
Dernières mises au point avant démonstration.
30 modèles d’avion exposés…
Nikita ,14 ans, du club de Saclay, présente son modèle , qui s’est illustré dans la voltige.
Avions en vol : il faut passer entre les poteaux…
Préparation d’un vol de drone.
Pilotage d’un drone.
Un plaisir pour tous les âges…
* Voir aussi l’article de la Blogazette des Ulis et du Hurepoix : cliquer sur :
Après une dizaine d’année à Saclay, la crèche parentale « Les Crabouillages » vient d’emménager dans des locaux tout neufs au Parc de Diane, à Jouy en Josas… soit à 2 pas de Saclay. Elle est agréée pour 13 berceaux.
La crèche accueille des enfants de Jouy, mais également des villes environnantes.
Par ailleurs, dans le cadre d’une journée porte ouverte commune à l’ensemble des crèches parentales de l’Essonne, la crèche sera ouverte le samedi 22 mars de 9h à 13h, n’hésitez pas à venir nous rencontrer.
Le 8 mars débutent les ateliers « J’arrête de râler sur mes enfants et mon conjoint » d’après le programme de Christine Lewicki et Florence Leroy, auteurs du livre du même nom.
Vous rêvez d’une vie de famille faite de paix de coopération et de bonne humeur, mais voilà bien souvent votre foyer ressemble à un champ de bataille, et vous êtes devenus le parent ou le conjoint que vous ne souhaitiez pas être.
Râler est devenu une habitude, vous le faites par automatisme à la moindre frustration parce que les choses ne se déroulent pas comme vous l’auriez voulu.
Vous savez que votre vie de famille pourrait être plus agréable mais vous ne savez pas comment faire ?
Vous voulez retrouver la joie, la communication,la complicité dans votre foyer et votre couple ?
Alors ces ateliers sont fait pour vous.
Ce programme se déroule sur 5 ateliers de 2h30 chacun, répartis sur 3 samedi : les 8 et 22 mars et le 8 avril.
1er atelier : Nous avons tous de bonnes raisons de râler. Est-ce une bonne stratégie pour obtenir ce que nous voulons.?
2ème atelier : Les 5 distinctions pour arrêter de râler sur nos enfants et notre conjoint.
3ème atelier : Comment faire quand nos principales râleries émergent à cause de ce que les autres font ou ne font pas.
4ème atelier : Comment remettre du plaisir, des projets, du rêve au coeur de notre vie.
5ème atelier : Comment réussir le challenge « 21 jours pour arrêter de râler », pour qu’il soit votre plus grande fierté pour l’année 2014.
Véronique Brandeis formatrice certifiée, a hâte de vous accueillir dans ses ateliers pour que vous puissiez enfin vivre la vie dont vous rêvez.
L’extraordinaire miroir d’eau que constitue chacun des étangs de Saclay a de nouveau réservé de belles surprises aux passants le 19 janvier dernier . Le photographe de passage a pu aussi se régaler , et fixer les pérégrinations d’un couple de cygnes au fil de l’évolution du coucher de soleil…
Deux cygnes dans les premières lueurs du soleil couchant.
Dans l’or du couchant.
Nos deux voyageurs s’éloignent vers une zone moins intensément éclairée.
Plus tard : balade sur les nuages.
Dans une lumière douce.
Ligne lumineuse à l’horizon.
Dans l’or du couchant (variante)
Quand les roseurs s’invitent sur l’étang.
Autre vue.
L’instant sublime.
L’instant sublime 2.
Derniers instants…
Ces images sont extraites du BLOG « CHARMES MECONNUS DU HUREPOIX » qui contient de nombreuses vues du plateau et des étangs de Saclay . VOIR D’AUTRES IMAGES : www.jmsattohurepoix.blogspot.com (libellés commençant par :plateau de Saclay)
Aujourd’hui et durant les deux prochains mois à Saclay comme dans la France entière, nos lycéens en classe de Terminale vont devoir émettre leurs vœux d’orientation sur le portail APB (Admission Post Bac).
Ça y est c’est décidé, ce sera une carrière commerciale ! Mais comment s’y retrouver avec le large éventail d’écoles proposées ?
Bon nombre d’entre eux vont devoir choisir leur école de commerce mais comment choisir le bon établissement ?
Avec ou sans prépa ? En 3 , 4 ou 5 ans ? Labellisée ou pas… autant de questions que sont amenés à se poser nos jeunes étudiants ainsi que leur parents, bien souvent démunis face à l’ampleur de la tâche…
Conseillère en orientation, Psychologue installée sur le Val et sur Versailles, je vais tenter d’apporter quelques éléments de réponse à toutes ces questions.
Les écoles de commerce et management qui recrutent après Classe Prépa comptent parmi les plus prestigieuses et offrent les meilleures chances d’intégration au sein des plus importantes entreprises internationales : notre voisine HEC, ESC P, ESSEC…. Pour ne citer que celles-ci.
Le recrutement est draconien, toutes les CPGE adoptent la même politique d’attaque : ne retenir que les élèves pouvant justifier de 13 de moyenne générale avec une bonne homogénéité.
Si les résultats de vos enfants en cette année de Terminale n’ont pas été à la hauteur de vos espérances, il vous reste la possibilité d’intégrer une école de commerce accessible directement après le Bac par le biais des concours communs.
Il est alors primordial de bien regarder certains critères tels que la reconnaissance de l’état et le visa du diplôme délivré.
Plusieurs concours communs existent qui regroupent une quarantaines d’écoles.
Le concours Accès : 3 écoles reconnues par l’état, et délivrant un diplôme à bac +5 avec le grade de master.
Le concours Acces se présente comme une alternative au système des classes préparatoires et des ESC et comme une voie menant à de grandes écoles de management.
ESSCA Angers et Paris, IESEG Lille et Paris, ESDES Lyon
Le concours Sésame : 7 écoles toutes reconnues par l’état et de bon niveau.
Ces écoles offrent un parcours très international (au moins une année à l’étranger) et délivre des diplômes en 4 ou 5 ans.
BBA ESSEC en 4 ans (ex EPSCI), CESEM Reims (4 ans), CeseMed (4 ou 5 ans), EBP International (5 ans), EM Normandie ( 5 ans), ESCE Paris, Lyon ( 5 ans) BSC in international Business (4 ans)
Le concours PASS : permet d’accéder aux écoles post bac en 4 ans des groupes EDHEC et INSEEC
Ces écoles délivrent un diplôme visé par le ministère de l’enseignement supérieur ; ce concours permet d’accéder à des Bachelors rattachés à des groupes d’écoles puissants et reconnus.
ESPEME Lille et Nice, ECE Bordeaux Lyon
Concours LINK : donne accès à trois grandes écoles de management internationales parisiennes visées par l’état.
EBS Paris, EDC Paris et ESG Management School.
Concours TEAM : permet d’accéder à des écoles de commerce et de management délivrant un diplôme Bac + 5, certains diplômes sont visés d’autres certifiés.
Toutes ces écoles appartiennent au groupe IGS : ESAM Paris et Lyon, IDRAC à Lyon, IDC Paris et Toulouse, ISTEC
Concours ATOUT + 3 : 8 écoles de commerce, diplôme Bachelor visé à Bac +3 par l’état.
Ecole Atlantique de Commerce Audencia Group Nantes, EM Normandie, EM Strasbourg, ESC Dijon, Grenoble Ecole de management, Groupe Sup de co La Rochelle, Novencia Business School Paris, Télécom Ecole de Management.
Il existe bien sur d’autres écoles à concours indépendant telles que EMLV , ESA Paris, ESCI, IPAG…
Concours ECRICOME Bachelor : ce concours est organisé par la banque d’épreuves communes ECRICOME et donne accès aux programmes bachelor des 3 grandes écoles de management multi accréditées ( visés), à savoir Kedge Business School, ICN Business School et Néoma Business School.
Afin de mettre le maximum de chance de votre côté, et vous préparez dans les meilleures conditions, je vous conseille de vous exercer avec les annales des concours des années précédentes : par exemple consultation et téléchargement gratuits sur le site internet du concours TEAM, sur www.concours-acces.com…
En ce qui concerne la procédure APB, uniquement les écoles du réseau Ecricome
Les inscriptions pour les écoles hors procédure APB ( la majorité) se font actuellement sur les divers sites internet des concours communs, les journées des concours se déroulent en générale courant Avril.Bachelor, EGC Bachelor et Atout +3 y recourent.
Pour les prépas, vous pouvez inscrire jusqu’à 12 vœux dont maximum 6 par spécialisation sur APB.
Si votre enfant rencontre certaines difficultés dans ses choix d’orientation, comme bon nombre d’adolescents et que les informations dispensées par son lycée ne sont pas adaptées à sa demande, pas de panique… je prends en charge les jeunes à partir de la 3ème et vous propose soit un bilan d’orientation (250 euros) ou des séances de coaching lorsque le projet professionnel est mieux défini.
Saclay est une commune où il fait bon vivre, à tel point que 87% des Saclaysiens recommanderaient à leurs amis de s’y installer.
Même si certains pensent que la ville « manque de commerces et de centre-ville , donc de vie de quartier ».
Vous êtes déjà 87 à avoir répondu au sondage de monSaclay sur la qualité de vie dans notre ville.
Qualité qui semble bonne, 61% des personnes ayant répondus ne se sont jamais rien fait volés à Saclay et la très grande majorité, 97%, pense que, « Par rapport aux autres communes de la région parisienne, la vie à Saclay est agréable ».
Clôture du sondage jeudi 23 janvier, participez vite !
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monSaclay est heureux d’accueillir un nouveau contributeur.
Christophe Baillat, auteur à Jouy-en-Josas, sous le plateau de Saclay, sort son périscope.Il nous fait partager sa première histoire, celle d’Alex, physicien russe.
Il remercie chaleureusement Science Accueil, MonSaclay.fr et le Club des entrepreneurs de Jouy-en-Josas pour l’aide apportée dans la recherche de ces contacts.
_ Je rigole quand j’entends dire que les chercheurs n’ont pas besoin d’être dirigés, c’est peut-être vrai dans leur travail, tant mieux pour eux, mais dès qu’ils sortent du labo, ils sont à côté de la plaque, si vous me permettez. Certains sont carrément euphoriques, le problème, c’est de les ramener sur terre jusqu’à nous. La bureaucratie, c’est à l’opposé de ce qui leur convient. Ils sont incapables de défendre leurs droits. Nous, nous connaissons les dessous du système, nous leur offrons une sécurité. Dans le cas d’Alex, c’est vrai, Tatiana nous a beaucoup aidés. Sandrine de Science Accueil
Alexandre Alexeïevitch, (Alex2 pour ses collègues, ou encore Alex) travaille à une échelle temps de quelques fractions de seconde, inférieure à la nano seconde. Il est le type même du physicien-voyageur qui enjambe les continents pour faire carrière ou partir avant la date d’expiration de sa carte de séjour. En consultant son CV sur Research Gate, on voit qu’il est déjà venu à Paris avec un visa d’un an _ Un contrat CNRS, mais après je n’ai pas pu rester. C’était il y a cinq ans. Compte-tenu de la mauvaise réputation des fonctionnaires français « trop tatillons», il avait eu recours à Science Accueil comme intermédiaire. Sandrine se souvient.
Le 15 décembre 2008, Alex salue son directeur de labo, le Pr Klein, au centre-ville de Moscou, débarque quatre heures plus tard à l’aéroport de Roissy, d’où il appelle l’association Science Accueil à Orsay pour qu’elle lui trouve un point de chute. Il doit prendre un poste de chercheur à l’UPMC, l’Université Pierre et Marie Curie à Paris, une faculté d’ingénierie dans le Ve arrondissement. Il commence après Noël. Il a pris soin de faire précéder sa venue d’un mail expédié à Science Accueil. Il arrive avec un simple bagage par l’escalator dans le grand hall de l’aéroport et compte sur Sandrine pour lui trouver un hébergement le soir même. Aimablement mais fermement, elle lui fait remarquer qu’il ne leur laisse pas le temps de se retourner. _ Pas le temps, vous plaisantez, ce n’est pas ma faute si vous êtes surchargée … Pour Sandrine, c’est un cas désespéré mais, hélas, pas isolé. Elle a réussi à le loger dans une ferme-auberge (cela dit, il n’en garde pas de mauvais souvenir). Depuis bien des choses ont changé. Il a soutenu sa thèse, s’est offert un orgue électrique en récompense de son prestigieux titre de Docteur (Ph. D. in Physics), a séjourné à Osaka et au centre-ville de Toronto où il a rencontré Tatiana Alassieva, une compatriote. Depuis, ils ne se quittent plus. L’organisation des déplacements s’est, comment dire, professionnalisée et tout le monde en profite à chaque bout de la chaîne.
Il y a peut-être un million de scientifiques dans le monde (ce n’est plus la noblesse du XIXe siècle) mais la compétition dans les labos est loin d’être la même partout. Alex ne veut plus entendre parler du système américain. Du Canada comme des Etats-Unis, il dit : _Là-bas, le Professeur qui dirige un labo est comme un chef d’entreprise. Il donne le même sujet à deux équipes, les presse comme des citrons et il garde les meilleurs à la fin. Venant d’un pays de l’Est, il n’a pas l’habitude de se vendre. Aussi le régime français lui convient mieux. Il peut désormais candidater pour des postes post-Doc et soumettre son dossier à une commission composée de sept personnes. On ne l’attend pas non plus à bras ouverts. Sur un tableau, il a lu un jour : tu fais la compétition à nous. Message non signé d’un collègue qui parlait moins bien français que lui.
Entre deux équations prometteuses, Alex joue au piano dans le petit coin chaleureux ménagé derrière une porte du labo de Toronto, orné de souvenirs et de blagues de matheux…
La vibration est rock & roll. Avec trois mois d’avance sur le déménagement projeté, Tatiana reçoit sur son Smartphone une liste de quinze propositions d’hébergement. Le soir en se concertant, leur choix est le même, ils préfèrent habiter au centre de Paris, vivre et travailler à Paris pour Alex avec, occasionnellement des allers et retours au Synchroton Soleil à Saclay. (La lumière y est si puissante qu’elle compense le peu de temps laissé à l’observateur pour réaliser son travail). Tatiana envoie cet email: _ Chère Sandrine, merci pour vos propositions en réponse à notre demande. Nous avons maintenant le projet d’avoir un enfant (elle en assume la responsabilité, Alex n’entend rien à ces choses-là, elle pourrait lui raconter n’importe quoi). Du coup, pourriez-vous nous proposer des logements plus grands ?
Première déconvenue, la Cité universitaire internationale est saturée de demandes, aussi Tatiana reçoit-elle un nouveau message l’informant que les seules possibilités seront soit à Evry (préfecture de l’Essonne), soit à Palaiseau. Avec leur budget, Sandrine n’a pas pu trouver plus près de Paris. Deuxième déconvenue, les vaccins de leur animal domestique ne sont pas à jour. Tatiana tient à son lapin au moins autant qu’à Alex, elle doit faire des pieds et des mains pour tenter d’obtenir une dérogation. Finalement, le couple peut venir en France s’il promet de régulariser la situation du rongeur. Le choix entre Evry et Palaiseau, a été vite fait. La préfecture est un mot repoussoir pour Alex, il préférerait jouer au piano dans une camisole de force. De lointains échos lui parviennent, via Tatiana qui prépare le terrain pour lui en vue du retour à Paris. La veille encore, elle tentait de se loguer sur le système informatique de gestion des rendez-vous. Mais à minuit et une minute, elle était recouchée, les rares créneaux ouverts étaient déjà pris d’assaut.
_ Il faut sans arrêt se reconnecter, c’est épuisant.
_ C’est amateur, ce n’est pas normal. Dans d’autres pays on y arrive alors pourquoi pas au pays de Louis XIV? Ailleurs ça marche un peu comme ça (sa main serpente), ou comme ça (il tend sa main comme pour donner un billet), mais à la fin, on y arrive. La France croit aux papiers. C’est tout carré. Tatiana lui dit qu’il n‘y a plus que le vaccin qui pose problème. Pour Alex, qui a le poste mais pas encore tous ses papiers, c’est comme un cauchemar. La France, c’est un pays magnifique mais la préfecture, c’est le pire.
Une nuit, alors qu’ils sont sur le sol français, Tatiana décroche enfin le rendez-vous.
_Chéri !
Alex n’a plus qu’à prendre le sac à dos qui contient les documents demandés pour la carte de séjour, justificatifs de résidence, justificatifs d’activité professionnelle Il enfile une polaire et des chaussures de randonnée.
_Pourquoi tous ces papiers ? Mais pourquoi, je suis ici légalement, je travaille.
_Dépêche-toi tu vas rater le rendez-vous.
_ Il vaut mieux avoir trop de documents que pas assez, j’en prends encore quelques-uns.
_ Allez, go !
Tatiana a lu sur un forum qu’une femme qui avait accouché en urgence et subi une césarienne en plein été, à la date prévue initialement pour son rendez-vous en préfecture, n’avait pas pu en obtenir un autre car elle n’avait pas honoré le premier.
A son retour, Alex a le sourire (heureusement qu’il peut prendre des libertés sur son emploi du temps de scientifique). Maintenant, tout s’emboîte, activité, domicile et papiers en règle. Occasionnellement, il sera près de son lieu d’activité, (Palaiseau et Saclay sont tous deux situés sur le même plateau dit de Saclay même s’il le déborde). Le plus souvent, il en sera éloigné de 15 kilomètres pour rejoindre l’UPMC. Pour monsieur, l’horizon s’est dégagé.
Aujourd’hui, le lapin restera seul à la maison. Tatiana l’a fait sortir de son mobil-home, un sac de transport, réparé avec du ruban adhésif partout où il l’a attaqué avec ses dents, pour le faire entrer dans une grande cage d’un mètre de long. Le vaccin va l’affaiblir deux jours. Tatiana, conjoint de scientifique, en profite pour se rendre à Science Accueil. Elle cherche une sociabilité, un peu de chaleur humaine pour rompre l’isolement quotidien qui se profile à l’horizon. Il faut choisir entre la visite du château de Versailles, des cours de cuisine en français et du golf. Elle opte pour la cuisine française. Elle fait le calcul que les échanges y seront plus intenses entre les participants. Et le plat qui se consomme à la fin du cours est inclus dans l’inscription.
Dans quelques années, ils devraient obtenir leurs cartes de séjour valables dix ans, ils feront alors construire une maison, le long de la Bièvre au pied d’un bel ensemble scientifique de renommée mondiale.
La réunion du vendredi 17 Janvier, sur la réforme n’aura pas lieu.
Notre maire ne souhaite pas se prononcer sur la réforme actuellement, beaucoup de travail reste à faire pour sa mise en place.
Nous avons donc demandé à participer à ce travail et que soient pris en compte les arguments que nous avons avancés sur les difficultés qui pouvaient être rencontrées l’an prochain afin de les prévenir au mieux.
Merci à tous ceux, nombreux, qui ont participé au vote.
Les réponses viendront, et nous espérons qu’elles vous satisferont.
Le collectif sur la réforme.
Le test du sens unique rue de Villeras a pris fin lundi 13 janvier.
« Ce changement de circulation avait pour objectif de réduire l’entrée de trafic exogène dans le Val. Il s’est avéré inefficace », explique Christian Page, maire de Saclay.
Lors de la mise en place de ce dispositif, le trafic s’est déversé dans les rues Rabelais, Montesquieu et Fénelon.
Certains riverains gênés par l’accroissement de circulation rue Montesquieu se sont même constitués en collectif pour protester contre ce test.
« Avec le Comité de Quartier du Val d’Albian nous allons conduire d’autres comptages et expérimenter d’autres changements dans le but de dissuader les automobilistes venant de communes voisines à emprunter les rues du Val aux heures de pointe », ajoute le maire.
MonSaclay.fr -- site communautaire et citoyen contribuant a faciliter la mise en relation des habitants de Saclay
au bourg et au Val d'Albian et de l'ensemble des habitants du Plateau de Saclay. MonSaclay.fr est un blog d'entre-aide; un blog d'information citoyenne sur les associations,
les ecoles, la vie de quartier... Saclay est une commune de l'Ile de
France sur le Plateau de Saclay en Essonne, 91 au sud de Paris. Les communes voisines sont Bievres, Jouy en Josas,
Orsay, Vauhallan.