Vidéo en bas de l’article — Un élevage de poulet bio a vu le jour début mars, sur des terres cédées par un céréalier du plateau de Saclay. Cet élevage fait partie d’un mouvement favorisant le circuit court — une distribution dans laquelle il existe un petit nombre d’intermédiaires entre le producteur et le consommateur — et la diversité agricole aux portes de Paris.
Chaque jeudi de 15h30 à 19h, Charles Monville vend ses poulets et ses œufs en direct sur son élevage la Ferme de Favreuse, à Bièvres. « Si j’ai choisi la vente directe », dit-il, c’est pour voir le client ». « Entendre la satisfaction des gens qui reviennent semaine après semaine, c’est super. C’est ma fierté et c’est l’aboutissement de tout le travail de ma semaine ».
Charles court après le temps car il faut nourrir les poulets chaque jour pendant deux heures, il faut préparer les commandes laissées par email le lundi après midi et passer à l’abattoir. Une soirée par semaine, il doit livrer une Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne (AMAP) sur le plateau de Saclay. Le reste du temps, Charles, nettoie les cabanes, ramasse les œufs, défriche et continue de construire son élevage : il lui reste encore un silo à grains à mettre en place et une chambre froide à monter pour pouvoir abattre les poulets sur place.
Ramassage des oeufs
« Il travaille énormément », confirme Jean Daknoff un habitant du Val d’Albian qui travail pour Charles 8 heures par semaine. « Je lui donne un coup de main car Charles n’arrête pas. Je paille les poulets, aide à les nourrir, vend des œufs, il m’arrive même de l’accompagner à l’abattoir tôt le matin » ! Jean aide aussi l’éleveur à agencer le corps de ferme. Il travaille sur les cellules à grains pour la fabrication de la farine, le rangement du matériel agricole, l’entretien des parcours et des cabanes des poulets…
Pourtant, Charles aime ce travail ! C’était même un rêve d’enfant un peu oublié au fil du temps. Un rêve qui lui est revenu, la quarantaine approchant.
Fils de fleuristes rouannais, il bourlingue et étudie aux Etats-Unis et au Canada avant d’ouvrir une jardinerie qu’il ferme six mois plus tard, faute de marché.
Il rentre chez Nature et Découverte en 1996 où il devient en 2000 cadre dirigeant. Il s’y plait car il adhère à l’esprit de cette entreprise, à l’ambiance de travail, mais il n’envisage pas d’entrer à la direction générale du groupe. « L’idée de devenir agriculteur m’est revenue. Je voulais retrouver un métier manuel », dit-il.
Pendant deux ans, Charles rencontre des agriculteurs et parle de son projet. « Je voulais savoir si ma compagne et moi allions pouvoir en vivre. Bien sûr, je savais que j’allais tirer une croix sur ma voiture de fonction, mon salaire et tout ce qui va avec », dit-il. « J’allais me payer un smic voir deux « .
Charles cherche alors sa future activité : produire du lait est trop compliqué et coûteux. Etre maraîcher est trop dur pour la santé, et le dos. Charles cherchait un système d’élevage facile économiquement et pouvant être lancé avec un fond de roulement modeste.
L’élevage du poulet, encore un souvenir de son enfance à Rouen, lui est apparu comme le bon choix : du poussin au poulet en 3 mois et demi !
Avant de se lancer, il passe une semaine chez un ami éleveur dans le Gers et rentre enthousiaste.
Son projet validé par la région, il ne restait plus qu’à trouver le terrain et c’est là que les choses ont failli mal tourner. Personne ne veut accueillir l’élevage sur ses terres. L’éleveur passe des semaines à aller de déceptions en déceptions.
Un matin son téléphone sonne : Emmanuel Vandame, un céréalier du plateau, est séduit par son projet et accepte de lui céder un terrain.
Pour Emmanuel Vandame, aider Charles à s’installer « était dans la logique des choses. Si on veut favoriser le circuit court il faut bien permettre à d’autres filières de s’installer. Personne d’autre ne l’aurait fait ». Aujourd’hui, Emmanuel Vandame vend ses céréales bios pour nourrir les poulets de Charles Monville. Le cercle vertueux se recrée sur le plateau.
Informations :
Vous trouverez la ferme de Charles Monville sur le plateau de Saclay non loin de la N118 – sortie 7 – Vauhallan, direction Ecurie de Favreuse.
Il est préférable de commander par email vos œufs et poulet sur [email protected]
Les poulets sont prêts à cuire.
10,10€ / kg (de 1,8kg à 1,9kg – 2kg à 2,2kg et plus de 2,3kg)
Œufs à 2,5€ les 6
Vente de poulet à la découpe, conditionné dans des sachets sous vide :
Filets à 25€/ kg
Cuisses 15€/ kg
Foies 13€/ kg
Gésiers 13€/ kg
Ailes 11€/ kg
Communiqué de presse de la mairie des Ulis – 19/04/2011
La ville des Ulis avait fait la demande le 2 mars dernier auprès du Conseil Français du Culte Musulman et du recteur de la Grande Mosquée de Paris d’exercer une médiation auprès des deux associations musulmanes des Ulis, l’ACMU et El Andalous, afin de mettre en place une coordination pour mener à bien l’édification d’une mosquée aux Ulis.
Le CFCM s’est engagé par un courrier signé de son Président, Monsieur Mohammed Moussaoui à : « je vous confirme par la présente que le Conseil Français du Culte Musulman s’engage à exercer une médiation entre l’association El Andalous et l’ACMU.
Le CFCM étant l’organe national reconnu par l’Etat en charge de la gestion du culte musulman, il lui appartient de réunir toutes les conditions nécessaires au dialogue entre les deux associations.
Hier soir, lors d’une réunion en mairie des Ulis, en présence de monsieur le Sous-préfet de Palaiseau, deux représentants du Conseil régional du Culte Musulman (dont un membre du CFCM) et deux représentants de la fédération régionale de la Grande Mosquée de Paris se sont engagés à réunir les musulmans des Ulis autour de ce projet.
Depuis notre élection, la majorité municipale a toujours souhaité traiter les deux associations, aussi légitimes l’une que l’autre à représenter nos concitoyens de confession musulmane, comme des partenaires. Ainsi, nous n’avons jamais ménagé nos efforts afin d’encourager l’ACMU et à El Andalous à travailler ensemble. Dans le respect de nos engagements républicains, et dans l’intérêt de tous, nous déplorons que cette coordination n’ai t pu se concrétiser, malgré l’engagement des deux associations.
La municipalité représentée par son maire, madame Maud Olivier, va signer le bail à construction. La signature se fera avec l’association El Andalous, conformément à la délibération adoptée à l’unanimité, du 25 juin 2010, mais comme le prévoit explicitement la délibération, le bail pourra être transféré à une autre entité regroupant les deux associations dès lors que le travail entre elles deux aura abouti.
La majorité municipale fait confiance à l’esprit de responsabilité des dirigeants locaux et nationaux des associations de fidèles musulmans pour tout mettre en œuvre afin que ce lieu de culte tant attendu par nos concitoyens de confession musulmane, voit le jour rapidement.
Alors que beaucoup de municipalités cherchent à retarder et surseoir aux projets de création de lieux de culte pour les musulmans, notre majorité soucieuse du respect de la dignité de chacun et du « vivre ensemble » n’a jamais failli pour que ce projet avance.
Elle tiendra ses engagements.
Mairie des Ulis
Rue du Morvan BP 43
91940
Les Ulis
Le réseau social monSaclay.fr regroupe des centaines de personnes en ligne. Chaque matin près de 300 lecteurs lisent les derniers billets du site.
Une centaine de contributeurs ont participés au réseau via leurs articles, commentaires ou photos.
Nous cherchons un slogan pour transmettre la raison d’être de ce site. Une phrase résumant la mission de ce réseau social.
Participez et si votre slogan est retenu monSaclay.fr fera de vous une star (locale) !
La mission de monsaclay.fr
monSaclay.fr, est un réseau social créé par les saclaysiens et les habitants du plateau de Saclay. C’est un site d’information et d’échanges sur l’actualité locale des communes du plateau de saclay. monSaclay.fr est apolitique. C’est un réseau ouvert, c’est-à-dire que tout le monde peut facilement y contribuer.
Des idées pour la rédaction du slogan :
Je pense qu’il faut qu’on retrouve les mots « plateau » et « Saclay ». Il faut que les idées suivantes ressortent : appartenance, ouverture, information.
Oublions : « monSaclay : le plateau qui me plait », ainsi que « monSaclay : le plateau qu’il nous faut » 🙂
Que penser de « MonSaclay.fr — le plateau j’y vis, je le connais et je l’aime » ?
Pourtant, aujourd’hui, le journal Le Parisien revient sur ce sujet.
Source : Le Parisien 18/04/2011
Sur le plateau de Saclay, les habitants vivent juste à côté de plusieurs installations nucléaires. Le Commissariat à l’énergie atomique (CEA) de Saclay compte ainsi huit installations sensibles, dont deux réacteurs. Orphée, un réacteur d’une trentaine d’années dédié à la recherche, et Osiris, construit il y a cinquante ans, où sont testés les matériaux employés dans les centrales EDF.
Outre le CEA, l’entreprise CIS Bio International produit des radioéléments pour la médecine, notamment de l’iode 131. Un voisinage qui, en plein débat sur le nucléaire, irrite les écologistes sans affoler la population.
Le dernier incident remonte à quelques semaines et a été rendu public il y a une dizaine de jours seulement. Il s’est produit chez CIS Bio International. Entre février et début avril, on a relevé des rejets de gaz sur la cheminée d’un bâtiment abritant un accélérateur de particules. Incident radioactif qualifié de « mineur » et classé au niveau 1 de l’échelle Ines. Ce qui a fait bondir les élus d’Europe Ecologie-les Verts. « Deux mois pour découvrir l’origine et résoudre un problème de fuite radioactive? Il s’agit d’un scandale de plus dans le traitement des questions qui touchent le nucléaire en France et d’un mépris flagrant des populations », s’insurgent-ils.
Tous les cinq ans, les riverains reçoivent des pastilles d’iode
Pourtant, du côté des riverains, et en dépit de l’accident de la centrale de Fukushima au Japon, l’heure n’est pas à l’affolement. « On ne pense pas trop au risque d’incident nucléaire, assure Francine, qui habite Saclay. Un peu plus avec ce qui se passe au Japon, mais là-bas il y a eu une secousse sismique. » « Moi, je pense plus au risque de cambriolage! s’exclame Danielle. Je n’ai même pas été chercher mes pastilles d’iode. »
Ces bornes gravées d’une couronne royale ou de fleur de lys, permettaient de délimiter le réseau d’approvisionnement en eau du château de Versailles et d’identifier les infrastructures royales.
Ces blocs de grès d’une hauteur de 80 cm à 1 mètre ont été disposés à partir du début du XVIIIème siècle sur le plateau de Saclay et dans les Yvelines.
Sur le millier d’origine il n’en resterait actuellement qu’environ 200.
Thibault de Brockhausen, un Bièvrois, étudiant en Master Audiovisuel (Télévision/Cinéma) à Paris 1 Panthéon-Sorbonne se propose d’enrichir le contenu de monSaclay.fr de ses critiques de cinéma.
Passionné par le septième art depuis l’age de cinq ans, Thibault fréquentes de nombreux festivals (Deauville, Gerardmer, Cabourg) où il a pu rencontrer des personnalités du monde du cinéma, tel que Bruno Cras, critique cinéma pour Europe 1, ou encore Alain Grasset pour le Parisien, qui, dit-il l’ont guidé sur le chemin de la critique.
Son « Dream Job » serait d’évoluer au sein d’une rédaction de cinéma dans le milieu de la radio, de la télévision ou d’internet.
Gif sur Yvette est la seule commune du plateau de Saclay à disposer d’un compte Twitter. Jouy en Josas, ville récompensé par 5@ pour action de démocratisation de l’Internet, elle, une page Facebook tout comme Palaiseau. Velizy-Villacoublay qu’en a elle est très présente sur Twitter et Facebook. A Saclay la page Facebook du Service Jeunesse est suivie par 139 jeunes.
Le journal Acteur Publics a publié lundi 11 avril 2011 une étude réalisée par l’Ifop pour Orange et l’Association des maires de France où il apparaît clairement que les élus locaux sont » encore très peu tournés vers l’Internet participatif, à la différence du grand public ».
D’après Acteur Publics, La vie politique locale a encore du chemin à faire sur Internet. Tel est le principal enseignement que l’on peut tirer de l’étude AMF-Orange-Ifop sur les usages politiques du Web 2.0, qui compare les pratiques des élus et celles du grand public. Dans leur usage professionnel, les élus ne sont que 2 % à utiliser des blogs ou Twitter et 1 % à utiliser Facebook. Du côté du grand public, alors que les usages du Web 2.0 sont plus développés – puisque 45 % des internautes français disposent d’une page Facebook –, les usages politiques d’Internet (discussions politiques en ligne sur des blogs, des forums ou des réseaux sociaux, visites de blogs tenus par des personnalités politiques) sont très peu fréquents.
Pour Laurence Monnoyer Smith Maitre de Conference a l’Université de Technologie de Compiegne, « Les maires ne se sont pas approprie les outils du web 2 O, avec des chiffres tres inférieurs a la moyenne des internautes Maîs, au delà de l’utilisation de Facebook ou Twitter il semble que les elus n’ont pas conscience des enjeux ce qui est plus inquiétant. Les reseaux sociaux ou les blogs génèrent de nouvelles formes de mediation politique et de représentation que n’ont pas intégrées les elus.
Manque de moyens
Pour expliquer cette “timidité” dans leur usage professionnel d’Internet, les maires mettent fortement l’accent sur les risques que la communication sur le Web 2.0 comporte : 84 % des élus pensent qu’il est difficile de maîtriser totalement ce qui se dit sur Internet et 64 % pensent que l’utilisation de ces nouveaux modes de communication néglige la dimension humaine.
Mais par-dessus tout, il semble que le manque de moyens soit en cause : l’utilisation d’une page Facebook par les élus monte jusqu’à 20 % dans les communes de plus de 20 000 habitants, contre 1 % dans l’ensemble des communes. Ce chiffre met en évidence le fait qu’il est difficile, pour une petite équipe municipale, de gérer ces nouveaux outils de communication sans moyens humains supplémentaires. Cette interprétation est renforcée par le risque pour l’élu de ne pas pouvoir faire face à toutes les demandes faites par les citoyens par voie électronique.
Dans l’ensemble, les élus comme le grand public sont très familiers d’Internet, puisque 86 % des élus interrogés et 89 % parmi l’ensemble des internautes estiment qu’il est facile d’utiliser Internet. En revanche, l’utilisation des outils du Web 2.0 dans un cadre politique pâtit du manque de moyens et d’effets immédiats par rapport à la communication traditionnelle.
Par ailleurs, dans son une étude barométrique sur la communication publique locale le CSA et l’agence Epiceum il apparaît que « pour s’informer sur la vie locale sur internet, les Français consultent davantage d’autres sites que ceux des collectivités. Cet écart, observé également au niveau des entreprises, dénote la difficulté des communicants à faire vivre les sites institutionnels face aux autres espaces du web (blogs, réseaux sociaux). »
Pour s’informer sur la vie locale (que ce soit à l’échelle de la commune, de l’intercommunalité, du département, de la région)
44% des participants consultent le site internet de leur commune, intercommunalité, département ou région
28% consultent les blogs, les réseaux sociaux Internet (37% de croissance par rapport à 2009)
Le Premier ministre François Fillon a donné sa feuille de route au professeur Jean-Marc Monteil, du Conservatoire national des arts et métiers, pour remettre le projet de Campus de Saclay (Essonne) sur les rails en six mois.
Sa lettre de mission est datée de mercredi, une semaine jour pour jour après la démission de Paul Vialle, président de la Fondation de coopération scientifique, chargée du développement scientifique.
« A travers l’opération Campus et une action particulière du programme d’investissements d’avenir, le gouvernement a dégagé des moyens considérables » pour Saclay, écrit le Premier ministre.
« Les évolutions en cours n’avancent pas au rythme escompté. Les difficultés récemment survenues indiquent à l’évidence qu’un sursaut est nécessaire. »
Début mars, à Bièvres, 91, une ex-informaticienne de France Télécom a ouvert une librairie-restaurant avec deux jeunes libraires et deux chefs cuisiniers.
Véronique Banuls
« Lire et manger sont deux activités complémentaires et parfaitement compatibles, d’ailleurs, dans la littérature, la cuisine tient une place conséquente », dit Véronique Banuls, la gérante de la librairie-restaurant Mille Feuilles. « Il est agréable d’aller dans une librairie pour feuilleter les livres, mais souvent on aimerait y rester, s’y installer un peu ». Ici les cinq sens sont sollicités : on peut apprécier un plat, un verre de vin, autant qu’un beau texte et on a tout son temps pour le faire.
Véronique habite Bièvres depuis 11 ans, apprend-on sur son blog. Maman de quatre filles, elle travaille chez France Télécom depuis 13 ans.
Investie localement, elle est deuxième Adjoint au Maire de Bièvres. Véronique explique qu’elle a eu la chance de pouvoir profiter d’un programme d’essaimage pour se lancer et créer son entreprise.
Lorsqu’il entre chez Mille Feuilles, le lecteur-dégustateur est immédiatement séduit par l’ambiance du lieu. Son entreprise est unique en France, à en croire la gérante, tellement unique d’ailleurs, que les subventions accordées aux librairies lui sont pour le moment refusées car le gouvernement n’y voit ici qu’un restaurant.
Ici les parents peuvent venir choisir leurs romans, prendre un thé ou un plat accompagnés de leurs enfants. Un coin bourré de cousins de livres et de BD les attend. A peine entrées dans la librairie, mes deux filles ont d’ailleurs disparues pour se plonger dans des bandes dessinées.
La terrasse est un atout incontestable du lieu, tout comme le sourire et la convivialité de la jeune équipe.
Cette librairie-restaurant appelle l’éclectisme, c’est pourquoi Véronique a déjà planifié un concert et une conférence et lorsque l’on connait Véronique on peut s’attendre à de nombreuses autres activités dans les mois qui viennent.
Les horaires : du mardi au samedi de 10h30 à 19h, le dimanche de 10h30 à 15h – ouvert le vendredi ou le samedi soir dans le cadre des animations (concerts, contes, lectures…)
Adresse : 28 rue de l’Eglise à Bièvres
Téléphone : 01 69 85 32 69
Transport en commun : RER C station Bièvres ou bus 395 arrêt mairie
Parkings : parking des écoles, de la Maison de la petite enfance, quelques places devant l’église, parking de la Mairie, quelques places en bas de la rue de la Fontaine
Les maires se sont parlé au téléphone le 22 mars, et le 24 mars M. Page a écrit à M. Bellier « qu’il n’a pas été pris de décision concernant l’ouverture du Pont de Vauboyen » et qu’il allait consulter le comité de quartier pour recueillir ses propositions.
Aujourd’hui, jeudi 7 avril, monSaclay.fr a répondu a l’invitation de M. Ludovic Jamet, Adjoint au Maire de Jouy en Josas et habitant du Parc de Diane, pour connaître l’opinion du maire du Jouy.
Ludovic Jamet
« Les élus de Jouy en Josas se sont préoccupés officiellement de la possibilité de l’ouverture du Pont de Vauboyen », explique M. Jamet. « Nous ne sommes pas favorables à son ouverture, car il y a de grands risques d’accidents à ce croisement déjà dangereux. Nous pensons qu’il ne faut pas ouvrir le pont aux véhicules légers et privilégions un accès limité aux véhicules de secours ».
M. Jamet explique que la mairie de Jouy en Josas suit ce dossier depuis 2008 et avait déjà rencontré M. Page au début de son mandat pour lui faire part de leur souhait de garder ce pont fermé.
« Suite à la réponse de M. Page à M. Bellier, nous sommes très confiants des suites qui seront données à ce dossier », précise M. Jamet.
Le samedi 23 Avril à Saclay, tournoi ouvert à tous de pétanque en doublette ( équipe de 2 joueurs ) déjà formées, terrain au stade des près Basques, Saclay Bourg ( Rue Robert Thomas ).
Inscription : 3 € par joueur, concours organisé en poule, 3 parties minimum + concours dit « la consolante »…..
jet du but à 14h30
En espérant avoir le plaisir de vous accueillir.
Buvette et restauration sur place, lots pour tous.
A bientôt
Bien sportivement.
Pétanque Club Saclay
Mr Daoust Laurent
9 Rue de la grange
91400
Saclay
01.69.85.49.11.
Jo Vurchio nous fait savoir que : cette année les rencontres guitare se passeront à Saint Aubin, la mairie de Saclay, pour des raisons budgetaire , n’a pu péréniser les Accroch Cordes, les alliances de la guitare invite donc les saclaysiens à :
Saint Aubin à la salle des fetes le 30 Avril
Guitares du Monde : Jo Vurchio (guitare classique)
Samedi 2 avril s’est déroulé sous un soleil radieux le traditionnel rendez-vous du « nettoyage de printemps ». Co-organisée par le SIOM, la municipalité de Saclay et l’ASES, cette opération a pour vocation chaque année de nous sensibiliser au respect de l’environnement de notre village à travers une action éco-citoyenne concrète.
L’ensemble des détritus collectés par les habitants de Saclay a permis de remplir un camion entier de ramassage. Bravo à tous les participants. Toutefois, si je prends ma casquette de président de l’ASES, je ne peux qu’être un peu déçu du manque de participants ce jour, ce en dépit de la communication que l’ensemble des acteurs de l’opération ont faite durant ces dernières semaines.
À l’issue du nettoyage, outre le pot de remerciement et la distribution symbolique de fleurs à planter habituels, nous avons pu assister à une démonstration des nouveaux camions à ordures à moteur hybride qui vont très prochainement opérer dans les rues de Saclay et sur l’ensemble de la CAPS.
Moins polluant (moteur à gaz naturel), plus silencieux (lève-conteneur électrique), ils vont permettre de faciliter le travail de collecte et réduire l’impact sur la santé du personnel évoluant à l’arrière des véhicules.
Saclay débutera la Semaine du développement durable organisée du 1er au 7 avril pour encourager les Français à adopter les bons réflexes pour soutenir, au quotidien, le développement durable avec un grand nettoyage de printemps.
Malgré une image fortement ancrée de territoire de recherche et d’innovation, les communes de l’agglomération du Plateau de Saclay souffrent à des degrés différents d’un accès difficile à Internet.
Or, Internet est entré dans la plupart des foyers franciliens et son utilisation dépasse aujourd’hui la simple navigation sur le net et l’envoi de courriels. Internet c’est aussi la téléphonie, fixe et mobile, la télévision (Haute définition, bouquets numériques, vidéo à la demande…), les jeux vidéo, les réseaux sociaux.
Face à l’absence d’intervention des opérateurs privés sur le territoire , la CAPS a choisi d’agir sans plus attendre pour répondre à ce besoin fort des habitants, des services publics, des entreprises et des établissements d’enseignement et de recherche. Pour François Lamy, Président de la CAPS « la puissance publique se devait de prendre les choses en main pour sortir de ce qui s’apparente à un désert numérique en certains endroits de notre agglomération. C’est typiquement le genre d’interventions fortement attendues par nos habitants qui réclament légitimement un meilleur accès à l’internet.»
La procédure d’appel public à la concurrence invitant ainsi les opérateurs à se positionner sur son territoire lancée en novembre 2009, arrive donc à son terme.
C’est l’offre de la société Orange qui a été retenue par le Conseil communautaire du 31 mars 2011. A cette occasion, François Lambert, vice-président de la CAPS en charge du dossier, s’est félicité « de cette révolution numérique pour le territoire et ses habitants ».
Il s’agit d’une solution tout fibre FTTH (FTTH est l’acronyme de Fiber To The Home qui signifie « fibre optique jusqu’à la maison ») offrant un débit de 100 Mb/s symétrique. Cette technologie durable, pérenne et évolutive permet de répondre aux attentes actuelles et futures de services et usages numériques (télétravail, télémédecine, échanges de contenus, TV-HD, TV-3D, domotique,…).
Les offres commerciales proposées aux utilisateurs finaux seront celles qui sont dans les catalogues de services des fournisseurs d’accès Internet (abonnement inférieur à 50,00 € à ce jour pour un service classique de type triple play).
Les investissements nécessaires estimés à 22,4 M€ sont subventionnés et cofinancés à hauteur de 4,6 M€ par le Conseil régional d’Ile-de-France, le Conseil général de l’Essonne et la CAPS.
LES OBJECTIFS
Sur la partie résidentielle
100 % du territoire connectable sur demande en 5 ans
87,4% de la population éligible en 30 mois
Secteur économique et services publics
Intervention ciblée sur les zones d’activités en 12 mois
Desserte fibre optique à 100% dans tous les lieux et équipements publics (mairies, écoles, médiathèques…)
LE CALENDRIER DE MISE EN OEUVRE
Juin à décembre 2011 : travail en partenariat avec les communes
Début 2012 : démarrage des travaux de raccordements
Novembre 2013 : achèvement du raccordement de 87,4% des usagers
A l’occasion d’A plein Volume !, la Ligne C du RER, l’écrivain François Bon et S[cube] organisent un atelier d’écriture à bord du RER C.
Ce rendez-vous est une invitation à écrire sur les paysages et les villes traversées pendant le voyage.
Atelier animé par François BON.
Départ de l’atelier d’écriture à bord du train CIME de Bibliothèque François Mitterrand à 10h04 – arrivée Versailles Chantiers 11h12. L’aller sera dédié à l’observation et l’écriture.
Retour à bord du train VICK – départ de Versailles Chantiers à 11h38 – arrivée Bibliothèque François Mitterrand 12h41. Dans le train retour, les textes seront lus et partagés.
MonSaclay.fr -- site communautaire et citoyen contribuant a faciliter la mise en relation des habitants de Saclay
au bourg et au Val d'Albian et de l'ensemble des habitants du Plateau de Saclay. MonSaclay.fr est un blog d'entre-aide; un blog d'information citoyenne sur les associations,
les ecoles, la vie de quartier... Saclay est une commune de l'Ile de
France sur le Plateau de Saclay en Essonne, 91 au sud de Paris. Les communes voisines sont Bievres, Jouy en Josas,
Orsay, Vauhallan.