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Plateau de Saclay

Sortie « Découverte du Plateau de Saclay »

Mar 29, 2010

L’association « Terre et Cité » ( http://www.terreetcite.org/ ) organise dimanche  11 avril une sortie pédestre afin de découvrir ou redécouvrir la partie Est du Plateau.

Photo Claude Gallas, AVB

L’ASES (Association de Sauvegarde de l’Environnement de Saclay) et les AVB (Amis de la Vallée de la Bièvre) vous invitent à  contempler encore ce qui est  menacé   par les projets d’urbanisation OIN et Grand Paris : paysage,  patrimoine architectural, fermes …

Une occasion de se sensibiliser sur la fragilité des richesses environnementales qu’il faut sauvegarder « afin de retrouver d’autres manières de gérer l’espace pour y vivre mieux, ensemble« .

Inscription : possible au départ mais mieux vaut prévenir

[email protected]   ou appeler le 01 69 30 70 20

Participation 2 € par personne à donner au départ (gratuit pour les enfants de moins de 16 ans)

Venez nombreux passer une petite matinée d’information et d’agrément ouverte à tous les âges.

Alors rendez vous le 11/04 entre 9h et 9h30, à l’abbaye du Limon à Vauhallan.

NB :  Voir le détail de l’opération sur le site de l’ASES.

Environnement

Qui pourra un jour décrasser le « Mammouth » ?

Mar 26, 2010

Claude Allègre persiste et signe.

Son dernier livre est en tête des ventes à la FNAC.

Peut on s’épargner de l’acheter?

Car son titre pourrait bien s’appliquer à l’auteur :

«Misleading» (trompeur) et «unethical» (contraire à l’éthique) sont deux mots sévères issus d’un courriel de Hakan Grudd, paléo-climatologue suédois de l’université de Stockholm, qui proteste ainsi contre une falsification de ses travaux.
Voir l’article du 23 mars sur : http://sciences.blogs.liberation.fr/home/terre/

La courbe de température que Allègre lui attribue (mention «Grudd, 2008») a été « redessinée » pour introduire une décroissance après 2000.
La légende présente cette courbe comme la «température», sans précision de lieu, donc implicitement globale, alors que la courbe de Grudd représentait uniquement les températures estivales de la région de Tornetrask (dans l’extrême nord de la Suède). La température globale sur le globe suivrait elle fidèlement celle du nord de l’Europe ?
Cet « aménagement » prétend donc qu’il n’a jamais fait aussi froid depuis près de 1 500 ans!

Pour le journaliste Denis Delbecq, Allègre réinvente le climat :
http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/quand-claude-allegre-reinvente-le-climat_854146.html

Claude Allègre, génie méconnu, vitupère aussi contre «des scientifiques dévoyés ambitionnant l’argent et la gloire», auxquels il reproche de s’être imposés par «un système totalitaire» et «mafieux», qui veut occulter que  «la température a augmenté à peu près huit cents ans avant le CO2».
«Et le malheureux chercheur qui avait fait cette découverte essentielle a été versé dans le corps des techniciens» (par un directeur de recherche du CEA, Jean Jouzel).

Ce  « malheureux », c’est Nicolas Caillon du Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement à Saclay, qui dément :
«Je n’ai jamais été versé dans le corps des techniciens. Je suis ingénieur de recherche au CNRS, à la suite d’un concours de recrutement que j’ai réussi en 2003, après ma thèse passée sous la direction de Jean Jouzel, qui est un ami».
Quant à la présentation que Claude Allègre a fait de ses travaux, Caillon s’insurge :
«C’est un manque d’honnêteté intellectuelle flagrant. Jamais les paléo-climatologues n’ont affirmé que les transitions glaciaires/interglaciaires depuis un million d’années étaient déclenchées par les gaz à effet de serre. Donc, la découverte du déphasage de 800 années entre le début d’un réchauffement survenu il y a 245 000 ans et l’augmentation de la teneur en CO2 de l’atmosphère n’est pas une surprise, c’est une quantification d’un phénomène attendu».

On peut être un « grand cerveau » et se fourvoyer en un combat douteux. Alors Eric Besson n’a pas manqué de manifester sa solidarité avec celui qu’il pensait retrouver en compagnon de route :

http://www.rtl.fr/fiche/5132180/eric-besson-prend-la-defense-de-claude-allegre-au-micro-de-rtl.html

Car l’usurpation de l’autorité de la science sans en respecter aucune des règles rencontre évidemment un écho chez les  « climato-sceptiques ».  Affirmer que le pire n’aura pas lieu,  et que les mesures drastiques pour l’éviter sont inutiles, flatte l’espoir secret que chacun entretient. Ce qui explique sans doute le succès de librairie du livre.
Certains intellectuels vont jusqu’à invoquer le besoin d’organiser un débat public. Ils espèrent ainsi faire valider leurs thèses démagogiquement, hors de la communauté scientifique (procédé déjà utilisé aux USA par les « créationnistes »).
Voir article de Olivier Godard (chercheur au CNRS qui a théorisé sur le principe de précaution)
http://www.alternatives-economiques.fr/le-climat–l-imposteur-et-le-sophiste_fr_art_633_48600.html

Mais Claude Allègre se justifie en présentant son livre comme «un livre politique avant tout !». Sur ce point au moins, on peut le croire.
« Objet du scandale »  le 14 mars sur France 2, il conclût que dans un pays où il y a 3 millions de chômeurs, ce n’est pas le réchauffement climatique qui prime.
Voudrait-il ainsi légitimer le choix de ne pas agir contre la racine commune de ces deux maux : la dérégulation d’un monde économique effréné?

Ecoles

Un nom pour l’école du Val

Fév 7, 2010

Dans « Le Saclaysien » de janvier, l’encart page 20 nous appelait de nouveau à proposer un nom pour le groupe scolaire du Val d’Albian.

Au Val, tous les noms de rue sauf une (trouvez laquelle …) évoquent la littérature ou la science. Je sais que « Daniel Pennac » a été proposé. J’aime bien, mais je soumets aussi l’idée d’un choix qui m’est venue.

Pourquoi pas, classiquement, « Victor Hugo » pour se souvenir de l’ancienne adresse de l’école, ou bien maintenant  « Emile Zola » ? Outre leur talent d’écrivain, tous deux furent au 19ème siècle des républicains convaincus pour qui « Liberté, Egalité, Fraternité » n’étaient pas de vains mots. Pour cela, leur nom sur un fronton mérite d’interpeller nos jeunes générations pour quelque temps encore.

Pourquoi pas non plus se souvenir du 20ème siècle et de ses affrontements entre libéralisme et totalitarisme, en « récupérant » honorablement un « libertaire irrécupérable » : « Albert Camus » ? Sans fastes aussi éphémères qu’opportunistes, il mérite mieux !

Mort trop tôt, on s’en souvient surtout comme romancier et un peu comme dramaturge. En tant que philosophe, son image fut estompée par l’ombrage de Jean-Paul Sartre. Puis oubliée par les media qui préféraient faire le lit de bavards « nouveaux » philosophes.

Si votre mémoire est trop neuve, vous pouvez consulter les commentaires suivants dans la presse

Nouvel Observateur du 19/11/2009 : Entretien avec un lecteur de l’homme révolté

Le Monde » du 24/11/2009 : Lettre ouverte au Président de la République

Et quitte à honorer un grand homme disparu, plus près de nous encore, je propose aussi « Claude Lévi-Strauss », qui a si bien su ouvrir le débat sur « l’identité humaine », sans frontières et sans idéologie.

Alors choisissez en répondant au sondage ci après.

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Puis n’oubliez pas de transmettre votre proposition à Gérard Grandjean, en mairie.

Vallée de la Bièvre

La Marche de la Bièvre

Jan 2, 2010

Voir Edition 2011 de la Marche de la Bièvre

Vous connaissez peut-être cette manifestation annuelle qui anime la Vallée en rassemblant près d’un millier de randonneurs.
Initiée il y a 27 ans par les « Amis de la Vallée de la Bièvre », cette marche qui reliait Notre Dame de Paris aux sources de la rivière est désormais organisée sous l’égide de la Fédération Française de Randonnée.

La prochaine édition aura lieu le dimanche 9 mai 2010. Alors vous en serez peut-être …

http://marche.bievre.org

Quelques mots sur la Bièvre

La BièvrePrenant sa source à 134 mètres d’altitude, au pied de l’ancien hameau de Bouviers à Guyancourt, la rivière est longue de 36 km et se jette dans la Seine à Paris.

Polluée pendant cinq siècles par les manufactures et artisans, puis réprouvée pour raison d’hygiène par les riverains, elle fut couverte à partir d’Antony entre 1850 et 1950 et mise à l’égout.

Son bassin versant collecte les eaux de 50 communes par une dizaine de rûs. Grâce aux travaux de réhabilitation, la Bièvre est redevenue vivante dans sa haute vallée, et ses variations de débit (de 1 à 100) ont été maîtrisées pour éviter les crues autrefois célèbres. Les communes des faubourgs envisagent désormais de lui faire retrouver l’air libre.

Marcher le long de la rivière

PA200108Les promenades en haute vallée de la Bièvre sont l’occasion de découvrir les paysages sereins et pittoresques qui ont inspiré écrivains, peintres, puis photographes.

Par vaux et étangs, sous bois et bourgs, le chemin vous emmène à la rencontre de la nature et de l’histoire.

On y voit nombre d’oiseaux mais plus de castors (à l’origine du nom).

La Marche de la Bièvre

 

L’édition 2009 a réuni 920 participants qui se sont partagés entre les trois parcours :

  • Marche à la lune :    52 km, Notre Dame – Bièvres –  Guyancourt – Bièvres,
  • Marche à l’aurore : 31 km, Bièvres – Guyancourt – Bièvres,
  • Marche au soleil :    22 km, Versailles – Guyancourt – Bièvres.

Marche sportive pour certains, promenade pour les autres, chacun y a trouvé son compte avec un balisage parfait, des points de ravitaillement, et un pique nique réconfortant au domaine Ratel.

Appel aux bonnes volontés

Il y a fort à faire pour préparer la 28ème édition. L’équipe de la « Marche de la Bièvre » fait appel aux volontaires pour venir la renforcer sur quelques tâches bien précises :

  • balisage de l’itinéraire,
  • inscriptions aux trois points de départ (minuit, 3 heures du matin ou 8 heures),
  • ravitaillement jusqu’à midi,
  • accueil des marcheurs à l’arrivée

Si l’entreprise vous est sympathique et si vous pouvez donner quelques heures de votre temps, contactez Sylvie Vandame, la présidente MDB :

[email protected]

Et venez à la réunion de concertation et d’affectation des tâches qui aura lieu le :

SAMEDI 9 JANVIER 2010 A 9 HEURES

Salle de la MJC d’ IGNY

Rue de Crewkerne

Vous y serez les bienvenus !

Grand Paris, Info Citoyen, Plateau de Saclay, Transport

Le Grand Pari

Nov 29, 2009

Saclaysiens, réjouissons nous : selon le contenu de la loi actuellement en débat à l’Assemblée Nationale, le Grand Paris c’est nous, chez nous, et maintenant !

L’Etat va nous offrir :

–   sur un plateau, une zone des trois vallées * (Titre V, Dispositions relatives à la  création d’un Pôle Scientifique et Technologique sur le Plateau de Saclay).

–   sur un Grand Huit, l’accès aux autres pôles attracteurs étranges de la Région (Titre Ier, Elaboration et Outils de Mise en Œuvre du Réseau de Transport Public du Grand Paris),

Dvpt GdP PdS L’application explicite du projet présidentiel emblématique,   c’est donc pour notre village (et pour les autres communes de l’OIN).

Au grand dam d’ailleurs de la cohorte des  architectes de renom mise en branle (cf tribune de Jean Nouvel, « Le Monde » du 21/10). Et des autres collectivités territoriales d’Ile de France qui rêvaient aussi d’apporter leurs lumières à la « banane bleue »

Une clarification

Après les discours de Nicolas Sarkozy (Roissy le 26 juin 2007, cité de l’Architecture le 17 Septembre 2007), l’OIN s’intègre dans la vision du « Grand Paris, ville monde ». Le décret 2009-248 du 3 mars 2009 en définit le périmètre (49 communes, 3 fois la superficie de la ville de Paris intra-muros). Sous l’égide du  secrétaire d’Etat chargé du Développement de la région capitale, Christian Blanc, fut donc établi le projet de loi (n° 1961) qui nous préoccupe actuellement.

Des inquiétudes

Devons nous en être satisfaits pour notre quotidien et notre futur? Indépendamment des clivages politiques, on peut toujours s’interroger sur le bien fondé et les modalités du projet et de sa loi :

–   Ce modèle de développement hyper centralisé n’est il pas désormais « daté » ?

–   Est il judicieux d’y sacrifier de riches terres agricoles de proximité ?

–   Quelle place laisse t’il à la démocratie participative des collectivités locales?

–   Qui supportera le coût des investissements et peuvent-ils être amortis ?

ZAD sud PdSEt c’est ici et maintenant car cela bouge déjà à notre porte, avant même l’adoption de la loi, le Plan Campus a débuté :

–    HEC s’agrandit sur 8,4 hectares de champs

–   le préfet de l’Essonne a également lancé un projet de ZAD de 1285 hectares au sud du plateau. La CAPS 6 et les communes concernées ont émis un avis défavorable sur cet outil foncier qui ne garantit aucunement la préservation à long terme de 280 hectares parmi ceux réservés aux activités agricoles.

Ce que nous avons fait

Depuis le début, toutes les associations de sauvegarde de l’environnement et leurs collectifs ont harmonisé leurs positions et cherché avec réalisme à infléchir le projet étatique. On peut rappeler entre autres qu’il en est résulté :

–   Des acquis au SDRIF

  • réduction du nombre de logements à construire
  • renoncement à l’autoroute A126
  • transport en commun en site propre (TCSP par bus) sur la RD36
  • plus d’autopont près du Bourg

–   Du mépris régalien

  • le projet de loi déposé (n° 1961) ignore le SDRIF, confisque les pouvoirs des collectivités territoriales, et évacue le débat public.

Les associations ont donc opposé à ce projet de loi leur argumentation détaillée et des propositions cohérentes d’aménagement :

–   IDFE et l’UASPS auprès du rapporteur de la commission saisie de la loi (commission du Développement Durable et de l’Aménagement du Territoire),

–   un collectif d’associations (dont les AVB) a écrit aux députés et a vu ses propositions reprises partiellement

  • en commission (action de Yves Albarello et Pierre Lasbordes, UMP)
  • dans certains amendements déposés  par l’opposition (Yves Cochet, Verts, et François Lamy, PS).

Dans l’état actuel des débats, nous pouvons être assurés d’avoir obtenu dans le texte de la commission (2068) soumis à la première lecture :

–   le rétablissement à l’article 3 du Titre Ier du débat public pour le Réseau de Transport, sous l’égide de la CNDP 13

–   un représentant des communes au conseil de surveillance de la SGP 14,  à l’alinéa 3 de l’article 8

–   la notion de « maintien de l’activité agricole, la protection des espaces naturels, agricoles et forestiers et la pérennité du patrimoine hydraulique » (Titre V article 21 alinéa 12)

–   un comité consultatif auprès du conseil d’Administration de l’EPPS 15 comprenant des représentants du mouvement associatif (Titre V article 22 alinéa 7)

–   la mention « Cette zone comprend 2 300 hectares de terres agricoles » (du Titre V article 28 alinéa 5)


Et pour la suite

Malgré nos demandes, nous n’avons pas obtenu en commission :

–   la garantie de localisation et de conservation des terres agricoles préservées

–   un débat public digne de ce nom sur le Pôle Scientifique et Technologique

–   une gouvernance démocratique respectant les compétences du territoire

Espérons encore qu’aucune réjection partisane n’empêchera l’adoption des amendements 82, 84, 85, et  307 . Communiquons  vite notre avis à notre député Pierre Lasbordes .

Faudra t-il se résigner pour autant ? Après 4 ans de mûrissement gouvernemental, est ce la proximité des élections régionales qui fait urgence ? Pour cadrer un projet d’horizon 15 à 30 ans, nos représentants parlementaires doivent avoir le temps d’en débattre. Bernard Accoyer (UMP, président de l’Assemblée), et Jean-François Copé (président du groupe UMP) eux mêmes ont demandé au Premier Ministre de renoncer à la procédure accélérée qui réduit le nombre de navettes entre l’Assemblée et le Sénat. Associons nous à leur démarche en l’ écrivant à nos parlementaires.

Si les choses doivent rester en l’état, ce sera plus difficile  de rester vigilants lors de l’établissement et de l’exécution des contrats de développement territorial passés avec la SGP, et lors de la coopération indispensable avec l’EPPS pour la gestion de l’eau et de l’assainissement. Vigilants et fermes car les moyens de chantage de l’Etat ne manqueront pas.

Le Développement ou le Chaos ?

Gd Pari BlancNe nous abusons pas, le Grand Pari secret de M. Christian Blanc, ne serait ce pas l’urbanisation qui ne manquera pas de foisonner autour de son métro ?

Ses paroles, ses écrits, et ses actes le font craindre. Du béton contre notre qualité de vie, au nom d’une conception archaïque, technocratique, et autocratique de l’intérêt collectif ? Et ce n’est pas François Durovray (UMP, élu de Montgeron) qui me contredira avec son livre SOS IDF

Michel Meunier

délégué des AVB

membre de l’ASES

Lexique

*                    Entre Bièvre, Yvette, et Mérantaise, devront nous parler de « Silly zone Valleys » ?

1 OIN :          Opération d’Intérêt National (secteur Massy/Saclay/St-Quentin-en-Yvelines)

4 SDRIF :      Schéma Directeur de la Région Ile-de-France

6 CAPS :       Communauté d’Agglomérations du Plateau de Saclay

8 ASES :       Association de Sauvegarde de l’Environnement de Saclay

9 AVB :         association « les Amis de la Vallée de la Bièvre »

11 UASPS :   Union des Associations de Sauvegarde du Plateau de Saclay

12 IDFE :       association Ile de France Environnement

13 CNDP :     Commission Nationale du Débat Public

14 SGP :        Société du Grand Paris

15 EPPS :      Etablissement Public Paris-Saclay

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Contact : Stanislas Berteloot [email protected]