Dernier jour pour 2 places restantes au stage théâtre de Printemps :
Improvis’à fond !
Du 18 au 22 avril 2016
9h30 à 12h00 (7-10 ans)
14h à 17h (Pré-ado/Ado)
et de 14h à 17h pour les 2 groupes le 22/04
Restitution le 22 à 18h !
Les Optimistes Numériques (O.N.) sont « On » par opposition à « Off »… Ils sont ouverts, partants, confiants, ils créent et avancent sans peur.
Les O.N. pensent que la puissance du web peut changer les choses pour le mieux. Les O.N. prônent un comportement responsable.
Ils sont acteurs de la Sharing Economy et placent la confiance tout en haut de leur échelle de valeurs.
Lors de cette soirée, nous donnerons la parole à des acteurs locaux, représentants d’entreprises internationales, penseurs et journalistes.
Les actions qu’entreprennent ces intervenants sont amplifiées par Internet pour rassembler leurs communautés et pour faire bouger les lignes.
Comment réussissent-ils à transformer leurs campagnes digitales en actions tangibles dans la sphère citoyenne ?
Quelles techniques utilisent-ils pour inspirer et réunir leurs communautés de partisans?
Quel est le secret de leur inaltérable optimisme ?
Comment se rendre en Europe pour étudier ou travailler ? La mobilité européenne est une thématique très plébiscitée par les jeunes. Mais le manque d’information des programmes, les difficultés administratives, les coûts sont souvent des freins à l’aboutissement d’un projet de mobilité.
Le PIJ (point information jeunesse) de Saclay propose une journée de l’Europe pour tenter de répondre aux questions que se posent les jeunes sur la mobilité, les programmes d’échange dans le cadre des études ou d’un stage ou d’un travail, les spécificités des pays…
Le PIJ, associé au service jeunesse, au CMJ, au comité de jumelage et la FJPS s’unissent pour proposer une animation intergénérationnelle et interculturelle : plusieurs partenaires locaux associatifs ou institutionnels sont attendus et proposent un programme varié pour les jeunes mais aussi leurs parents :
– à 14h30, rappel historique du jumelage entre Saclay et les deux villes, allemandes et irlandaises, par Michel Legoff, président du Comité du Jumelage de Saclay et exposé des nouveaux projets tel que le projet d’échange prévu entre les petits élus du CMJ et les jeunes allemands. Monsieur Denis Leclerc, président de la fédération des comités de jumelage du plateau de Saclay présentera également les axes de cette nouvelle association, axes tournés notamment vers la jeunesse et visant à favoriser les échanges entre pays via notamment les jumelages.
– à 15H15, conférence sur les modalités d’échange dans l’Europe, les dispositifs de mobilité…par la maison de l’Europe et questions/réponses. Pour les jeunes ayant des projets de mobilité, réponses ce samedi 12 mars.
– à 16H30, goûter « européen », avec la participation du Service Jeunesse, des enfants de l’ALSH des écoles de Saclay (confection de drapeaux) et des petits élus du CMJ. Pour les gourmand(e)s et gourmet(e)s curieux de découvrir des desserts de nos voisins européens !
– à 18h, conférence de Hans Herth administrateur de la FAFA (fédération des associations franco-allemandes) qui animera une conférence sur « l’Allemagne au-delà des clichés : surprises et révélations ». À l’appui d’un diaporama et en partant de clichés, sa présentation, qui fait une large place à l’humour, nous fera découvrir ce pays voisin sous un autre jour. A ne pas manquer !
19H Conclusion et pot de l’amitié européenne.
Nous vous attendons nombreux, jeunes et parents, pour cette animation nouvelle ! Programme complet sur le site de la ville, auprès du PIJ et du service jeunesse.
Samedi 12 mars à partir de 14h30 à salle Loisirs & culture ; Entrée gratuite
Deux livres très différents mais avec deux points communs : les Eclaireurs Israélites de France (E.I.F ou E.I pour faire plus court) y sont à l’honneur et la préoccupation de « Ramener dans la Communauté » les enfants (premier livre) ou les jeunes adultes (le second livre) est commune.
Le premier livre, Le gardien de nos frères (Belfond – 2016), est le prolongement romanesque d’un mémoire écrit, en 1984, qui portait sur la résistance juive mais que peu de lecteurs à part les membres du jury de Science-Po ont pu lire. Ariane Bois a donc fait avant tout une œuvre de vulgarisation. L’auteur hésite trop entre journalisme, mémoire de chercheur et littérature. Le résultat est un roman populaire fort bien documenté. Cette fiction historique raconte l’histoire des « enfants cachés » pendant la guerre, que les « dépisteurs » ont eu pour mission, la guerre finie, de retrouver pour les ramener aux leurs, pas forcément les parents, qui sont ou ne sont plus, mais au moins dans leur Communauté. L’enquête passe par Jouy-en-Josas où se trouvait une des premières maisons à accueillir en 1945 des enfants juifs dispersés et cachés.
Le second livre nous fait entrer dans l’Ecole d’Orsay* où 400 élèves ont été scolarisés de 1946 à 1970. L’aventure est retracée dans « UN LIEU Où RECONSTRUIRE. L’école G.B d’Orsay. » Quand Robert Gamzon crée l’école, le projet pédagogique est fortement influencé par le mouvement des E.I.F, fondé par le même Gamzon. Aux candidats, il pose cette question _ Veux-tu consacrer un an de ta vie pour étudier ensemble les sources du judaïsme et comprendre ce qui nous est arrivé ? Barou’h Haba ! (bienvenue en hébreu). A la sortie, l’école pousse ses élèves vers le service social pour la Communauté. Mais deux ans après, la création de l’Etat d’Israël pousse le fondateur à partir avec 40 E.I. Léon Askénazi, ancien élève de la promo 1, prendra bientôt les rênes de l’école. Le petit-fils du Grand Rabbin d’Algérie succède au petit-fils du Grand Rabin de France. Il renouvelle l’enseignement, distille l’ésotérique Kabbale à quelques élus dans le parc. Avec Askénazi (Manitou chez les scouts, où Gamzon l’avait repéré), « le rêve d’un mouvement E.I adulte » disparaît au profit du renouveau de la personnalité juive auquel il se voue.
Le grand mérite du livre de Lucien Gilles Benguigui, paru aux Editions Elkana en 2009, est d’aborder ce lancinant tangage entre les deux projets. Un vrai travail d’historien accompli par cet ancien élève (1953-1954). L’éditeur (une maison francophone installée à Jérusalem) écrit à propos de l’auteur qu’il a été bouleversé par son passage dans l’école « C’est pourquoi il a choisi de vivre en Israël ».
Christophe BAILLAT
* On pourra également lire l’article de Monique Vénier-Ziesel paru dans le Cahier de Chloé (Comité d’Histoire Locale d’Orsay) n°8 – Juin 2002
Je rebondis sur l’article d’hier d’Olivier Delouya, « 10 € pour la bataille juridique … » pour en préciser la problématique.
Suite à l’enquête publique du printemps dernier, l’aménagement du secteur de Corbeville a fait l’objet fin juillet d’une Déclaration d’Utilité Publique (DUP) par le Préfet de l’Essonne.
Qui ne connait pas à Saclay la ferme de la Martinière ? Son histoire est relatée dans le livre de Martine Debiesse, « Terres précieuses ». Eh bien après les 20 ha de champs que son GFA « Petit Saclay » a perdus pour une « lisière » frontière avec la ZAC de Polytechnique, c’est maintenant 50 nouveaux hectares au nord de la D128 qui sont soumis à expropriation pour relier par un « cluster urbain » cette ZAC et celle de Moulon.
Ce nouveau quartier, sans programmation précise arrêtée, n’a trouvé à ce jour pour financement qu’une provision de la Région pour constitution de la réserve foncière. Ceci à un prix que la DUP veut geler à l’estimation de 2009, en atteinte aux droits de la propriété privée. Pure spéculation dont auront à profiter les promoteurs (pour les logements), et à pâtir les collectivités territoriales (qui devront supporter les équipements que fait miroiter le CDT : pôle sportif, CHU, lycée …).
Il suffit de regarder la vue perspective de l’endroit pour voir que Polytechnique et Moulon peuvent être parfaitement reliés au sud de la D128 sur la propriété du fonds Al Esraa (25 ha partiellement en déshérence) pour créer ce lien charnière entre les deux ZAC tant réclamé par l’Etablissement Public aménageur.
A condition bien sûr que certains abandonnent les rêves qu’ils nourrissent pour une cité des cerveaux, « entre soi » élitiste, voire pour l’Exposition Universelle de 2025, et même aussi, pourquoi pas, pour les Jeux Olympiques de 2024 !
L’existence de la zône protégée (ZPNAF) n’est pas un alibi pour sacrifier toutes les terres agricoles autour. Et quelle considération est déjà accordée à cette protection quand on sait que le Préfet des Yvelines a autorisé des travaux en ZPNAF à Châteaufort, pour les besoins du Golf National mitoyen ?
Ayant épuisé, sans se faire entendre, toutes les possibilités démocratiques de contestations et de propositions alternatives, les associations se portent en justice pour des recours contentieux. La DUP Corbeville n’est pas une fatalité, des irrégularités permettent de l’attaquer.
Certes David n’a pas les moyens de Goliath, mais le soutien participatif permettra aux associations de poursuivre leur action, jusqu’en Conseil d’Etat s’il le faut !
Donner peu, mais donner quand même, anonymement ou pas, c’est ajouter sa voix au concert de ces acteurs solidaires.
Aidez-nous à préserver ses terres agricoles en danger !
Nous sommes un groupe de citoyen-ne-s et d’associations mobilisées pour la défense des terres agricoles du Plateau de Saclay, menacées par l’urbanisation consécutive à une Opération d’Intérêt National , opération dont l’intérêt national est loin d’être démontré.
La technostructure étatique étant restée sourde aux alternatives proposées lors des enquêtes publiques, il est désormais temps d’actionner le recours juridique.
Afin de s’opposer à l’expropriation injustifiée de 50 hectares d’une exploitation agricole, nous avons décidé d’engager un recours contre la Déclaration d’Utilité Publique (DUP) de la zone de Corbeville, à cheval sur les communes d’Orsay et de Saclay (Essonne).
Cette DUP, qui permet l’expropriation, comporte des irrégularités juridiques que nous avons décidé d’attaquer.
Afin de sauver 50 hectares de terres agricoles fertiles, il faut que nous réunissions 10 000 euros pour les honoraires d’avocat et les frais éventuels, voire davantage pour pouvoir poursuivre et étendre cette contestation.
Nous avons besoin de votre soutien financier pour mener la bataille juridique et montrer que la démesure de l’OIN du plateau de Saclay ne rencontre pas l’assentiment des citoyens.
Depuis 10 ans nous tentons de protéger de l’urbanisation les terres agricoles très fertiles du plateau de Saclay, à 20 km de Paris.
Après de nombreuses interventions au travers des multiples enquêtes publiques nous ne voyons plus que le recours juridique pour sauver cette année 50 ha menacés d’expropriation
A quoi servira l’argent collecté ?
La collecte servira à couvrir les frais d’avocat et de justice pour cette bataille juridique
Notre équipe
AMAP Les Jardins de Cérès (Association pour le Maintien d’une Agriculture Paysanne)
AVB (Les Amis de la Vallée de la Bièvre)
CAS (Citoyens Actifs et Solidaires, d’Orsay)
Jouy Ecologie
ENE (Essonne Nature Environnement)
Terres Fertiles, Société Civile pour le Développement d’une Agriculture Durable en Ile-de-France
UASPS (Union des Associations de Sauvegarde du Plateau de Saclay et des vallées limitrophes)
Le blog JMS PHOTOGRAPHIES présente les meilleurs clichés de son auteur, photographe amateur. De 2011 à 2014 notamment, il a beaucoup photographié les étangs de Saclay. Créés sur l’ordre de Louis XIV, on le sait, pour alimenter les fontaines de Versailles, ils sont idéalement orientés Est-Ouest,
Ci-contre: Pêche matinale à l’étang neuf
ce qui en fait de superbes miroirs à l’aube pour ce qui est de l’étang neuf, au coucher du soleil pour ce qui concerne l’étang vieux. Les fantasmagories qui s’y reflètent à ces deux moments de la journée constituent un émerveillement pour le passant et une aubaine pour le photographe…
Les lecteurs de Monsaclay.fr ont déjà eu l’occasion de découvrir certaines de ces photos.
Ci contre: cygnes dans les couleurs du couchant (étang vieux)
Sur le plateau de Saclay les opposants au métro aérien souhaitaient profiter de la Cop21 pour attirer l’attention des médias.
Un groupe de manifestants venus de Notre Dame des Landes devait s’arrêter sur le plateau de Saclay avant d’arriver à Paris et être hébergés dans la ferme d’Emmanuel Vandame à Villiers-Le-Bâcle.
« Nous avions prévenu les autorités », déclare Emmanuel lors d’un entretien téléphonique avec MonSaclay.fr. « Nous leurs avions communiqués les noms des participants, leur l’itinéraire et la date d’arrivée ».
« Des gendarmes ont été déployés devant la ferme », dit-il. « Nous ne pouvons aller dans nos champs sans que nos identités soit systématiquement contrôlées ».
« Le gouvernement cherche à étouffer toutes contestations », ajoute Emmanuel, « tout comme lors de la réunion publique d’Orsay sur le Contrat de Développement Territorial Paris-Saclay Territoire Sud ».
Dans son article de Michel Meunier écrit : « Imaginez aussi la colère de cet agriculteur de Villiers-le-Bâcle quand on l’a empêché de parler du métro en interrompant brutalement sept fois sa question ! Alors que la ligne 18 est élément du CDT, fiche 2, qui parle même de son « intégration paysagère » (page 47) ».
Ce difficile équilibre démocratique ne risque-t-il pas d’être mis à mal par l’Etat d’Urgence ? De Saclay à Notre Dame des Landes c’est ce que craignent les militants.
Je reprend ici une communication de la zad de NDDL du 11/12/2015
Etat d’urgence : ne nous laissons pas bâillonner !
Appel du mouvement anti-aéroport
Face aux attentats meurtriers du 13 novembre, la réponse immédiate de l’État français a été la proclamation de l’état d’urgence, d’abord pour douze jours, puis pour trois mois (vote à la quasi unanimité du Congrès). Censé faciliter ou permettre, par des mesures d’exception, l’arrêt des attentats et la mise hors d’état de nuire de leurs auteurs, cet état d’urgence multiplie les mesures liberticides et, dans la lutte contre l’aéroport de NDDL, nous nous confrontons à certaines de ses conséquences
Les fichages réalisés par la police dans les mouvements de luttes servent désormais à des mesures répressives sans contrôle d’un juge ou sans procès. Des personnes ont été perquisitionnées à leur domicile et assignées à résidence pour avoir participé à une manifestation, distribué des tracts liés à la lutte de Notre Dame des Landes, ou participé à l’accueil du convoi CAP sur la Cop à Paris. D’autres se voient bloquées aux frontières ou reçoivent des obligations de quitter le territoire. Au-delà, c’est l’ensemble des manifestations de rue prévues lors de la COP 21 qui a été interdit et de nombreuses autres assignations à résidence ont été délivrées à des personnes ayant bravé l’interdiction.
Sous prétexte de protéger la population, l’État cherche à juguler et à dissuader toute contestation (interdiction des rassemblements et manifestations, liberté de s’exprimer)… mais n’annule pas les marchés de Noël ou les rencontres sportives dans de grands stades. On nous somme d’adhérer à l’union sacrée de gré ou de force : les « bons français » tous unis avec leurs politiques, qu’ils soient au pouvoir ou dans l’opposition.
Cette volonté d’enterrer des libertés fondamentales au nom de la sécurité ne concerne pas que les personnes en lutte mais touche de plein fouet les populations les plus discriminées, comme les personnes de confession musulmane ou les migrants qui fuient les fondamentalismes religieux et les conséquences de l’exploitation des pays du sud par les États occidentaux.
Ce régime pourrait bien ne pas être que passager. Tout comme nous avons dû nous « habituer » à Vigipirate, ou à la généralisation du fichage ADN , il est maintenant quasi certain que nous allons voir les mesures soi disant exceptionnelles de l’état d’urgence se pérenniser et s’inscrire dans la Constitution.
Note de MonSaclay.fr : Il est intéressant de noter ce que déclarait dans Le Monde le Professeur de droit public à l’université Jean-Moulin Lyon III, Marie-Laure Basilien-Gainche,
« Il ne faut pas mélanger les genres et troubler ainsi la hiérarchie des normes. Il y a une loi qui est destinée à durer et une prorogation qui ne l’est pas. Il est à craindre que certains éléments ne finissent pas entrer dans le droit commun.
Par ailleurs, l’article sur la dissolution des associations qui est introduit me paraît inquiétant : quasiment toutes peuvent rentrer dans son champ d’application et se voir dissoutes avec pour seul recours le juge administratif.
De la même manière, la terminologie de l’article sur les perquisitions administratives est trop floue. Une marge de manœuvre bien trop large est offerte aux autorités. Le contrôle du juge administratif semble peu à même de sanctionner les atteintes démesurées aux libertés.
Si la lutte contre ces derniers révèle ses limites, ce n’est pas faute de textes mais faute de moyens, tout particulièrement humains. Il n’est nul besoin de révision constitutionnelle. »
Malgré l’état d’urgence, le convoi Tracto-vélo du mouvement anti-aéroport s’est rendu jusqu’en Île de France, faisant jour à après jour reculer les frontières de l’interdiction qui lui était faite.
Il nous semble crucial de continuer à faire vivre et partager l’espoir politique qui se construit depuis NDDL : celui qu’il soit possible d’arrêter ici et maintenant les projets nuisibles et imposés, celui qu’il soit possible d’inventer ici et maintenant d’autres manières de vivre, d’habiter, de produire ou de cultiver.
En ces temps sombres, il nous semble plus nécessaire que jamais de partager notre force collective. Ne nous laissons pas bâillonner, continuons à manifester et à contester dans l’espace public.
A l’issue d’une campagne décousue, interrompue, rythmée au gré des actualités nationales, quels que soient les résultats à l’issue du vote, le rendez-vous de dimanche prochain entre les électeurs et l’avenir de la région IDF risque d’être manqué. Cette élection partait en trainant à son pied le boulet de l’impopularité et d’un manque de clarté aussi bien dans son mode de scrutin (à la fois majoritaire et proportionnel) que dans le sens même d’un Conseil régional.
En Essonne, ce sont treize listes qui se présentent pour diriger la Région Île-de-France pour les six années à venir. Cette diversité de listes et de candidats est peut-être le signal positif essentiel à retenir de cette campagne inaudible. Finalement que retiendrons-nous de cette élection ?
Transports, éducation, aménagement du territoire…Face à des programmes bien souvent méconnus des électeurs, il est aujourd’hui bien difficile de dire quels seront les enjeux régionaux qui feront le scrutin de dimanche prochain.
Régionales : trois Français sur dix prêts à voter FN
Le FN y est crédité de 28,5 % des intentions de vote au niveau national, en progression de 2,5 points par rapport à la mi-octobre. Devant les listes LR-UDI-Modem, qui, avec 28 %, reculent de 2,5 points comme dans « un effet de vase communicant », pointe Elabe. Les listes du PS restent stables à 23 %.
Si ce résultat se confirmait, ce serait un nouveau record pour l’extrême-droite, après ses scores aux élections européennes de mai 2014 (24,76 %) puis aux départementales de mars 2015 (25,24 %). Et « cela voudrait dire qu’il pourrait y avoir autant de Français votant pour le FN qu’il y en avait pour Marine Le Pen à la présidentielle, mais avec 30 points de participation de moins qu’en 2012 », analyse Yves-Marie Cann, le directeur de études politiques de Elabe. Les électeurs frontistes (plutôt jeunes, actifs et issus des catégories populaires) sont les plus mobilisés. 93 % de ceux qui avaient voté Marine Le Pen en 2012 ont l’intention de voter FN dimanche et 83 % de ces derniers se disent « sûrs » de leur choix.
En bref résumé, le réseau de métro Grand Paris Express n’est soutenu que par les partis dits « de gouvernement » (PS et LR/Centristes).
Normal puisque le GPE est le fruit de leurs désamours coupables. Devant l’inflation de coût prévisible et l’incapacité de financement actuelle, ils comptent bien sur les collectivités territoriales pour mettre la main à la poche.
Les principaux autres partis stigmatisent une gabegie de prestige :
– certains tronçons en zones peu denses sont d’utilité contestable,
– l’amélioration du réseau existant est sacrifiée,
– la cavalerie financière veut dire augmentation d’impôt et emprunt (donc dette).
Dans leur collimateur, la ligne 18 qui nous concerne, emblème du déséquilibre coût/service :
– DLF et le FN en demandent l’abandon pur et simple,
– EELV la veut plus courte (s’arrêtant à Massy, compte tenu des TCSP prévus jusqu’à St Quentin en Yvelines),
– le FG aussi, mais jusqu’à Orsay, tout en pensant à une dérivation vers le RER B, à Villeneuve-St-Georges.
C’est donc le métro de la discorde qui préside ces élections, mais attention de ne pas se laisser prendre ni à la démagogie ni aux discours incantatoires.
Et ne pas oublier le reste des programmes, qu’on aimerait bien d’ailleurs mieux connaître, tant les évènements ont étouffé la campagne.
En ce mardi 1er décembre nous avons perdu MITTEN notre chaton femelle noir et blanc agé de 5 mois. Elle a un collier rose avec tube d identité et clochette.
Nous habitons au 30 rue Baudelaire
Pour toutes informations nous sommes joignable au 0668660278.
MonSaclay.fr -- site communautaire et citoyen contribuant a faciliter la mise en relation des habitants de Saclay
au bourg et au Val d'Albian et de l'ensemble des habitants du Plateau de Saclay. MonSaclay.fr est un blog d'entre-aide; un blog d'information citoyenne sur les associations,
les ecoles, la vie de quartier... Saclay est une commune de l'Ile de
France sur le Plateau de Saclay en Essonne, 91 au sud de Paris. Les communes voisines sont Bievres, Jouy en Josas,
Orsay, Vauhallan.