Le prochain vide grenier organisé par le comité des fêtes de la ville de Saclay se déroulera dans les rues du bourg de Saclay le Dimanche 20 Septembre de 8h à 18h.
Les bulletins d’inscriptions sont disponibles aux accueils des mairies et en téléchargement (PDF)
Ce parc de 9 ha à la biodiversité qui en fait la richesse, abrite plusieurs arbres remarquables parfois plus que centenaires (séquoias géants, tilleuls, frênes…). Visite guidée en compagnie de l’office de tourisme de la Vallée de Chevreuse, de l’association Les Herbes Sauvages et d’un apiculteur. RDV devant la grille du château, chemin de la Martinière (durée 1h15). Dimanche 20 à 15h et à 16h30
Mon paysage dans l’objectif
50 photographies de passionnés du club Saclay-Visions. La vision d’un patrimoine vivant et à vivre conjuguant passé, présent et avenir, patrimoine culturel et naturel, qui engage Saclay dans le 21e siècle.
Du 15 au 20 septembre à la mairie. Visite libre en semaine aux horaires d’ouverture de la mairie. Visite commentée samedi et dimanche 15h-18h
Étangs et rigoles
Présentation du système hydraulique des étangs et rigoles de Saclay conçu il y a plus de trois siècles par Thomas Gobert, l’architecte-ingénieur de Louis XIV. En compagnie de l’Association des Etangs et Rigoles (ADER) du plateau de Saclay. RDV sur la digue des étangs.Dimanche 20, 10h-18h
Église saint Germain
L’édifice religieux du 13e siècle porte la dédicace de Saint Germain, Évêque de Paris. Visite en compagnie de l’association paroissiale Saint-Germain.
Samedi 19 et dimanche 20, 14h-18h
Cave de la mairie
Trésor caché : une cave médiévale de l’ancienne ferme des Tournelles, une des plus belles du Hurepoix. Visite libre à la mairie. Dimanche 20, 15h-18h
Parcours historique
Découvrir l’histoire de la ville en suivant les bornes disséminées dans les rues du Bourg.Visite libre à pied samedi 19 et dimanche 20
L’association Terre et Cité vient de remporter Mardi 7 Juillet un Appel à Manifestation d’Intérêt de la Région Ile-de-France pour un financement du Fonds Européen Agricole pour le Développement de l’Economie Rurale (FEADER) de la Commission Européenne. Le programme LEADER du Plateau de Saclay a remporté 1 239 000 euros de Fonds Européens, qui permettront de mobiliser au total plus de 2 millions d’euros pour soutenir le développement des espaces ouverts et agricoles du plateau de Saclay de 2016 à 2022. C’est une grande première et une très belle nouvelle pour notre territoire! Ces financements s’inscriront dans le cadre de la stratégie de développement locale définie par l’ensemble des acteurs du Plateau de Saclay depuis trois ans, suite au grand cycle de concertation territoriale organisé par Terre et Cité. Des dizaines d’idées de projets avaient émergé alors, et beaucoup ont été approfondies au cours d’ateliers de travail rassemblant les acteurs concernés et tout particulièrement les agriculteurs. Ce travail a été mené en partenariat et avec le soutien des collectivités territoriales : Communautés d’Agglomération du plateau de Saclay, de Versailles Grand Parc, de Saint-Quentin en Yvelines, Départements de l’Essonne et des Yvelines, Région Ile-de-France, Services de l’Etat (EPPS, DRIAAF, …) et tous les acteurs locaux; qu’ils en soient tous remerciés.
Les projets financés pourront avoir une vocation agricole, individuelle ou collective, notamment pour garantir la pérennité des espaces agricoles (circulations agricoles, réseau hydraulique des rigoles), développer les filières de proximité (points de vente, diversification des productions) ou contribuer à améliorer les pratiques environnementales. Ils pourront également contribuer à la valorisation patrimoniale du territoire, par le biais par exemple de la mise en place de sentiers découvertes, d’outils numériques ou d’évènements culturels. Le programme permettra enfin de faire émerger des projets innovants pour améliorer les filières de proximité ou la prise en compte de l’environnement, en lien avec la recherche, les collectivités, les acteurs agricoles et la société civile.
L’attribution de ces fonds sera décidée par un Comité de Programmation rassemblant l’ensemble des parties prenantes de ce territoire. Le Plateau de Saclay dispose donc désormais d’un espace de co-construction pour le devenir de ses espaces agricoles et naturels qui associe l’ensemble des acteurs concernés. L’association Terre et Cité sera en charge de l’animation et du suivi administratif et financier du programme.
Cette nouvelle vient consacrer 15 ans de travail de fond mené sur le Plateau de Saclay pour la reconnaissance et la valorisation des espaces naturels et agricoles. Terre et Cité a le grand plaisir de vous convier à célébrer l’arrivée du programme LEADER sur notre territoire, Jeudi 24 Septembre à 16h30 à la Maison pour Tous de Villiers-le-Bâcle. Cet évènement commencera par une introduction officielle du programme et des étapes à venir pour faire émerger des projets concrets et se terminera par un rassemblant festif et convivial.
Terre et Cité œuvre depuis 2001 à rassembler les différents acteurs de ce territoire pour travailler au devenir des espaces agricoles et naturels et faire émerger des projets concrets portés par les acteurs locaux. De nombreux projets agricoles (fournil, yaourts pour la restauration collective, maraîchage, etc) ont vu le jour ces dernières années pour créer du lien entre acteurs locaux (agriculteurs, élus, associations, citoyens, chercheurs, entreprises, etc).
Nous sommes toujours sous le coup d’une potentielle fermeture de classe dans notre école Maternelle Pauline Kergomard au Val.
Actuellement 123 élèves sont inscrits (+1 en attente de décision). Le seuil pour fermer la 5e classe est de 120 élèves, celui pour la maintenir est de 125 élèves.
Un comptage des élèves présents aura lieu le jour de la rentrée par l’inspection académique. C’est sur la base de ce comptage que la décision du maintien ou de la fermeture de la classe sera prise.
Aussi la présence de tous les enfants est indispensable mardi 1er septembre 2015.
Si votre enfant ne pouvait être présent le jour de la rentrée, merci de contacter la directrice de l’école Mme Gagnière (01 69 41 85 64 – [email protected] ) afin de lui remettre un justificatif d’absence.
Sans ce justificatif d’absence, votre enfant ne sera pas comptabilisé dans les effectifs.
Kaufman & Broad annonce avoir remporté les droits de construire un programme d’environ 200 lits au sein d’une résidence privée pour étudiants à Gif-sur-Yvette, au terme d’une consultation menée par l’Etablissement Public Paris-Saclay en partenariat avec la Fondation de l’Ecole Centrale Paris.
Située au coeur du quartier de Moulon, cette résidence sera à proximité directe des établissements d’enseignement supérieur (Centrale, Centrale-Supélec, ENS Cachan, Université Paris Sud) et des transports (gare Orsay-Gif).
« Ce quartier accueillera une grande diversité de programmes : logements familiaux, activités économiques, logements étudiants, commerces, services… », souligne le constructeur immobilier.
La résidence proposera aux étudiants des logements individuels et des logements en colocation de deux à quatre étudiants. Le début des travaux devrait avoir lieu en novembre 2016 et la livraison est prévue pour septembre 2018.
Jeudi 1er octobre, inauguration de la nouvelle laiterie de la Ferme de Viltain à Jouy en Josas. La ferme investit et parie sur le local pour pérenniser son élevage aux portes de Paris.
Cet événement consacre plus de soixante ans de savoir-faire en matière de transformation de notre lait en produits laitiers et s’inscrit pleinement dans le credo du « manger local » de tout temps revendiqué par notre famille.
Itinéraire d’une aventure laitière
Installée en 1950 à Jouy-en-Josas par la famille Dupré, la Ferme de Viltain a fabriqué son premier yaourt avec le lait de ses vaches en 1954. Dès les années 70, la famille, dont le troupeau laitier s’est étoffé, développe le concept de vente à la ferme et ouvre un premier espace de vente en circuit court. L’idée est à l’époque fondamentalement novatrice mais le concept trouve rapidement son public.
Au fil des années, la Ferme de Viltain fabrique ses faisselles, fromages frais, lait et lait fermenté dans sa laiterie. Le reste de sa gamme de produits et notamment les yaourts aux fruits, est fabriquée avec le lait de Viltain acheminé à la Ferme de Grignon et à Pari Lait, coopérative créée en partenariat avec la Ferme de Viltain. La qualité des produits associée à l’engouement des consommateurs et des opérateurs de la grande distribution pour le « manger local » assure le succès de l’entreprise. En 2013, la laiterie Pari Lait ferme ses portes. La fabrication des produits laitiers est donc aujourd’hui assurée pour partie par la Ferme de Viltain et pour partie par la Ferme de Grignon située aussi dans les Yvelines. En 2015, l’inauguration d’une nouvelle laiterie à la Ferme de Viltain marque une étape majeure dans l’aventure laitière de cette ferme francilienne.
Inauguration de la nouvelle laiterie le jeudi 1 octobre
Trois questions à Benoît Dupré, gérant de la Ferme de Viltain
Pourquoi une nouvelle laiterie à la Ferme de Viltain ?
« Aujourd’hui, la taille modeste de notre laiterie ne nous permet plus de répondre à une demande croissante de produits laitiers locaux en Ile-de-France. De plus, nous souhaitons poursuivre notre activité dans le respect des valeurs qui ont toujours présidé à son développement. Depuis 1950 en effet, notre famille est attachée aux notions de « bien manger », « manger local » et de « fabrication artisanale ». Nous avons été des précurseurs en matière de consommation de proximité, en circuit court. Dès 1954, nous avons proposé à nos clients des yaourts faits à la ferme avec le lait de nos vaches. En 1970, mon père, Jean-Marie Dupré, fut l’un des membres fondateurs du GIE Chapeau de Paille qui lançait alors en France le concept de cueillette de fruits et légumes dans les champs. Aujourd’hui, la consommation de proximité a le vent en poupe, mais nous avions largement anticipé ce mouvement et militons depuis toujours pour maintenir un lien plus étroit entre les consommateurs et le monde de l’agriculture. Répondant à la demande des clients de notre marché de la ferme, des grossistes puis des collectivités locales, nous avons développé pendant des années notre activité de transformation de notre lait en produits laitiers. »
Quels horizons vous ouvre cette nouvelle laiterie ?
Les investissements que nous venons de réaliser, en partie grâce à une subvention du conseil général des Yvelines, visent à intégrer à l’atelier existant un ensemble de nouvelles machines (matériels de fabrication et de conditionnement) qui nous permettent de relancer une gamme de yaourts (yaourt nature étuvé, yaourt bicouche ou brassé aux fruits). Nous avons d’ores et déjà rapatrié à Viltain la fabrication du Milquidou, produit emblématique de la ferme. Cette nouvelle laiterie induit par ailleurs l’embauche d’un troisième laitier en plus des deux fromagers qui travaillent déjà à plein temps.
Quels sont vos atouts sur ce marché des produits laitiers ?
Grâce à notre élevage, nous bénéficions d’un approvisionnement immédiat. Vient ensuite notre savoir-faire artisanal traditionnel. En soixante ans, nous avons acquis une expertise et une véritable légitimité dans le domaine laitier. De plus, nous bénéficions d’une tendance confirmée des consommateurs à « manger local ». Et la demande en produits locaux est telle qu’elle touche aujourd’hui les particuliers, mais aussi la restauration collective. Tous se préoccupent désormais de l’origine des aliments, de leurs conditions de production et d’acheminement. Notre implantation périurbaine nous ancre à la fois dans le local et dans l’idée de maintenir une agriculture de proximité. Il n’y a plus de laiterie artisanale en Ile-de-France. L’agrandissement de la nôtre offre une belle opportunité de développer des produits laitiers locaux !
Spécificité du lait de la Ferme de Viltain
Les 350 vaches laitières de Viltain sont de race Prim’Holstein, considérée comme étant la meilleure race laitière. Les animaux sont essentiellement nourris de céréales produites sur l’exploitation. Le lait de Viltain n’est pas homogénéisé, cela signifie que la matière grasse n’a pas été retirée puis réintroduite. Ce système, courant pour plus de 99% du lait produit en France, présente deux inconvénients :
– L’altération de la crème présente dans le lait. Or c’est la crème qui donne ce si bon goût au lait … et aux produits laitiers qui en découlent. – Le taux de matière grasse réintroduit est normé, un lait entier dépasse rarement 36g de lipide/litre, …sauf à Viltain !
« Producteur Artisan de Qualité »
La Ferme de Viltain a l’honneur d’avoir obtenu l’appellation « Producteur Artisan de Qualité » décernée par les prestigieux membres du Collège Culinaire de France. Cette association fondée par les plus grands chefs étoilés Français soutient l’initiative de la Ferme de Viltain de pérenniser la dernière laiterie d’Ile de France et de développer la production de produits laitiers locaux.
La Ferme de Viltain c’est aussi …
Une des plus importantes fermes périurbaines d’Ile de France. Ses terres cultivées s’étendent sur les communes de Jouy-en-Josas, Buc, Les Loges en Josas, Bièvres, Villebon et Saclay.
La ferme partage son activité entre l’élevage de vaches laitières, la fabrication de produits laitiers à partir du lait de ses vaches, le marché de la ferme qui propose des produits laitiers mais aussi une sélection des meilleurs produits artisanaux et fermiers d’Ile de France et des terroirs français, la cueillette en directe, et la culture de céréales destinées à nourrir le troupeaux.
La Ferme de Viltain accueille depuis plus de trente ans de nombreuses écoles auxquelles elle propose des visites pédagogiques.
La ferme est présente depuis 30 ans au Salon International de l’Agriculture et au Sial depuis 2008. Sa présence à ces événements témoigne de la pérennité de l’agriculture francilienne.
Viltain bénéficie du soutien de la population environnante qui croit en une agriculture périurbaine et à une ferme laitière aux portes de Paris.
Inauguration de la nouvelle laiterie le jeudi 1 octobre à 12H30 suivie d’un buffet campagnard
Il reste quelques places pour les débutants CE2,CM1 et CM2
Martha sera présente Forum des Associations au stand de la FCPE le 5 septembre de 13h30 à 18h00.
Le dimanche 6 septembre elle sera à votre disposition à son domicile juste derrière le Forum des Associations au 18, rue Pasteur pour vous faire visiter les locaux et prendre des inscriptions de 14h00 à 18h00.
Les séances se déroulent sous forme de jeux, théâtre, sketches, mîmes, reportages, interviews, théâtre de marionnettes, mini jeux télévisés comme : «question pour un champion», jeux de société en anglais etc.
PLACES ENCORE DISPONIBLES POUR:
Mardis
CE2 et CM1
16h10
Mercredis
CE2 et CM1
16h30
Mercredis
CM1 et CM2
17h30
Vendredis
CE2 et CM1
16h10
Pour les séances de 16h10, votre enfant peut être récupéré
Samedi 19 septembre à partir de 15h, j’aurai le plaisir de présenter dans le grand salon du château du Marais undiaporama intitulé:
« Images du Hurepoix »
Cinq années à la recherche de la beauté en Hurepoix.
Photographies: JM SATTONNAY.
Pêche matinale – Etang neuf de Saclay , 2011.
seront ainsi présentées mes meilleures photographies de la région , datant des années 2009 à 2014 , période pendant laquelle je l’ai beaucoup sillonnée appareil photos en mains. Il ne s’agit pas d’une présentation didactique et exhaustive des caractéristiques de la région, mais d’une approche esthétique, même si certaines de ces caractéristiques apparaissent de fait. Ainsi certains sites qui m’ont particulièrement inspiré – ils sont devenus mes sites photographiques fétiches – sont privilégiés : c’est le cas du plateau de Saclay et notamment des étangs, des environs de Gometz-la-Ville, du château du Marais par exemple…). J’aime à photographier certains d’entre eux à des moments différents ou à des saisons différentes , d’où la présence de variations sur tel sujet. Les images sont groupées selon différents thèmes (par exemple : arbres, coquelicots, le Hurepoix au fil des saison, sur le plateau du Hurepoix, châteaux et parcs, soleils couchants… ou en fonction de ces lieux fétiches.
Le prix d’entrée au Marais (8 euros) comprend la visite du musée Talleyrand et du parc, les animations de cette Journée du patrimoine (notamment des présentations de divers métiers d' »art de la restauration ») , et le diaporama à voir dans le grand salon.
A Verrières, c’est l’année VILMORIN, consacrée à la commémoration du bicentenaire de l’installation de cette famille de pépiniéristes dans la commune. Le 3 octobre, un concours de recettes à base de pommes de terre va être réalisé : il faut s’inscrire sur http://www.mairie-verrieres-91.fr/ville , et chaque participant réalisera un plat chaud le jour J. Le but? Attirer l’attention sur le rôle des Vilmorin dans le développement de ce légume. D’autre part, du 11 septembre au 3 octobre, une exposition sur PARMENTIER se tiendra à la mairie.
Le monument « Aux Vilmorin », de Joseph Carlier, près de la villa Sainte Christine (ancienne mairie). (L’allégorie de l’Horticulture, l’allégorie de l’Agriculture, l »enfant vannant).Ces trois statues ,jusqu’ici séparées, ont été réunies à l’occasion de l’année Vilmorin.
Le samedi 18 juillet s’est produit à Villiers-le Bâcle un évènement qui a été relaté dans les journaux régionaux, une « opération Césarion » en quelque sorte :
Ce dernier article comportait aussi une déclaration de la Préfecture, que le GRACOPS1 a tenu à commenter, toujours dans les colonnes de l’Essonnien. Le commentaire publié comportant quelques défauts de mise en page, il est reproduit ci-après in extenso :
ZAD du plateau de Saclay – Commentaire du GRACOPS1 sur la réponse préfectorale
Une tentative de constitution d’une ZAD démantelée ? Félicitons nous de l’intervention efficace d’une escouade de gendarmerie empêchant une dangereuse bande d’activistes en short et chapeau de paille de dresser une cabane symbolique dans un champ.
Ceux-ci n’avaient pas pris la peine de demander une autorisation de travaux, inspirés peut être par l’article 29 de la loi Macron, qui permet de ne plus faire démolir les constructions illégales autorisées abusivement en zone agricole. Ils croyaient naïvement que l’accord verbal du maire suffisait. Gageons donc que les autorités feront preuve de la même vigilance envers la ferme-usine de Drucat qui a outrepassé les surfaces du bâti de son permis de construire et exploite actuellement 220 vaches de plus que son autorisation …
Mais passons l’anecdote, et citons : « Le préfet de l’Essonne, au nom de l’intérêt général, regrette et condamne les désinformations. Il rappelle que la République garantit, tout au long des procédures, l’expression démocratique de toutes les opinions dans le cadre des lois et règlements. »
Tout à fait d’accord avec lui dans le principe, sauf que dans les faits, l’Opération Paris-Saclay n’est pas un modèle du genre.
Que penser de l’information du public effectuée par les « interlocuteurs en responsabilité » ? Leurs « actions de communication » sont bien les mots justes car elles utilisent les techniques de la communication publicitaire : slogans, « story telling », glorification de la compétition, onirisme de la grandeur, incantation sur l’intérêt national. Techniques appropriées pour vendre l’idée du projet en faisant rêver l’inconscient collectif. Il n’y a qu’à relire le texte de la préfecture pour entendre une variation bien jouée de la partition. La glose sur plus de 2400 hectares de terres agricoles protégées omet que sur le Plateau, c’est seulement 2333 ha, le reste étant hors OIN et dans les vallées. Et elle attribue à l’Etat une « attention toute particulière » alors qu’il avait été contraint par la lutte associative locale à n’en massacrer que 400 ha au lieu de 1000. A l’aube de la COP212 à Paris, le bilan carbone de cette urbanisation vaut bien d’être lauréat d’un fonds ministériel d’un demi-million d’euros pour la croissance verte !
Quant à la désinformation condamnable ? C’est celle pratiquée par des opposants qui se permettent de discuter la notion d’intérêt général et ne cessent de stigmatiser le projet, lui reprochant des incohérences et une démesure inutiles, ainsi que l’autoritarisme autiste qui l’impose. Car malheureusement pour le confort de l’Etat et de sa technostructure, il existe sur le territoire une intelligence collective qui regroupe des individus compétents et qui, avec des moyens le plus souvent bénévoles, recoupe les études contradictoires et propose des solutions alternatives. Outre les associations majeures et reconnues comme « Terre et Cité » et les AVB3, l’exemple significatif est celui de COLOS4 qui publie sur son site internet des réquisitoires implacables, dont le dernier en date porte également sur cette réponse préfectorale.
Parlons donc de l’expression démocratique garantie par les procédures de la République. Le cas d’école est celui de l’Enquête Publique sur le CDT5 Paris-Saclay Territoire Sud. A l’issue d’un travail de compilation remarquable, la Commission d’Enquête a émis un avis défavorable le 23 avril 2015, rendant justice à la contribution des centaines de citoyens ayant participé. Mais ce cas exceptionnel tranche avec la succession d’enquêtes partielles morcelant le projet pour échapper aux critères d’un vrai débat public, et où les commissaires enquêteurs n’ont pas eu le même courage. Pour preuve récente, celle pour DUP6 du secteur de Corbeville : sur un dossier inconsistant, malgré les contestations fondées dont celle de la Chambre d’Agriculture interdépartementale d’Ile de France, l’avis rendu est favorable, sans l’ombre d’un commentaire ni de recommandations.
Pour revenir au CDT-Sud précité, la recommandation n°5 de la Commission d’Enquête était de « renforcer substantiellement la concertation, pendant la période d’actualisation, definalisation et d’adoption du CDT, ainsi que pendant le suivi de sa mise en œuvre en créant un mécanisme de concertation ». L’EPPS7 travaille sur l’actualisation de ce CDT depuis juin, le comité de pilotage a été réuni le 10 juillet, ses 7 maires disposent d’une confidentielle copie de travail. Le préfet de l’Essonne, qui préside ce Comité de Pilotage, veut bien nous rappeler que la République garantit l’expression démocratique mais il ne donne aucune nouvelle sur le mécanisme de concertation recommandé !
Si les pratiques courantes d’application des lois et règlements sur les débats publics étaient satisfaisantes, pourquoi le Président de la République a t’il confié au sénateur Alain Richard une commission spécialisée du CNTE8, chargée de proposer des pistes de rénovation? En mars 2015, cette commission a procédé à l’audition de 12 représentants de mouvements d’opposition aux GPII9, puis à celle du Président de la CNDP10. Monsieur le Préfet pourrait s’inspirer de leurs propositions concrètes de modernisation de la démocratie participative.
Il y a en France plus de 50 de ces Grands Projets, tous antinomiques avec les objectifs de la COP21. Certains sont : emblématique comme à Notre-Dame-des-Landes, tragique comme à Sivens, bloqué comme à Roybon. Nous n’en sommes pas encore là sur le Plateau de Saclay, mais cabane ou pas, la trentaine de personnes du 18 juillet sont des lanceurs d’alerte loin d’être isolés. Notre territoire est bien une Zone à Défendre.
1 GRACOPS : Groupe de Réflexion et d’Action Citoyenne sur l’Opération Paris-Saclay
2 COP21 : 21ème réunion de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques
3 AVB : Amis de la Vallée de la Bièvre
4 COLOS : Collectif OIN Saclay, regroupant plus de 100 associations
5 CDT : Contrat de Développement Territorial
6 DUP : Déclaration d’Utilité Publique
7 EPPS : Etablissement Public Paris-Saclay
8 CNTE : Conseil National de la Transition Ecologique
« Il n’y a pas si longtemps, l’agriculture du Plateau, c’était le Père Vandame, le Père Dupré, le Père Trubuil, le Père Laureau…Maintenant, ce sont tous les fils (ou toutes les filles !) qui ont repris l’activité. »
Célébration collective des familles agricoles du Plateau de Saclay
C’est en lisant la newsletter envoyée par la Présidente de Jouy Ecologie que j’ai été informé de la parution de ce livre de témoignages d’agriculteurs et agricultrices du Plateau de Saclay. Le préfacier de « Terres précieuses », Thomas Joly, est Président de Terre & Cité. Le livre participe donc à un courant de défense du territoire qui mobilise depuis des années ses acteurs pour la pérennité des terres agricoles. On y retrouve plusieurs signatures emblématiques comme celles de François Lerique, porteur du projet « alternatif » contre « l’entêtement de l’Etat » et amapien*, de Laurent Sainte-Fare Garnot, gérant de Terres Fertiles qui « rassemble des gens très engagés dans la réflexion sur le devenir du territoire »… Voilà pour les présentations.
Revenons au livre et d’abord à son auteur.
Sous l’apparente harmonie de la voûte céleste, le scientifique voit un lieu de combats. Je ne veux pas mettre ici l’accent sur les combats, encore qu’ils existent (c’est l’un des mérites du livre de les rappeler), mais souligner l’importance de l’œil de l’observateur dans l’observation.
Formée à l’Ecole de la statistique, plutôt que de continuer à « compter les vaches », comme elle le dit, Martine Debiesse a préféré conter les vies. Comment s’est formé l’œil de cette biographe professionnelle qui a trempé sa plume dans la terre, et d’où lui vient sa sensibilité pastorale ? En réalité, sans s’en douter jamais, son destin était écrit. Sa généalogie combinée la convoquait pratiquement pour écrire l’histoire de ce territoire qui a comme elle une double identité. Non aveuglée par son ascendance paternelle (son grand-père dirigea le CEA durant seize ans), Martine Debiesse a su tirer parti de ses racines paysannes du côté maternel pour tisser des liens avec les agriculteurs entrepreneurs du plateau. Sous sa plume on les voit comme les truites dans l’eau transparente d’une rivière. Rivière menacée mais les poissons sont bien décidés à se battre pour vivre.
Tour de plaine
Le livre nous emmène sur la terre des générations qui se succèdent. De la G1, « Le Plateau de Saclay, dans l’temps », la génération qui s’implante initialement, à aujourd’hui (G3, G4), c’est-à-dire avant et pendant le « tsunami de l’urbanisation » (interview de Cristiana Modica Vandame, une Sicilienne devenue agricultrice à Villiers-le-Bâcle pour une raison sentimentale). Vers l’an 2000, ces familles d’agriculteurs du Plateau se demandaient, face aux projets qui s’annonçaient, si les gens qui habitaient ou travaillaient sur le Plateau voulaient conserver ce paysage agricole ou si ça leur était complètement égal. Guillemette Dupré–des Courtils (G3) explique qu’une poignée d’agriculteurs du Plateau a tout déclenché, « la création de Terre et Cité, toutes ces études […] », qui ont fait connaître le métier, ses enjeux, pour que change le regard sur l’agriculture.
Je ne sais pas si l’homme descend du poisson, laissons cette question aux scientifiques, mais ces fils et filles (Francine Allavoine Garcin, Emmanuel Laureau, Emmanuel Vandame…) qui poursuivent aujourd’hui l’exploitation ont envie de « défendre le côté agricole du territoire ». Ténacité exigée. On sera surpris de la résilience dont Charles Monville, éleveur de volailles bio, a fait preuve pour que son rêve de posséder une exploitation se réalise enfin, à 37 ans.
Avec ce nouveau livre, on perçoit mieux la mentalité agricole car il est écrit à hauteur d’homme, dans la pâte humaine qui fermente, qui lève et donne – parfois – des « pousses de cultivateurs ».
Euh, pardon, je me trompe de synopsis : l’éclosion de la rébellion, c’est ici et maintenant.
Depuis le lancement de l’Opération d’Intérêt National en novembre 2005, toutes les associations concernées par la sauvegarde de l’environnement du Plateau de Saclay avaient réagi. Les deux organismes aménageurs créés par les lois de 2010, l’Etablissement Public Paris-Saclay (EPPS) et la Société du Grand Paris (SGP), ne se sont pas distingués par une grande écoute de ces protestations, et ce qui devait arriver arriva : l’opération ne recueille pas l’assentiment du territoire.
Déjà le 12 mai 2012, une grande manifestation était organisée par le collectif « Enterrez le métro », qui dénonce le non-respect par la SGP de la promesse faite suite au débat public en 2011, pour la ligne verte du Réseau de transport public du Grand Paris , sur ce qui deviendra la ligne 18 du Grand Paris Express.
Et nouvelle manifestation le 9 avril dernier devant les locaux de la CAPS, pendant que dans la salle, le Conseil Communautaire votait une motion annonçant des actions contentieuses si ses demandes légitimes devaient rester ignorées par l’EPPS.
Car entre temps, les élections municipales de 2014 avaient changé la donne en remplaçant 3 des 7 maires du comité restreint qui avait validé le projet de Contrat de Développement Territorial Paris-Saclay Territoire Sud. Néanmoins, l’Enquête Publique a été menée sur le dossier CDT de 2013.
Journal de l’actualité récente :
Le 23 avril, coup de théâtre, la Commission d’Enquête Publique rend un avis défavorable, suivant objectivement les 676 avis d’associations et de citoyens. C’est un fait sans précédent dans l’histoire des CDT. Alors, pour que les recommandations de la Commission d’Enquête ne restent pas lettre morte, se monte un Groupe de Réflexion et d’Action Citoyenne sur l’Opération Paris-Saclay (GRACOPS).
Le 11 juin, réunion SGP de « concertation renforcée » à Magny-les Hameaux ; ambiance houleuse, colère d’agriculteur coupé de ses champs, mécontentement des riverains, protestation d’élus pas ou mal consultés.
Le 15 juin et ensuite, une lettre ouverte aux élus est remise par le GRACOPS dans les conseils municipaux des 11 communes de la CAPS.
Le 22 juin, l’EPPS annonce que le comité de pilotage du CDT a pris la décision d’actualiser le dossier pour le présenter à nouveau en enquête publique avant la fin de l’année.
Le 23 juin, lors de la conférence sur les transports par câble organisée par COLOS, le vice-président du STIF (Syndicat des Transports en Ile de France) s’indigne de voir autant de deniers publics gelés pour une ligne 18 de métro sous-employée alors qu’il seraient bien placés dans une desserte moderne Saclay-Courtabœuf s’appuyant sur un RER B amélioré ; message relayé vers la CAPS par l’UASPS.
Le 25 juin, le Conseil de la CAPS, à l’unanimité des présents, refuse de reprendre en patrimoine les équipements publics qui n’auraient pas fait l’objet d’un accord express des collectivités, dans et hors ZAC, au Moulon (délibération D2015-93), et à Polytechnique (délibération D2015-94).
Le 30 juin, le GRACOPS adresse une lettre ouverte au préfet de région et aux membres du Comité de Pilotage du CDT pour exiger une réelle concertation.
Et aujourd’hui ? Le Comité de Pilotage du CDT se réunit …
Le pianiste Dinu Constantinescu organise à la salle Lino Ventura le lundi 29 Juin à 20h30 un concert de musique de chambre.
Le programme initialement prévu en trio et annoncé sur le bulletin municipal de Juin, a dû être modifié en raison d’un empêchement du clarinettiste.
Le nouveau programme comprendra des oeuvres de Beethoven, Dutilleux et Schubert que je jouerai avec le flûtiste Ivan Bellocq et des nocturnes de Chopin pour piano seul.
Le 23 juin 2015 à 19h, COLOS organise une conférence-débat publique à l’École polytechnique sur le thème de la desserte du plateau de Saclay utilisant les RER et des moyens de transport par câble, en particulier des téléphériques urbains.
La conférence fera intervenir Pierre Serne, vice-président du Conseil régional d’Ile-de-France et du STIF (Syndicat des transports d’Ile-de-France), l’autorité organisatrice de tous les transports franciliens, ainsi que Yoann Rispal, chef du projet Téléval, un projet de téléphérique urbain en cours de réalisation dans le Val-de-Marne, et des représentants de la société POMA, le champion français dans ce domaine technologique.
La parole sera également donnée aux représentants des communes de Palaiseau et d’Orsay, les plus directement concernées, pour qu’ils présentent leurs points de vue respectifs sur la mise en place concrète des solutions proposées.
de Pierre Veltz
Comment vont évoluer nos villes dans les décennies à venir ? Nous avons tendance à croire que les choix structurants sont ceux des grands acteurs publics et privés. Et si, à moyen terme, la force principale de changement était celle des modes de vie, des choix des individus, de leurs façons de voir le travail, la résidence, la consommation, la mobilité ? Cette hypothèse est d’autant plus plausible que les formes économiques émergentes sont en train de bouleverser les cadres qui ont formaté depuis des décennies notre vie quotidienne et celle des entreprises. Cette économie émergente sera plus fluide, plus légère et plus collaborative. Plus fluide : un atout majeur des milieux métropolitains est de permettre la reconfiguration permanente de chaînes d’acteurs et d’activités qui remplacent progressivement les organisations hiérarchiques et rigidement distribuées dans l’espace de l’ère taylorienne. Plus légère : pour la plupart des activités, les contraintes techniques de localisation (énergie, matières premières) sont beaucoup moins prégnantes que dans le passé, même proche. La masse des activités tertiaires n’exige guère plus que l’accès, désormais ubiquitaire, à l’Internet. Plus collaboratif : l’accès prime sur la possession (Airbnb, autopartage, etc.). Les biens, les informations et même l’énergie s’échangent de manière plus horizontale, selon des canaux inédits.
Une question cruciale est de savoir si les grands acteurs de la fabrique urbaine sont en phase ou en décalage croissant avec ces nouvelles tendances. Comment répondre à la pression croissante des individus pour retrouver une relative unité de lieu entre emploi et résidence ? En Ile-de-France, les salariés, surtout jeunes et éduqués, votent de plus en plus avec leurs pieds en faveur des métropoles moyennes, où le rapport entre qualité et coût de la vie est bien meilleur, et la vie quotidienne moins disloquée par les transports. Ils refusent les heures passées dans des trains bondés ou sur des autoroutes saturées, pour retrouver des écrans d’ordinateur aujourd’hui disponibles partout !
S’agissant des objets immobiliers, il n’est pas certain que l’usine sera toujours l’usine, le bureau toujours le bureau. Un retour du « manufacturing », allégé et non polluant, dans les coeurs urbains est possible, comme on le voit à San Francisco, par exemple. Pour le travail tertiaire, de nouvelles formules émergent : espaces créés par la puissance publique comme les Smart Work Centers hollandais, centres de « coworking » organisés par les firmes, ou collaboratifs et informels, à l’échelle d’une résidence par exemple. Combien de salariés pourraient travailler chez eux, au moins partiellement, et en sont empêchés simplement parce qu’ils n’ont pas la pièce en plus qui permettrait d’être tranquille ?
Cette déspécialisation naissante des objets immobiliers peut s’accentuer. D’ores et déjà, l’hybridation des fonctions dans des espaces historiquement très typés est frappante (les aéroports devenant des centres commerciaux, par exemple). L’émergence de tiers lieux, aux fonctions ouvertes, répond à des besoins de fonctionnalité finalement assez homogènes et simples (plus besoin d’unités informatiques centrales ; avec le cloud, plus besoin de bureaux coûteux rigidement câblés), et surtout à des besoins de sociabilité et de convivialité qui deviennent un attribut essentiel de ces espaces.
Le cycle économique et urbain qui s’ouvre est bien celui de l’économie fluide, légère et collaborative, centrée sur un monde de professionnels éduqués mettant les choix de vie en première priorité. La ville devrait dès lors s’organiser toujours davantage autour d’une fonction « résidentielle élargie », le logement étant le pivot central de l’organisation temporelle des individus, mêlant habitation, production, commerce, éducation à l’échelle du quartier ou même de l’immeuble. Les acteurs, publics et privés, de la fabrique urbaine auraient tort de s’enfermer dans le perfectionnement des produits du passé, alors que s’invente, encore dans les marges, un avenir urbain profondément différent.
Pierre Veltz, chercheur, est PDG de l’établissement public Paris-Saclay
Il est constitué d’un ensemble de 56 000 planches classées en 2007 au titre des Monuments historiques. Elles reflètent les travaux de la société Vilmorin depuis 1612. Un appel à des bénévoles est lancé pour trier et classer une partie du fonds avant numérisation et transfert au musée d’Histoire Naturelle.
Dans le cadre du centenaire de l’installation de la famille Vilmorin à Verrières le Buisson, le public a eu accès à l’herbier de la famille Vilmorin, grâce à des visites guidées organisées par la mairie. Il est constitué d’un ensemble de 56 000 planches classées en 2007 au titre des Monuments historiques. Elles reflètent les travaux de la société Vilmorin depuis 1612 .Ce « trésor » est entreposé depuis 2003 à un étage de l’ancienne ferme expérimentale des Vilmorin, devenue aujourd’hui le centre culturel André Malraux. Il jouxte le château de la famille.
Dans la salle de l’herbier , au Centre culturel André Malraux.
Ainsi le 23 mai dernier, Christian Sifre, chargé par la commune de gérer ce patrimoine, a guidé les visites : il a brossé d’abord l’ historique de la société Vilmorin , créée au XVIIIe siècle grâce à l’association entre Philippe-Victoire de Vilmorin , vite passionné de botanique après des études de médecine, et le botaniste Andrieu.
Christian Sifre montre un herbier intéressant par le « geste de botaniste » d’autrefois qu’il révèle.
Après avoir eu l’idée d’acclimater des plantes venues du monde entier, les Vilmorin, à la suite des travaux de Mendel sur la génétique des végétaux, entreprennent d’améliorer la nature en créant de nouvelles espèces. Ces démarches ont entraîné la constitution au fil du temps d’un imposant herbier.
La visite, passionnante, a permis de découvrir des exemples d’herbiers, intéressants aussi par les « gestes de botanistes » anciens qu’ils révèlent (façon dont ils fixaient ou présentaient leur plante, annotations diverses); les visiteurs ont pu prendre aussi connaissance grâce à certaines planches
Présentation des aquarelles « publicitaires » de la maison Vimorin , œuvres d’artiste japonais.
d’exemples d’amélioration de plantes (portant sur le blé notamment).Ils ont découvert aussi des planches illustrées destinées à la publicité de l’entreprise,, ou des aquarelles de fleurs réalisées par des artistes japonais, dont le célèbre Foujita , dans le même but . Un travail de tri et de mise en ordre d’une partie du fonds avant numérisation et transfert au muséum d’Histoire naturelle est en cours, et fait appel à des bénévoles.
Si intéressés par une participation à ce travail, contacter la mairie de Verrières le-Buisson au 01 69 53 10 37.
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au bourg et au Val d'Albian et de l'ensemble des habitants du Plateau de Saclay. MonSaclay.fr est un blog d'entre-aide; un blog d'information citoyenne sur les associations,
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France sur le Plateau de Saclay en Essonne, 91 au sud de Paris. Les communes voisines sont Bievres, Jouy en Josas,
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