Il semble que les élèves ayant eu à utiliser le gymnase de Favreuse lundi 15 juin au matin pour leurs classes de sport ont trouvé un lieu sale et encombré des installations du festival Sport & Musiques.
Les gradins étaient pliés mais toujours sur place. Les enfants ont du faire cours au milieu de détritus (mouchoirs en papier, cartons, chips…).
Cette situation, d’après une enseignante, se produit régulièrement après les festivités organisées le week-end. Il est probable que les services de la mairie n’ont pas eu le temps d’intervenir avant l’arrivée des enfants. Cette situation est incompatible avec l’usage scolaire du local.
Espérons qu’à l’avenir, une meilleure organisation sera mise en place pour éviter ce dangereux désagrément pour les enfants et les enseignants.



Il fait chaud à Saclay. Depuis plusieurs jours le soleil de juin atteint 23 c° à l’ombre. Au fond de son jardin, assis dans un transat, Henri Buléon, 83 ans, lit le Parisien dans la fraîcheur d’une petite maison qu’il utilise comme abri de jardin. « Mon rôle c’est de rendre service autour de moi », dit il.
Lorsque la guerre éclate, Henri a 17 ans, il rejoint les Forces française de l’intérieure (FFI). Il est rapidement nommé Agent de Liaisons. « Je connaissais bien le coin, alors, lorsque les parachutistes français entrainés en Angleterre étaient envoyés près de chez moi je devais les repérer et les conduire discrètement jusqu’à Saint Marcel à 30 kms de là. »
guerre, au moment de la poche de Lorient, il se débarrasse à temps de sa Sten, une mitraillette anglaise à 39 coups, avant une rafle.