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Info Citoyen

L’épicerie participative de Jouy

Fév 12, 2022

Depuis près d’un an l’épicerie participative : l’Épi Vert située à Jouy-en-Josas a ouvert ses portes pour le plus grand bonheur de ses adhérents. Ils gèrent l’association, donnent 2 h de leur temps par mois, choisissent fournisseurs et produits en vente à l’Épi Vert. Approvisionnement direct privilégié, la part belle est faite aux producteurs locaux et aux produits bio, sans aucune marge. L’épicerie compte plus de 52 fournisseurs ; on y trouve notamment des fruits & légumes frais, des laitages, des boissons, des conserves, des biscuits, des épices, de nombreux produits en vrac, des produits d’hygiène et de beauté. Elle ouvre en fin de journée la semaine et le samedi (12 h par semaine). En plus d’une épicerie, c’est un véritable lieu d’échange et de convivialité : apéros, dégustations, dons, ateliers. Si vous habitez à Jouy-en-Josas ou les communes limitrophes, ou si vous travaillez à Jouy-en-Josas, n’hésitez pas à rejoindre l’Épi Vert. Basée sur le modèle monepi (https://monepi.fr), l’association promeut une alimentation saine, durable, locale et solidaire.

6 rue de la Manufacture des Toiles de Jouy 78350 Jouy-en-Josas

Plus d’informations : [email protected]

Site : https://monepi.fr/home?nomurlsite=lepivert

Association

Participez au nouveau forum en ligne de l’Association Bourg de Saclay

Nov 22, 2017

Vous êtes concernés par votre cadre de vie ? Vous voulez :

  • Être informés des projets,
  • Donner votre avis,
  • Partager vos idées,

Sans forcément participer à des réunions ?

L’Association Saclay Bourg vous attend !

 

Grâce à son forum de discussion en ligne organisé par thématiques, vous pourrez contribuer directement aux débats.

 

www.assosaclaybourg.free.fr

 

Les principaux sujets : urbanisme & environnement, transports, sécurité, circulation, évènements, commerces…

Quelques soient vos attentes, aidez-nous à créer et à faire vivre cette association en nous rejoignant. Nous avons souhaité développer un mode de fonctionnement ouvert à tous et permettant à chacun de s’exprimer.

Soyons très nombreux à l’Association Saclay Bourg et nous deviendrons un acteur crédible.

Prise d’information, simple vote, expression sur le forum ou bien, pour les sujets qui vous tiennent plus particulièrement à cœur, participation à des séances ponctuelles de travail.

 

Les premiers sujets de dsicussion envisagés par l’association :

  • La sécurité et la circulation dans le Bourg,
  • La maison des associations,
  • Les projets de constructions,
  • L’installation de caméras de surveillance,
  • La future ligne de métro
  • En espérant vous avoir convaincu de l’intérêt de devenir membre de l’association.

Contact : [email protected]

Association, Info Citoyen

ILS VEULENT ASSOCIER LA FETE ET L’ECOLOGIE … Une initiative de JEUNES à IGNY.

Jan 17, 2015

Un projet original.

Ils sont cinq, deux filles , Camille et Juliette, trois garçons Clément, Maxime et Pierre, âgés de 21 à 24 ans, anciens amis de lycée pour trois d’entre eux : ils forment le sympathique « équipage » du collectif LE SUBMERSIBLE , une association fondée début 2011 , qui se donne pour ambition d’associer fête et sensibilisation aux thèmes éco-responsables. « Tout est parti de l’acquisition d’une vieille caravane modèle 1977, relookée tout au long d’un été à coups de bombes de peinture » explique Maxime ; elle est aujourd’hui leur mascotte, et aussi le support de leurs actions, servant par exemple selon les besoins de bar, de billeterie, ou encore de cabine DJ ! La mairie d’Igny a mis à leur

Caravane de l'assoc

 

 

          La caravane- mascotte du collectif Le Submersible.

 

disposition un local, où il peuvent confectionner des modules et décors     pour leurs projets, et leur a accordé une bourse « Igny’tiatives », réservée aux jeunes. Ils ont déjà organisé plusieurs soirées avec musique électronique (Pierre est le spécialiste du groupe dans ce domaine) , en créant des décors et ambiances différents , à partir de matériaux de récupération : ainsi une ambiance « jungle » à Palaiseau en août, grâce à un décor qui « donnait l’illusion d’un village perdu au milieu de la forêt », explique Maxime. Ils ont aussi participé par exemple au festival Solidays (solidarité sida) où leur caravane a servi de QG des bénévoles…

L’hybride festival.

Mais le grand projet qu’ils préparent, c’est l' » hybride festival  » , prévu les 22 et 23 mai, sur la Prairie des Bois brûlés, à Igny : hybride bien sûr parce qu’ il associera Fête et Ecologie ! Des animations variées sont envisagées : musique, performances sportives, et artistiques seront au programme. Sur le plan musical, ils peuvent compter sur Pierre pour la musique électronique, mais, dit Maxime « l’association vogue au gré de nos rencontres avec musiciens ou artistes d’horizons très différents », et le recours à des musiciens extérieurs est probable. Côté activités sportives, une table de ping-pong ronde sera installée, et il y aura des démonstrations de performances sportives (free-style football, slackline, break dance …) avec la possibilité d’y être initié. Sont prévus des ateliers de création de masques et instruments de musiques en matériaux recyclés pour les enfants. Sur le plan artistique, un spectacle de break dance, des bolass, diabolos, du cirque sont envisagés, tout n’est pas encore finalisé. Pour la mise sur pied de tout cela, ils feront appel aux compétences nombreuses de leur cercle de connaissances, un choix large est assuré.

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 Ambiance autour d’un totem dans le décor « jungle » de Palaiseau (au « Ferry » , lieu de vie culturel).

 

Et l’écologie?

« En tant que jeunes, nous vivons depuis longtemps avec une sorte de menace écologique au dessus de notre tête, mais paradoxalement c’est nous qui avons l’impact le plus néfaste. » explique Maxime.  » Nous n’avons pas la prétention de pouvoir changer le monde, mais il nous parait primordial de faire un effort collectif concernant des gestes simples pour un avenir durable. Car comme l’a dit Antoine de St Exupéry : « Nous n’héritons pas de la terre de nos parents, nous l’empruntons à nos enfants.» Belle citation!

L’utilisation, pour construire leurs décors, de matériel de récupération trouvé dans la zone industrielle d’Igny leur paraît déjà s’inscrire dans cette optique. « Les entreprises ne doivent pas payer pour se faire enlever leurs déchets et cela évite que des camions viennent les enlever. Le choix des entreprises et prestataires avec qui nous travaillons se fait aussi par rapport à un périmètre limité, nous essayons de nous fournir au plus près pour éviter les déplacements inutiles », assure Maxime. Les ateliers de créations qu’ils animent à la MJC d’Igny, dont les réalisations seront visibles lors du festival, se font aussi à partir de matériel de récupération. Ils envisagent encore de mettre en place des « itinéraires de mobilité douce » pour venir au festival: piste cyclable, parcours pédestre, covoiturage… Est prévu aussi « un affichage de sensibilisation douce » aux comportements éco-responsables: « Clément, un de nos membres, vient de lancer son département recherche. Les informations collectées serviront de base de données pour le créer. » précise notre interlocuteur.

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Au marché de Noël d’IGNY, une délégation du collectif: de g à dr , Charles, Pierre, Maxime, Camille.

 

 

En vue du festival, ils cherchent à s’autofinancer par diverses actions, par exemple des ventes lors d’événements sur la commune d’Igny: ce fut le cas au marché de Noël récemment, et ils seront avec leur caravane au festival de jazz des 30 et 31 janvier 2015, où ils créeront un petit décor. Leur participation à ces événements, facilitée par la mairie, leur donne aussi plus de visibilité.

jms

On peut voir aussi leur site https://hybridefestival.wordpress.com/lassociation-le-submersible/  et leur page Facebook : https://fr-fr.facebook.com

Cet article a paru également dans la BLOGAZETTE des Ulis et du Hurepoix, une gazette sur le Net :

www.jmsattoblogazettedesulis.blogspot.com

Association, Enfance, Plateau de Saclay

La 17e Fête champêtre du Rotary club d’Orsay à la ferme de Viltain: pour le plaisir des enfants.

Juin 3, 2012

Belle animation pour le week-end de Pentecôte, par un temps quasiment estival, à la ferme de Viltain, sur le plateau de Saclay. Pour la 17e année, le Rotary club d’Orsay, une association qui finance des actions caritatives localement et dans le Monde, avait installé, toutes sortes de stands de jeux pour les enfants autour du « Marché de la Ferme ». Jeux de quilles, chamboule-tout, pêche à la ligne, jeux d’adresse divers, stands de tirs, il y en avait pour tous les goûts ! Avec à la clé, des lots que l’on allait chercher dans le local de la laiterie… Les petites demoiselles pouvaient même bénéficier des services d’une maquilleuse ! On faisait aussi la queue pour la promenade en poney, qui avait grand succès ! Autre queue au stand des pâtisseries, et surtout à celui des glaces au lait « maison » de Viltain, la chaleur aidant !

Ferme de Viltain, 27 mai.

« Le bénéfice de cette fête champêtre contribuera à financer une action d’équipement d’un centre de formation au Cameroun », explique Dominique VOLTZ, président en exercice du Rotary-Club.

Un jolie manifestation qui séduit visiblement beaucoup de familles et contribue à faire vivre le plateau de Saclay autour de ses agriculteurs.

Parallèlement, la cueillette directe dans les champs, une spécialité de Viltain, battait son plein ! Les parkings situés devant la ferme étaient combles, et des myriades de « cueilleurs » constellaient les cultures !

JMSattonnay

Photographe amateur et blogueur.

Quelques images:

Viltain pense beaucoup aux enfants ! Prochaines actions dans leur direction : la plantation de fraisiers les mercredis 6, 13 et 20 juin. C’est pour les 3 à 12 ans et c’est gratuit.

SUITE DE L’ARTICLE sur: http://jmsattoblogazettedesulis.blogspot.com/2012/05/une-fete-champetre-sur-le-plateau-de.html

– plus d’images de la fête champêtre.

– ZOOM sur LE ROTARY CLUB D’ORSAY et son action.

PAYSAGE DU PLATEAU DE SACLAY -AVRIL 2012. www.jmsattohurepoix.blogspot.com

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Association, Enfance, Info Citoyen

Crèche parentale de Saclay : la lettre envoyée aux élus

Jan 28, 2011

Comme prévu annoncé, l’association PERA a envoyée début janvier à chaque élu municipal une lettre exposant la situation critique dans laquelle se trouverait la crèche parentale si la mairie persistait à supprimer les subventions qu’elle lui attribuait jusqu’alors pour financer les places – semble-t-il plus onéreuses – de la seule crèche privée.
Un courrier – à cette date resté réponse – qui permettra à nos élus de mesurer  la situation qui semble se dessiner, afin qu’ils puissent prendre des décisions en toute connaissance de cause.

Madame, Monsieur,

En votre qualité d’élu(e) municipal, vous avez peut-être entendu parler du fait que le CCAS envisage, à compter de 2011, de ne plus accorder à la crèche parentale de Saclay les subventions dont elle bénéficiait jusqu’alors.

Le 26 juin dernier, en effet, le bureau de notre association (qui gère la crèche), s’est vu signifier par Mme Brizard, M. Page et M. Debras le fait que « l’équipe municipale [avait] décidé de mettre fin aux subventions versées par la commune à la crèche [de Saclay en 2011] », et qu’il fallait donc que nous organisions la fermeture de notre établissement pour fin 2010.

S’il nous a bien été précisé que « les élus déplorent la fermeture de [notre structure] », nous avons cependant peine à croire que vous avez pris cette décision en toute connaissance de cause.

Savez-vous que les subventions du CCAS sont vitales pour la crèche parentale de Saclay ? Voulez-vous vraiment la fermeture d’un établissement présent sur la commune depuis 10 ans, qui n’a en rien démérité, et qui emploie 5 personnes ?

Nous n’ignorons pas que la situation financière de la Ville s’est, dans le contexte économique actuel et au vu des investissements consentis pour le nouveau groupe scolaire, beaucoup dégradée – mais si on a prévu de l’argent pour financer 30 berceaux, pourquoi les 14 berceaux de la crèche associative existante ont-ils été écartés au profit de ceux d’une nouvelle crèche privée ?

On nous a opposé que les subventions municipales à la crèche les Crabouillages avaient beaucoup augmenté, ces dernières années : c’est vrai.
Entre 2005 et 2010, le montant total des subventions que la mairie a versé à la crèche a presque doublé, passant de 18 000 à presque 35 000 euros.
Cette évolution est la conséquence directe des évolutions réglementaires récentes concernant les crèches : la « Prestation de Service Unique » mise en place en 2004 a fortement diminué la contribution financière des familles au fonctionnement des crèches, imposé une facturation à l’heure de présence effective, et fait entrer la fourniture des repas et des couches dans le budget de nos établissements.
D’autres évolutions réglementaires – nouvelle convention collective pour le personnel, nouvelles obligations sanitaires pour la préparation des repas…- et obligations sécuritaires – mise aux normes électriques du bâtiment en 2005, exigences de la PMI qui, vu la configuration de nos locaux, nous conduit à avoir une employée supplémentaire… – ont fait passer en cinq ans notre budget de fonctionnement de 130 000 à 170 000 euros.
Sans le soutien de la mairie, nous n’y serions pas arrivés – et nous en sommes bien conscients.

Cependant, pour importante qu’il ait été, et pour impressionnante que puisse être son évolution, cette aide financière n’a rien d’exceptionnelle.
Au cours des 10 dernières années, la crèche a, presque systématiquement, accueilli chaque année une douzaine d’enfants saclaysiens (sur une quinzaine d’enfants accueillis au total).
Si l’on rapporte les subventions (trimestrielles et exceptionnelles) du CCAS à ce nombre, le coût d’une place en crèche parentale pour la mairie de Saclay n’a jamais atteint 3 500 euros, alors que selon les dires de la PMI de l’Essonne et des mairies que nous avons contactées, une place en crèche coûte en général entre 7 000 et 10 000 euros par an.
La commune de Saint-Aubin ne s’y est d’ailleurs pas trompé : alors qu’elle dispose de plusieurs crèches, elle a signé avec nous une convention qui prévoit que si nous accueillons un enfant de sa commune, elle nous subventionnera à hauteur de plus de 4 000 euros par an pour un plein temps. C’est dire que, bien que notre budget ait considérablement augmenté ces dernières années, notre coût de fonctionnement est tout à fait compétitif avec celui d’autres crèches… D’ailleurs, comment pourrait-il en être autrement ? Notre crèche est soumise aux même contraintes que les crèches communales ou privées classiques (nombre d’employés, taille des locaux, etc), mais nous n’avons aucun but lucratif, et une partie non négligeable du travail (gestion administrative de l’établissement, participation aux gardes, entretien des locaux et du jardin, courses alimentaires) est effectuée bénévolement par les parents dans notre cadre associatif.

Mais alors, si notre crèche ne coûte pas plus cher qu’une autre, pourquoi devrait-on la fermer et licencier ses 5 employées ?

« La structure ne profite pas uniquement aux enfants saclaysiens (…), la ville vient de voter une augmentation des impôts locaux, et il n’est pas forcément légitime qu’une partie de cette augmentation soit consacrée au financement d’un mode de garde pour des enfants extérieurs à la ville*« , nous dit-on.
Certes.
C’est vrai, nous n’avons pas l’esprit de clocher : bon an mal an, depuis qu’elle s’est installée sur Saclay, la crèche a toujours compté entre 2 et 5 non-saclaysiens dans ses effectifs. Pour chacun d’entre eux, nous avons sollicité auprès des mairies dont ils relevaient des subventions, et nous n’avons hélas pas toujours été entendus. Cependant, jamais nous n’avons sollicité de subventions auprès du CCAS pour les enfants non saclaysiens.
Si la mairie estime avoir financé la garde d’enfants extérieurs à la ville, c’est donc sans doute au regard des subventions exceptionnelles qui nous ont été octroyées. Mais nous l’avons vu, même si on rapporte l’ensemble des subventions perçues aux seuls enfants saclaysiens accueillis, le coût d’une place dans notre crèche n’a jamais été déraisonnable.
Pire : pour éviter d’avoir à réclamer une année sur deux une subvention « exceptionnelle » à la mairie, il avait été proposé d’actualiser la subvention « normale » octroyée par le CCAS (7 euros par jour de présence effective/saclaysien, depuis 2007) pour la porter aux 19 euros par jour de la subvention « standard » que nous accordent Saint-Aubin et Chateaufort, mais ce principe, acté lors d’une réunion à la mairie en 2009, ne s’est jamais traduit dans les faits.
Comment peut-on nous reprocher de risquer de financer avec les impôts saclaysiens la garde d’enfants extérieurs à la ville alors que les mesures qui permettaient d’éviter cet écueil n’ont pas été prises ?
Peut-on raisonnablement, tout en critiquant la croissance de notre budget de fonctionnement, nous en vouloir d’accueillir aussi des enfants d’autres communes alors que ceux-ci sont parfois plus subventionnés par leur mairie que ceux de Saclay ?

Vous avez fait le choix de financer la création d’une nouvelle crèche à Saclay, et c’est un bon choix. En matière de petite enfance, l’offre de notre commune était grandement lacunaire, et pouvoir bénéficier de ce mode de garde sera sans nul doute très apprécié des familles saclaysiennes.

Mais ne gâchez pas ce bel effort en en faisant payer le prix à la crèche associative existante, aux familles qu’elles accueillent (qui ne se sont d’ailleurs pas toujours vu proposer une place dans la nouvelle crèche, contrairement à ce qui avait été annoncé), ni surtout à ses cinq employées qui, jour après jour, assurent un travail de qualité.

Une crèche parentale, contrairement à une crèche privée ou communale, ce n’est pas qu’un lieu de garde pour les enfants en bas âge.
Ceux qui y entrent ne se contentent pas de payer pour que leur enfant soit gardé : ils doivent s’investir dans la structure, y assumer des responsabilités variées, assurer des heures de garde d’enfants avec les professionnelles…
Les « Crabouillages », ce n’est donc pas seulement une crèche, c’est surtout des relations fortes entre parents et professionnelles, des opportunités de travail ou de formation pour un public défavorisé, des enfants qui grandissent ensemble, des Saclaysiens qui se rencontrent et oeuvrent ensemble pour un but commun, un apprentissage de la vie associative et de la parentalité, un lieu d’engagement, de solidarité et de discussions animées…
La bonne centaine de familles saclaysiennes qui en ont bénéficié vous le diront : « c’était dur, c’était prenant, mais c’était bien, et nous y avons beaucoup appris ».
Pourquoi vouloir mettre un terme à cette belle réalisation en supprimant les subventions à notre structure ?
Au regard de celui des structures similaires ou de l’apport à la vie locale saclaysienne, son coût n’est en rien excessif.

Si la ville ne voulait pas augmenter son budget petite enfance, pourquoi avoir réservé 30 berceaux à la crèche privée, et non pas avoir subventionné 15 nouveaux berceaux en plus des 14 que nous proposons depuis 10 ans ?

Pourquoi, si le numéraire fait défaut, la mairie ne nous subventionnerait-t-elle pas en nature, en nous fournissant des locaux, les repas des petits, ou quelques heures de ménage chaque jour ?
Beaucoup de crèches parentales bénéficient de ce type de facilités, ce qui allège d’autant leur budget de fonctionnement.
Jusqu’à présent, la Mairie, à qui nous soumettons depuis 2005 nos problèmes de locaux, n’avait pas de locaux à nous proposer. Maintenant que ceux de l’ancienne maternelle du Val sont libres, ne pourrions-nous pas en bénéficier ?
Vous le voyez, il existe de nombreuses solutions pour que la crèche parentale ne ferme pas.

La subvention versée par Saclay représente à peine le cinquième de notre budget, mais elle nous est indispensable.

Si vous décidez de nous la supprimer à l’heure même où vous envisagez d’augmenter le nombre de places en crèche sur la commune, expliquez-nous en quoi nous avons démérité, pourquoi la belle histoire de cette association trentenaire doit soudain s’achever, et comment expliquer à nos employées qu’on doit les licencier alors qu’elles font un travail remarquable, que de nombreuses familles sonnent à notre porte pour demander une place pour leur enfant aux « Crabouillages », et que l’urbanisation du plateau de Saclay ne laisse aucun doute sur l’évolution croissante à venir du besoin de places en crèche dans notre commune.

L’avenir de notre crèche, de nos professionnelles et de notre association dépend de vous : de grâce, prenez-en soin !

Vous remerciant de votre attention et restant à votre disposition pour toute discussion complémentaire (nous pourrions par exemple convenir d’un rendez-vous un mardi ou un samedi, si vous le souhaitez), je vous prie d’agréer, Madame, Monsieur, l’expression de nos sentiments les respectueux, et nos meilleurs voeux pour l’année qui commence.

Le Bureau PERA,

Association, Enfance, Info Citoyen, Val d'Albian

2011 : année de la fermeture de la crèche parentale de Saclay ?

Jan 1, 2011

Par Association P.E.R.A

Installée depuis plus de 10 ans au val d’Albian, la crèche parentale de Saclay s’inquiète pour son avenir, celui de ses cinq employées, et de la quinzaine de familles qu’elle accueille.

Le soutien de la mairie de Saclay à cet établissement associatif semble en effet sur la sellette pour 2011 – or si elles ne représentent qu’un cinquième du budget total de la structure (le reste étant financé par la CAF, le Conseil général de l’Essonne, les familles, et les mairies d’autres communes), les subventions consenties chaque année par le CCAS de Saclay sont vitales pour la crèche.

« Nous sommes très inquiets pour l’avenir de notre structure et pour nos employées » reconnait J. Chapoulie, secrétaire de l’association.
« Il y a quelques années, alors que nous avions demandé, lors d’une réunion consacré à la possible installation d’une crèche privée à Saclay, ce qu’il adviendrait de nous si une crèche privée s’installait à Saclay, on nous avait affirmé qu’au vu de l’évolution démographique de la commune il y aurait de la place pour tous les modes de garde, et qu’on continuerait à nous soutenir. Aujourd’hui, la mairie a gentiment proposé de reprendre les enfants de notre crèche dans la future crèche privée, mais pourquoi fermer un établissement qui fonctionne bien et  licencier ses employées, alors que le service qu’il rend est toujours d’actualité ?
Je ne crois pas que les élus saclaysiens souhaitent vraiment la fermeture d’une structure associative locale dynamique qui rend depuis plus de dix ans un service de garde de qualité aux familles de Saclay.
Il y a sûrement un malentendu faute d’une communication suffisante de notre part, et nous allons nous efforcer de le lever, afin que 2011 ne soit pas l’année de la fermeture de la crèche de Saclay »

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sont Bievres, Jouy en Josas, Orsay, Vauhallan.

Contact : Stanislas Berteloot [email protected]