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Vallée de la Bièvre

Environnement, Info Citoyen, Plateau de Saclay, Vallée de la Bièvre

Gaspard Koenig à Bièvres au Mille Feuilles pour « Humus »

Oct 6, 2023

Humus* étant parti du plateau de Saclay, non loin du Mille Feuilles à Bièvres, Véronique Banuls a tout de suite eu envie d’inviter l’auteur à une rencontre-dédicace. Son vœu s’est réalisé le 05 octobre. Elle a montré à Gaspard Kœnig depuis la terrasse de sa librairie-restaurant où se situe le plateau scientifique puisque le roman passe par AgroParis Tech.

— Qui vous a transmis ce que vous transmettez ? — Ma mère a écrit un Carnet du jardin, son expérience m’a été utile à retardement.

Sorti le 23 août, le livre Humus a été présenté peu de jours après par son auteur au pavillon du compostage collectif à Paris 13e, ce qui donne une petite idée de son contenu. Peut-on faire des lombrics un sujet littéraire ? Les membres des jurys des prix Goncourt, Renaudot… ont retenu dans leur sélection ce roman social écologiste dans la tradition du grand roman réaliste.

Dans un lieu idéal pour quelques dizaines de personnes, Gaspard Kœnig a parlé sans détours de son jardin en Normandie, de sa discipline d’écriture (il a écrit Humus à Paris) et de son expérience de « baroudeur » tout terrain, à cheval ou dans les allées du pouvoir. Le nouveau terrain qu’il a choisi comme romancier, profite bien sûr de ses précédentes expériences, donnant par exemple de la force à la scène de rencontre avec un ministre, plus vraie que nature.

Ce roman lâche les deux personnages principaux (pour ne parler que d’eux) : Arthur qui reprend la ferme de son papi, et Kevin qui devient un industriel, face à la complexité du monde. L’un et l’autre vont aller loin, très loin. « Arthur n’est pas d’emblée un militant », et Kevin a comme première idée un projet industriel nécessitant peu de capitaux. Humus est aussi une réflexion sur la façon dont les hommes peuvent régler leurs rapports entre eux en prenant – désormais – en compte le vivant.  Et l’invité, philosophe, de conclure par un appel à vivre « des passions joyeuses ».

Christophe Baillat

Contact Mille Feuilles : Tél. 01.69.85.32.69 ou [email protected]

* Gaspard Kœnig, Humus, Éditions de L’Observatoire, 2023, 379 pages.

Agenda, Art, Val d'Albian, Vallée de la Bièvre

Nicolas Meyer : auteur Saclaysien dédicacera son roman le 11 juin à Bièvres

Juin 6, 2022

Samedi 11 juin, à la librairie « Mille feuilles » de Bièvres, de 16 à 18 heures, Nicolas Meyer, Saclaysien depuis 22 ans, vous propose une rencontre autour de son roman historique « Quand le Soleil engendrait des rivières », inspiré par les rigoles de Thomas Gobert, l’aqueduc de Buc, les grandes eaux de Versailles et même la machine de Marly !

Association, Bon plans, Info Citoyen, Vallée de la Bièvre

Une épicerie participative à Jouy

Oct 21, 2021

En mars dernier une épicerie participative a ouvert ses portes à Jouy, affiliée au réseau mon épi (https://www.monepi.fr/). 

On y trouve des produits frais (fruits, légumes, crèmerie, œufs, poulets, poissons fumés…), de l’épicerie de base et de l’épicerie fine, pain et pâtisserie, tisanes, bières et vins, épices diverses. La quasi-totalité des produits alimentaires est bio.

On y vend aussi des produits sanitaires et d’hygiène. Une partie des produits  est vendue en vrac.Le principe est simple : on adhère moyennant une cotisation annuelle, on donne deux heures par mois pour faire marcher le magasin et on bénéficie de tous ces produits à des prix intéressants.

Une newsletter mensuelle tient les adhérents au courant de la vie du magasin et un apéro des adhérents est organisé une fois par mois également.
Il reste quelques places pour de nouveaux adhérents mais il faut se dépêcher !

Pour tout renseignement c’est ici :

[email protected] 

et pour adhérer :
https://monepi.fr/homeMonEpi.php?nomurlsite=lepivert

Agenda, Bon plans, Environnement, Paris-Saclay, Plateau de Saclay, Vallée de la Bièvre

Les AVB soutiennent la préservation des terres fertiles d’Ile-de-France

Oct 7, 2021

Message des AVB.   

Comme vous le savez, notre association est engagée dans la protection des terres agricoles du plateau de Saclay. Nos préoccupations rejoignent celles de tous ceux qui demandent une transition vers l’autosuffisance alimentaire, en particulier avec  l’agriculture péri-urbaine et les circuits courts de distribution. Et à commencer par la préservation de ce qui reste de la ceinture verte de Paris.

Cela rejoint les revendications du Triangle de Gonesse qui, comme nous, s’oppose depuis le début au schéma directeur du Grand Paris Express. Par des avis dans les enquêtes publiques, par des recours juridiques, par une lettre ouverte au premier ministre…
Chez nous le tracé ouest de la ligne 18 traverse la zone agricole protégée et met en danger les fonctionnalités des exploitations riveraines. C’est l’avenir des agriculteurs du Plateau qui est en jeu.

Le week-end prochain nous participerons aux « Marches des Terres » : https://les-marches-des-terres.com/
Vous êtes les bienvenus pour vous joindre au convoi sud qui partira de Saclay le 9 octobre à 9h30.
Détails sur : https://nonalaligne18.fr/marche-des-terres-9-10-octobre/
Parcours du premier jour sur : https://goo.gl/maps/gptQNt2pDjq2xKWP7
Pique-nique « tiré du sac » à 13h, entre les gares TGV et RER Massy-Palaiseau
C’est long, 27kms, mais possibilité de rejoindre ou de quitter aux gares RER ou métro.
Les endurcis peuvent bivouaquer le soir du 9 à Malakoff : cantine au parking Malaqueen, petite soirée, couchage (à la dure avec moyens propres, ou Gymnase Rousseau proche). Pour réserver : https://lite.framacalc.org/9pyh-besoins-hebergement-samedi-soir-a-malakoff
Départ le 10 vers Paris , 9h30 Métro Etienne Dolet à Malakoff
Halte à l’Hôtel de Ville, à 13h, concentration avec les 3 autres marches, déjeuner (ressources personnelles, ressources locales, et peut-être un en-cas exotique bénévole)
Marche groupée vers Matignon (14h ?).
Soyons nombreux !

Info Citoyen, Plateau de Saclay, Vallée de la Bièvre

Le Sage de Jouy et CEA

Sep 30, 2021

C’était il y a 75 ans, pendant l’automne 1946. La perspective de construction du « CEA » induit un séisme d’appréhension dans la région et trouble la quiétude du Plateau de Saclay. Léon Blum est mêlé à ces réflexions d’une part en tant que Jovacien et d’autre part comme soutien politique et actif de la recherche scientifique pendant le Front populaire.  

Projet de Centre Atomique

            En 1945, tirant les leçons de la guerre, le Général de Gaulle demande à Frédéric Joliot-Curie, chercheur engagé et directeur du CNRS flambant neuf, et à Raoul Dautry, ministre de la reconstruction et de l’urbanisme, de mettre en place le Commissariat à l’Energie Atomique, à visées pacifistes bien sûr.

Le projet d’installer un Centre d’études localisé sur le plateau de Saclay date de mars 1946[1]. Déjà, l’idée avait germé d’un superorganisme qui allait rassembler et coordonner toutes les recherches fondamentales et appliquées, du moins en physique nucléaire. Il s’agissait de créer « un centre pour mille ans. Le plan de masse : Versailles en petit »[2].

En 1947, la décision est prise de construire le Centre atomique de Saclay, les arguments pour le choix du lieu étant exactement les mêmes que quelques décennies plus tard : trop d’espaces libres trop près de Paris. Mais l’atome fait peur. Les populations sont inquiètes. Les agriculteurs hostiles protestent. Malgré tout, la perspective des retombées économiques est indéniable et les maires des communes environnantes ont du mal à faire valoir des arguments défavorables. Sauf le maire de Jouy-en-Josas qui possède dans sa commune un atout, maître à deux égards.

Deux raisons pour faire appel à Léon Blum

            La première raison nous entraine dix ans plus tôt. En 1936, parmi d’autres innovations plus célèbres et plus populaires, Léon Blum crée le tout premier (sous-)secrétariat d’état à la recherche scientifique, création assortie d’une deuxième originalité où il fait valoir son féminisme : alors que les femmes n’ont pas le droit de vote, il sollicite Irène Joliot-Curie pour occuper le poste de ministre. Celle-ci, dévouée aux deux causes -féministe et scientifique-, n’accepte ce poste que pour un laps de temps court, mais productif car elle imposera plusieurs orientations majeures. Ces mesures déterminantes expliquent en partie le prestige dont jouit Léon Blum auprès des chercheurs.

La deuxième raison est la suivante : après la Libération et quelques mois d’errance, le couple Blum vient élire domicile à Jouy-en-Josas et s’installe au Clos des Metz dans la charmante propriété de Jeanne sa femme. Si, au crépuscule d’une vie tellement féconde, il trouve là un havre, ce n’est pas l’inactivité paresseuse d’un retraité indolent que se plaisent à décrire tant d’écrits (pour ne pas dire tous). Dans sa jolie fermette, Blum reste avant tout un chef politique dont l’auréole et la stature ont profondément marqué l’époque contemporaine. Aussi, pendant les cinq années passées à Jouy (1945-1950), il conserve un rôle de premier plan (au moins jusqu’à fin 1948, date à laquelle la maladie le terrasse) qui le fait voyager et s’impliquer dans des actions d’envergure telles que les négociations de l’annulation de la dette de la France à New-York, la rénovation de la SFIO (Section Française de l’Internationale Ouvrière), la participation au gouvernement, le projet de communauté européenne de défense, la fondation et la vice-présidence de l’Unesco, la sympathie active pour la cause sioniste, etc… De plus, hormis l’écriture de l’éditorial quotidien pour « Le Populaire », organe central de la SFIO, hormis ses activités littéraires, il faut compter les visites – ou plutôt les consultations- que nombre d’hommes politiques et publiques rendent au « Sage de Jouy ». Considéré comme parfaitement intégré et très apprécié par la population pour ses qualités humaines, il est intéressé par la vie de la commune et, bien que très rares, ses rapports avec les édiles de la ville sont très cordiaux.

Intervention du maire de Jouy

C’est armés de ces arguments qu’Emile Mousseau, maire de Jouy (1946-47 et 47-59), et le conseil municipal se tournent vers Léon Blum comme ultime recours contre le projet de centre d’études nucléaires sur la commune adjacente. L’épisode est raconté par Jacques Toutain (maire de Jouy de 1970 à 1985) qui développe avec chaleur le séjour de Léon Blum à Jouy[3].

Il est inutile de détailler le contenu de la délibération du conseil municipal car aucun des sept arguments proclamés ne déparerait les pétitions des mouvements écologiques et antinucléaires d’aujourd’hui. En conclusion, le délibéré du conseil énonce qu’il « exige qu’il ne puisse être donné suite aux projets en question ainsi qu’à l’installation d’autres usines dans notre Région où les échos des bombardements de la dernière guerre sont à peine éteints, sans l’ouverture d’une enquête publique, comme pour toute établissement présumé insalubre. »

Blum reçoit les élus du peuple au Clos des Metz, les écoute attentivement, se range à leur opinion et intervient énergiquement auprès des responsables du projet, en janvier 1947, alors qu’il venait d’effectuer une courte Présidence du gouvernement provisoire.

L’ordonnance d’expropriation des terrains de Saclay n’est prise que le 15 avril 1947.

Epilogue

Léon Blum n’a pas réussi à empêcher la création du CEN de Saclay mais il a bien réussi à indisposer ses amis physiciens nobélisés. En effet, Blum, le littéraire de haut vol, avait noué des liens d’amitié avec tous les grands scientifiques de l’époque, presque tous engagés dans l’organisation de la recherche en France. Témoin le contenu de la très longue préface du livre sur Jean Perrin d’Albert Ranc « Un grand savant au service du socialisme »[4]. La plupart de ces physiciens étaient socialistes.

Le 19 février 1947, Joliot lui écrit qu’il a été « très étonné et peiné » de le voir « s’opposer énergiquement au projet ». Brume vite dissipée.

                                                                                                Danièle Bouchet


[1] En 1942, Irène Joliot-Curie évoque « un grand terrain non bâti à vendre sur le Plateau de Saclay…. qui serait très intéressant pour y construire toute une cité universitaire ».

[2] « Frédéric Joliot-Curie », Michel Pinault, éd Odile Jacob Paris 2000

[3] « De Chazeron à Jouy en Josas : le long voyage de Léon Blum (1941-1950) », allocution de Jacques Toutain, Documents, supplément de Jouy Information, n°6, janvier 1980

[4] Éditions de la liberté, Paris, 1945

Art, Info Citoyen, Vallée de la Bièvre

Foire internationale de la Photo à bievres

Sep 16, 2021


Un visiteur intéressé

Farouk Ferrah – boxeur – avec son fils

Thierry Camus, LIGNES & COULEURS

Exposition des oeuvres de Claudine Doury à la Foire de la Photo de Bièvres

57e édition de la Foire internationale de la photo de Bièvres légèrement décalée – cause Covid – de juin (habituellement) aux 11 et 12 septembre. Pour le reste, même ambiance. On va d’un espace à un autre (marché de l’occasion, antiquités photographiques, voire épaves pour pièces), d’une conférence (Vendre une photo n’est pas réservé aux pros ?! avec Eric Delamarre, photographe et consultant) à une autre (La photo de voyage : conseils pour réussir vos images avec Vincent Frances, fondateur de l’agence de voyage photo Photographes du Monde). 

On ressort manger un morceau, on remontre son tampon (tous vaccinés) sur le bras et de nouveau, on regarde les plaques stéréoscopiques de Sophie Faguay (Photographies anciennes), en se plaçant face au soleil, un vieux procédé qui permet de voir en relief… et on ne s’arrête plus. _Vous avez dit mouvement perpétuel ? Ici à Bièvres (91), à la fois verdoyante et proche (au sud-ouest) de Paris, la photographie tient une place importante depuis que deux amateurs passionnés : Jean puis André Fage, ont lancé le mouvement dans les années 50. Que depuis rien n’arrête !

Christophe Baillat

Bon plans, Info Citoyen, Vallée de la Bièvre

Notre cave à Jouy est pleine

Avr 17, 2021

C’est l’heure calme, il est 13 h 30, entre un livreur de la brasserie parisienne Kraft (La Parisienne…) avec quelques cartons. « On reçoit aujourd’hui une de leurs bières, l’Intra-muros qui sera classée bio l’année prochaine ». Céline Beaugrand dos Santos explique qu’on cultive du houblon dans Paris, sur les toits ou sur des surfaces qui remplacent d’anciennes friches. Il fait bon vivre à Jouy-en-Josas, apprécie Nelson, « l’accueil des habitants a été magique, clients ou non, ils sont venus en curieux, attentifs au changement d’enseigne sur leur territoire ».

L’installation remonte à fin 2020 et tient ses promesses au-delà des espérances des époux associés.

Le Casier, la cave de la vallée de la Bièvre, 11 rue Oberkampf 78350 Jouy-en-Josas

Nous pourrions parler longtemps de la bière que Céline a défendue dès le début (elle a de qui tenir, son père a aidé la brasserie rennaise Skumenn via le crowdfunding pour le lancement). En général, les brasseurs ne savent pas quoi faire des résidus : moût et drèches, L’Atelier Second Life a eu l’idée d’utiliser ces dernières (des céréales compressées) pour en faire des gâteaux apéritifs, les Crackers.

Goûter le vin est comparable à une pratique sportive

Il fallait faire entrer 300 références dans 23 m2.

Nous avons fait appel à un ami architecte, Serge Attalah, qui outre un restaurant que nous possédons à Paris, a également conçu le Club Med de Marrakech. Il nous a donné un coup de main ». La vaisselle utilisée dans le restaurant parisien est d’ailleurs exposée. Elle témoigne de la double activité des associés qui forment également un couple dans la vie. L’un et l’autre ont une formation en œnologie reçue à l’École du vin française (de 12 à 30 vins goûtés par jour). Nelson se souvient de son premier verre, bu en 1985, un vin de Beaune chez le vigneron Claude Maréchal. Depuis, l’un et l’autre ont beaucoup appris, par les dégustations, les rencontres et leur restaurant parisien.

Êtes-vous expérimenté ou en construction ?

Le meilleur moment pour goûter un vin est entre 10 h et 11 h ½ pour être en forme. En forme ? Céline et Nelson expliquent : « On doit être concentré pour mobiliser son cerveau. Plus on est expérimenté plus on va droit au but car la bibliothèque est déjà constituée. Par exemple, il y a une case “boisé”.  Mais si on est en cours de construction, ça prend plus de temps ». La mémoire sensorielle sollicitée et entraînée sur tous les terrains, le commentaire vient spontanément pour parler de tel ou tel flacon. « Il faut prendre du temps sur un vin, le décortiquer, c’est un long travail d’archives. C’est à la portée de tout le monde si on s’y intéresse un peu ». Ce meuble est la perle que l’on repère tout de suite, pratique pour l’interview (le micro est posé dessus), il est surtout prévu pour des dégustations. Y trônent en majesté des Porto rares, comme ces cuvées de 1970, 2003 et des Champagne rosés. De part et d’autre de cet îlot central, les rayons avec les bouteilles. Un alignement seulement interrompu par la vaisselle déjà mentionnée qui « casse le rythme et aère un peu » :  un grand plat et des bols très colorés (idéal pour des verrines ou des porte-carottes). Elle est proposée à la vente. Parmi les bouteilles, il y en a une, un vin italien, le Capo di Stato (photo), si connue que son nom est seulement au dos, sur la contre-étiquette. Le nom de la cuvée a été donné en hommage à une visite au domaine du Général de Gaulle. Indépendants, Céline & Nelson choisissent leurs vins et sont à l’écoute de leurs clients pour rechercher leurs vins préférés.

Christophe Baillat


Auteur de « Itinéraire d’un fils d’enseignants – Un amour soudain pour l’entreprise », paru en mars 2021 aux Editions Les Impliqués

Info Citoyen, Vallée de la Bièvre

👽 Dimanche, pas de confinement COVID-19 !

Mar 13, 2020

😨  Dans les 35000 communes françaises, ce sera la grande procession sex-annuelle.

Rien à voir avec une quelconque orgie dionysiaque, c’est un évènement que le gouvernement n’annulera pas : l’élection des Conseils Municipaux.

Saluons tous ces volontaires qui se présentent à notre suffrage pour prendre en charge la gestion de notre intérêt public, qu’il soit local ou communautaire. Mais c’est sur leur profession de foi que nous les retiendrons.

Les AVB ont soumis dans 8 communes de la haute vallée une charte d’engagement sur les orientations des candidats en matière d’environnement et de cadre de vie.

Cinq engagements communs portant sur :

  1. Préserver les espaces naturels de la vallée de la Bièvre
  2. Maitriser l’urbanisation
  3. Diminuer le trafic routier en favorisant des moyens de transport altenatifs
  4. Garantir la qualité des eaux de la Bièvre et préserver ses abords
  5. Faire de la concertation un atout pour mieux décider

Plus des engagements spécifiques à chaque commune.

Toutes les listes (sauf une qui boude à Buc) ont répondu dans les délais et vous trouverez les questions et les réponses sur le site internet  http://www.bievre.org/

Saclay est une commune du plateau ? Mais le plateau, avec ses rigoles et ses étangs, est un élément majeur du bassin versant de la rivière. Saclay n’est pas un isolat et la position des voisins peut intéresser les saclaysiens.

Au premier chef, voir les réponses des candidats en lice dans la commune :

Saclay Avenir et Vivre Saclay

Cela vous aide à choisir ? Pas de chance, les deux listes s’engagent pleinement et en détail sur les préconisations des AVB. Ou plutôt de la chance car elles sont conscientes des enjeux qui nous préoccupent.

Alors quel que soit votre choix, nous sommes satisfaits d’avoir été entendus.

😁👋 Mais allez voter !

Michel Meunier

Agenda, Art, Vallée de la Bièvre

56e Foire Internationale de la photo à Bièvres

Mai 20, 2019

Le marché de l’occasion et des antiquités photographiques, bien installé, constitue pour les amateurs une véritable chasse au trésor

Evènement organisé par le Photoclub Paris Val-de-Bièvre avec la commune de Bièvres, cette nouvelle Foire proposera : expositions, conférences, animations et une centaine de stands d’exposants ainsi que deux concours.

Le programme est très riche, en voici un aperçu

1er juin : 13 h-19 h – 2 juin : 8 h-18 h – (marché des artistes 9 h-18 h). Dimitri Beck présidera le jury de la Foire 2019

1er au 3 juin : Expositions Denis Bourges

Au sein d’une même ville, d’un même lieu, des hommes et des femmes se côtoient sans se rejoindre, des univers cohabitent sans se voir. Sur le Mont Saint-Michel, ENTRE DEUX MONDES souligne cette dualité rythmée de mystères : le monde moderne, celui des touristes et l’autre, traditionnel, celui des moines. L’étonnant paradoxe de ces deux mondes ainsi superposés révèle intensément les travers de notre société, de ses maux et ses aspirations

MEDECIN DE CAMPAGNE, « mes photographies racontent ce qui est habituellement tenu au secret médical : une intimité, une écoute, un lien social. La relation patient/médecin s’expérimente à chaque visite. Elle est à la fois universelle et intrinsèquement subjective. Se joue alors le rapport que nous entretenons à notre corps, à la maladie, à la vie, mais aussi à notre disparition… »

Schneck-Gérard-Bièvres

Plus d’informations sur les sites internet : https://www.facebook.com/Foire.Photo.Bievres/

Règlement du concours sur www.foirephoto-bievre.com

 

Entrée libre – Place de la Mairie de Bièvres (Essonne – France) Accès : 19 km de la Porte d’Orléans, par la N118 – RER C : gare de Bièvres

 

Info Citoyen, Vallée de la Bièvre

Balzac invité à la Maison Littéraire Victor Hugo

Mar 3, 2019

Nouvelle exposition dans le cadre du cycle* Victor Hugo et les Grands Esprits Universels proposée par la Maison Littéraire Victor Hugo, à partir du 2 mars 2019.

Photo Erik Tartrais

 

En août 1850, Victor Hugo tient dans sa main chaude celle d’Honoré de Balzac épuisé, c’est la fin d’une amitié. Après la fermeture hivernale, la Maison Littéraire de Victor Hugo (MLVH) à Bièvres ouvre grand ses portes à Balzac – inventeur du procédé de la réapparition des personnages – pour une exposition temporaire, à l’occasion du 220e anniversaire de sa naissance. Les documents (portrait-charge de Balzac par Nadar, photographie de Balzac par Nadar d’après daguerréotype… ) proviennent du fonds propre de la MLVH. En cours d’année, ils seront complétés par d’autres en provenance de Tours, Angers, Saché.

Commençons la visite.

La guide commente un buste en marbre de Carrare : « Hugo était ce beau jeune-homme. » L’écrivain a séjourné au château des Roches (où nous sommes) de 1828 à 1837, « c’est le Victor Hugo de l’énergie, de la jeunesse ».

Hugo comme Balzac, des travailleurs acharnés

Outre qu’ils sont contemporains : Balzac est né en 1799, Victor Hugo en 1802, ces deux écrivains réalistes observent leur temps, écrivent très vite (à seize ans, Hugo fit le pari d’écrire un roman en quinze jours et s’y tint. Plus tard, il écrira une pièce de théâtre en dix jours), se passionnent pour leurs recherches autour de l’humain, « aucune zone sociale n’échappe à Balzac ». Dans son roman Louis Lambert écrit en 1833, Balzac explique sa théorie de la volonté, lui qui a imposé à son corps d’écrire les quatre-vingt-dix volumes de La Comédie Humaine.

 Tous les sapins de la Forêt Noire ne valent pas l’acacia qui est dans la cour des Roches.  V.H

La Maison « entièrement privée » se visite en toute simplicité, accueillante aux randonneurs qui ne sont pas chaussés pour marcher sur une moquette claire. Un RDC et un étage, quatre salons de différentes couleurs. Avant ou après la visite, un agréable parc de onze hectares est ouvert à la promenade. La MLVH abrite plusieurs Trésors nationaux « au titre des monuments historiques » : le texte original d’un projet de décret écrit par V.H (amnistie des Communards), ses épreuves d’imprimerie corrigées (La Légende des siècles, Les Contemplations) au premier étage. Mais aussi des « copeaux » de V.H, ses brouillons de premier jet.

On découvre un Balzac touchant, complexé par son physique, auteur dont les textes sont diffusés à l’étranger sans rétribution (c’est pour cette raison qu’il est à l’origine de la Société des Gens de Lettres), détectant bien les erreurs (i.e mauvais calculs) que ses personnages commettent, mais incapable de voir les siennes, il se réfugiait à Saché (Indre et Loire) pour mettre ses créanciers à distance.

Ne cherchez pas la biographie de Balzac écrite par Stefan Zweig (Balzac Le roman de sa vie), la librairie est bien dotée mais uniquement avec les ouvrages de Victor Hugo.

La MLVH se visite le week-end de 14 h 30 à 18 h 30 et pour les groupes de plus de dix personnes, tous les jours, toute l’année, sur réservation.

Christophe Baillat

 

Maison Victor Hugo 45, rue de Vauboyen 91570 Bièvres

[email protected] ou Tél. 01.69.41.82.84

http://www.maisonlitterairedevictorhugo.net

 

* après les expositions George Sand, Alexandre Dumas, Shakespeare, Voltaire

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Programme du Salon du Livre-Exposition à Jouy-en-Josas

Oct 17, 2018

Venez nombreux découvrir le 1er Salon du Livre-Exposition dimanche.

Sa caravane d’auteurs et d’artistes, constituée au fil de rencontres en Seine-et-Marne, dans l’Yonne, le Loiret et mise en route en quelques mois grâce à Facebook, Marie-Jo(sée) Dumas-Suter est en passe de l’installer Place de la Marne, au centre-ville de Jouy-en-Josas, où ses invités vont la suivre. 

Un nouvel acteur associatif : le Cercle Littéraire et Artistique Jovacien est une nouvelle association qui fait ainsi son entrée dans le paysage de la commune. Elle propose également des séances de Dictées-Lectures.

Retrouvez dans cette caravane qui s’installe, où tous les genres seront représentés :

Guy Alamarguy, Cicéron Angledroit, Christophe Baillat, Bénédicte Boucher Krispien, Michèle Bouquot, Marie-Jo Chavenon, France Chesca, Claude Colson, Michèle Dassas, Marc Decaudin, Michèle & Philippe Fanelli, N.F. Tomaselli, Henri Girard, Anne Guerber, François-Régis Hoareau, Emilie Le Boullaire, Didier Lemoine, Véronique Lévy, Stéphie Marie, Frédéric Rebeyrolle, Dany Ribes, Bertrand Runtz, Romain Suerte, Pierre Thiry, Laurence Tournay, Noël Vernois, Alain Waltz, Jean-Yves Saez, François Goalëc…

Contact :  [email protected] ou 06.03.73.60.13

C.B

 

Vallée de la Bièvre

L’odeur qui s’est répandue dans la vallée, quelle en est l’origine ?

Nov 5, 2017
Véronique Lévy-Scheimann, 2023

Un soir*à HEC,

Deux étudiantes tiennent

Autour d’une table

Une sorte de conseil de cuisine.

Pour faire les plus belles hallot de l’année

Elles ont aligné tous les ingrédients sur la table :

Farine, eau, levure, huile, sucre et œufs

Chacun d’eux placé entre la recette et l’horloge.

Jamais on n’avait vu deux filles se mettre dans un état pareil

Attendraient-elles leur fiancé pour une permission

Elles consulteraient moins souvent le calendrier.

Le calendrier hébraïque des marées

Un petit livre qu’elles feraient mieux de laisser ouvert

Plutôt que de le manipuler sans arrêt comme elles le font

A une cadence de plus en plus rapide

Au fur et à mesure que l’heure se rapproche.

Seul, sous la table et dans le noir,

Le chandelier s’impatiente, lui aussi.

Avec tout leur cœur

Les étudiantes se préparent à accueillir le Chabbat**

Leurs yeux vont du petit livre vert à l’horloge

Et de l’horloge au petit livre vert.

Le tableau des entrées et des sorties

Indique pour chaque Chabbat

L’heure de la marée divine montante

Et l’heure de son reflux.

Aussi fixent-elles le cadran de l’horloge

Elles ne voudraient sous aucun prétexte rater Celui qui va bientôt entrer

Nul n’ouvrirait au facteur _ même s’il portait un recommandé _

Même s’il était le messager de Dieu

Elles le feraient décamper.

Ce jour est le « saint Chabbat » mondial

Qui n’arrive qu’une fois l’an.

_ Les bougies ! crient-elles, allumons les bougies !

Le moment tant attendu est enfin arrivé.

Chacune plonge sous la table tête la première

pour s’emparer du chandelier.

&

Alors que l’école est sur un plateau

A soixante-dix mètres

Peut-être cent mètres

Au-dessus de la vallée

On raconte qu’autrefois

HEC fut inondée.

En ce 12 novembre

En contrebas du plateau

Perdue dans le brouillard

La Bièvre se réveille

Ragaillardie par les pluies.

Aux abords de l’INRA

Sur la berge

Un cavalier tiré à quatre épingles

Attend l’ouverture du centre équestre de Vilvert.

Il voit l’herbe disparaître

Sous l’épais manteau des feuilles mortes.

&

Il fait six degrés

L’air transporte merveilleusement

Un mélange d’olives, d’épices et d’oignons frits.

&

_ Quelle est l’odeur qui domine ?

Se demandent en même temps

Le cavalier et l’étudiante qui photographie les hallot

tout juste sorties du four.

&

Un moment de pur silence.

Un reflet porté par la flamme des bougies

Sur la croûte badigeonnée avec un jaune d’œuf.

La cuisinière en chef, sans réfléchir:

_ Une odeur de Gan Eden.

&

L’odeur du Paradis descendue dans la vallée

Cette commune, c’est une bénédiction.

Christophe Baillat

* Soir du 11 au 12 novembre 2016

** Le Chabbat ou Shabbat est le jour de repos assigné au septième jour de la semaine juive, le samedi, qui commence dès la tombée de la nuit du vendredi.

 

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La Foire internationale de la photo à Bièvres élargit son champ

Juin 1, 2016

Foire à la photos de BièvresDepuis, plus de 50 ans, la Foire Internationale de la Photographie réunit, le temps d’un week-end, au sein de la commune de Bièvres tout ce qui concerne la photo d’hier et d’aujourd’hui. Si elle est particulièrement attachée à ses fondamentaux que sont le marché de l’occasion et des antiquités photographiques et le marché des artistes, elle est aussi ouverte aux nouvelles technologies et à la jeune création. Marché, expositions, animations, ateliers, conférences, la Foire est un lieu d’échange, de partage d’expériences pour les professionnels et un espace de découverte pour les amateurs ou simples visiteurs. La Foire a accueilli plus de 10.000 visiteurs en 2015.

Le vintage est partout

La Foire est reconnue internationalement pour son marché de l’occasion et des antiquités photographiques, un des plus grands d’Europe qui s’étend sur deux hectares en plein cœur de Bièvres. Un paradis pour les collectionneurs et chineurs qui viennent y faire leur chasse aux trésors : photosphères, lanternes magiques, chambres de voyage, stéréoscopes, visionneuses pour autochromes, appareils portefeuille, présentoirs à photos, livres, photos anciennes, affiches de cinéma, projecteurs, caméras, pellicules… L’offre est pléthorique et de qualité, elle reflète la diversité et l’étendue du patrimoine photographique. Les photographes amateurs ou professionnels viennent chercher du matériel : appareils, objectifs, accessoires… La Foire est un musée à ciel ouvert où plus de 200 exposants proposent leurs conseils et racontent l’histoire de ces occasions photographiques. Grâce à eux et aux collectionneurs, ces objets retrouveront une seconde vie.

Expositions : “Instants très simples” de Claude Batho et “Plage de couleurs” de John Batho

La commune de Bièvres invite pour la première fois, dans le cadre de la Foire, un couple de photographes : Claude et John Batho. Si John est spécialiste de la couleur, Claude travaillait essentiellement le noir et blanc. Disparue en 1981, elle photographiait l’intime. À travers les paysages familiers, les proches, les objets du quotidien, ses photos offrent une douce poésie. En particulier sa capacité à voir et à raconter est unique, elle magnifie les petits bonheurs de la vie. Tout est simple, tout est tendre, le temps est comme suspendu. Ses images sont ancrées dans le réel et pourtant s’ouvrent sur l’imaginaire, point de départ d’une rêverie.

L’oeuvre de John se fonde sur la couleur considérée pour elle-même, sur son pouvoir d’attraction, sa spécificité en photographie, en particulier sur sa capacité à perturber ou à surprendre la perception. « La couleur n’est pas vraiment saisie, elle saisit plutôt celui qui la regarde. Originale, elle ne se réduit pas à l’image d’elle-même. Elle se photographie pourtant, le photographe en rapporte les effets, en prolonge les vibrations » explique l’artiste. Auteur de célèbres séries (les Parasols, les Manèges, les Nageuses), John Batho a mis à profit l’invention de l’impression numérique. La liberté et la précision qu’elle offre lui ont permis d’affirmer son œuvre, d’explorer de nouveaux supports et d’atteindre une perfection qui distingue le style de ce grand artiste français de la couleur.

Les 9e

Rencontres de Bièvres sont des conférences, débats et démonstrations sur la photographie. Les procédés émergents, le matériel, le numérique, la chaîne graphique, le voyage, l’histoire de la photographie sont abordés par des spécialistes. Place aux artistes, le dimanche.

La jeune création s’illustre dans le marché des artistes qui accueille une centaine d’artistes-photographes dont les expositions sont individuelles ou collectives. Au cœur de ce marché, on parle art ou technique. De nombreux prix et lots sont remis dont le Grand Prix Jean & André Fage.

Avec les lectures de portfolio, le photographe amateur présente un ensemble de photos à un professionnel lequel analyse les clichés, révèle leurs points forts ou leurs faiblesses, leur originalité et ce que l’image dévoile (gratuit, sur réservation www.foirephoto-bievres.com).

Animations pour tous

La Foire propose de nombreuses animations tout au long du week-end : portraits gratuits dans le studio éphémère mis en place par le Photoclub de Paris Val-de-Bièvre (dimanche), découverte des procédés anciens grâce à l’animation de l’Image Latente, dédicaces d’ouvrages de photographes et visite commentée des expositions de Claude et John Batho…

La Foire est organisée par le Photoclub de Paris Val-de- Bièvre avec le concours de la commune de Bièvres. La Foire et le Musée Français de la Photographie ont été créés en 1964 par Jean et André Fage, fondateurs du Photoclub de Paris Val- de-Bièvre.

Informations pratiques

Entrée libre
Place de la Mairie de Bièvres

(Essonne – France)

Sam. 4 juin : 13h-20h

Dim. 5 juin : 7h-18h

Accès : 12 km au sud de Paris, par la N118

RER C : gare de Bièvres

Site internet :

http://www.foirephoto-bievres.com

Facebook : http://www.facebook.com/pages/Foire-Photo-Bievres/316871653659

 

Agenda, Bon plans, Vallée de la Bièvre

GÉOCACHING : LA CHASSE AUX TRÉSORS NOUVELLE GÉNÉRATION ARRIVE À BIEVRES !

Mai 13, 2016

Source: Mairie de Bièvres

geocaching bievresLa Commune de Bièvres et le Syndicat d’Initiative et Comité des Fêtes (SICF) organisent une initiation au Géocaching le samedi 21 mai. Un parcours dédié au lancement de l’évent* a été réalisé afin de faire connaître au plus grand nombre ce nouveau concept.

Activité ludique et originale de plein air, le géocaching est une chasse aux trésors high-tech qui se pratique à pied avec un GPS ou un smartphone. Un peu partout dans le monde, des boîtes (caches) parfois minuscules et parfois pleines d’objets surprise, sont dissimulées dans des lieux incontournables.

Nouveaux habitants, randonneurs et familles ont ainsi une belle occasion de découvrir ou de redécouvrir le patrimoine local et son histoire.

Un parcours de cinq caches a été créé ; ces caches sont dissimulées dans des lieux historiques à Bièvres. Les joueurs pourront, grâce à leur smartphone et guidés par l’application géocaching, découvrir l’histoire de chacun de ses lieux. Un livret « carte aux trésors » sera remis le jour de l’évènement aux personnes ne disposant pas d’outils GPS.

Ce nouveau concept récréatif et ludique né aux Etats-Unis dans les années 2000 est déjà considérablement développé dans le monde entier et notamment en France. Des communautés de géocacheurs se créent à travers le monde.

A Bièvres, il existe aujourd’hui une vingtaine de caches dissimulées par des géocacheurs passionnés de découvertes et d’aventures !

*Event : lieu de rencontre entre les géocacheurs pour discuter du géocaching et faire des caches à plusieurs.

Initiation samedi 21 mai à 14 h autour d’un café/thé gourmand,

salle du conseil municipal Mairie de Bièvres – Place de la Mairie 91570 – Bièvres

INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES :

Application 100% gratuite à télécharger sur google Play et Itunes ou téléchargement des feuilles de route sur www.bievres.fr

Télécharger la brochureLe géocaching à Bièvres – mai 2016

Bon plans, Vallée de la Bièvre

Un concept store dédié à l’enfant à Bièvres

Avr 6, 2015

Qui a dit que les concepts store n’existaient qu’à Paris ?

Ouvert depuis le 1er mai 2014 à Bièvres, le premier Concept Store dédié à l’enfant vous

plonge dans un univers magique de produits Authentiques, Originaux et de Qualité, qui

devrait satisfaire tous les Budgets.

Du Cadeau de Naissance au Cadeau d’Anniversaire, Marie, à l’origine du concept, vous

propose sa sélection de Vêtements (0-16 ans), d’Accessoires, de Jouets et d’articles de

Décoration qui égaieront le quotidien des bambins…et de leur maman !

Djeco, Numero 74, Omy, Emile et Ida, Aden+Anais, Bensimon, Le Marchand d’Etoiles,

Collégien, Bakker made with love, Le Trousselier… font partis des marques sélectionnées

par Blaise, le poisson rouge qui aime les fraises 😉 !

A découvrir très vite !

Blaise aime les fraises

13 rue de Paris

91570 Bièvres

Tel: 06.72.18.24.78 // 09.84.44.35.58

Info Citoyen, Vallée de la Bièvre

Jouy en Josas : « La Maison qui Déménage »

Mar 22, 2015

Jouy en Josas accueille une maison démontable, un concept innovant de logement, bonne manière d’occuper de manière utile les « délaissés » des terrains communaux, ou le foncier en attente d’aménagement. Cette maison se monte et se démonte en 10 jours, en ne laissant aucune empreinte sur le terrain. Elle permet à une famille de pouvoir être logée décemment en attendant un logement plus durable. Dans le domaine du logement, chaque goutte d’eau compte….

Jouy-en-Josas est la première ville de France à accueillir la maison qui déménage.
Jouy-en-Josas est la première ville de France à accueillir la maison qui déménage.

Une maison qui se monte en dix jours, se démonte en cinq et ne demande aucune fondation… Elle existe désormais et c’est à Jouy-en-Josas que la toute première a été installée, à côté du passage à niveau, sur la route des Loges-en-Josas.
Cet exploit, c’est Habitat et Humanisme qui l’a réussi. Mais pas seul. «L’idée vient d’une rencontre avec les concepteurs de cette maison, explique Olivier Launay, directeur d’Habitat et Humanisme Île-de-France. Il s’agit de deux architectes, un peu militants, qui ont créé la société “Univers et conseils“ portant un projet de maison écologique, simple et peu chère. Lorsqu’ils nous ont dit que cette maison était démontable, cela a fait tilt !»

40m2, deux chambres

Compte tenu de la situation du logement en Île-de-France (près de 600 000 demandes en attente), le projet est donc une aubaine pour Habitat et Humanisme qui agit depuis plus de 25 ans en faveur du logement et de l’insertion des personnes en difficulté.
«L’Île-de-France manque de foncier disponible, poursuit Olivier Launay. Mais il y a beaucoup de terrains qui ne sont pas utilisés pendant des années. C’est pour cela qu’il nous fallait un produit réversible.» Après la construction d’un prototype et l’accueil très positif du public, Habitat et Humanisme a «fait le tour des communes avec qui on s’entendait bien». A Jouy justement, le projet de maison intergénérationnelle lie déjà la mairie à l’organisme. C’est donc naturellement qu’Olivier Launay s’est tourné vers la Ville qui a répondu positivement.
Ainsi, depuis quelques jours, une maison en bois de 40m2 comprenant une pièce à vivre, deux chambre et une salle de bain a été installée sur le terrain dit de la “casse à Bécquelin“. «Nous occupons une partie de ce terrain, qui est clôturé et terrassé avec un petit jardin privatif. La Ville a mis ce terrain à notre disposition pour une durée de quatre ans, indique Olivier Launay. Cela nous permettra de loger deux familles. Car en général, nous accueillons une famille et la suivons pendant deux ans avant de trouver un logement pérenne.»
D’un coût d’un peu moins de 1 500 euros/m2 (peu cher pour la région), la maison qui déménage a été financée par des fondations privées mais aussi un appel aux dons sur le site Kiss kiss bank bank. A terme Olivier Launay espère en réduire le coût, grâce à une fabrication en série.
Habitat et Humanisme se donne six mois pour “tester“ cette maison démontable. «On en fera surement d’autres, indique le directeur régional d’Habitat et Humanisme. Mais il faut aussi convaincre l’Etat de subventionner ce type de logement et voir si l’on peut avoir des conditions de permis de construire différentes de celles afférentes à une construction qui va rester plus de 200 ans !»
La maison qui déménage sera inaugurée le 8 avril. Ce même jour, Habitat et Humanisme donnera une conférence sur tous ses projets à 19h30 à la salle du Vieux-Marché. www.habitat-humanisme.org

 

La maison est un habitat :

– en bois, de 40 m2 et constitué d’éléments modulaires

– Écologique, démontable-remontable et limitant l’empreinte environnementale

– Adapté à l’habitat temporaire et mobile

 

Il s’agit d’une construction économique et de série, offrant une grande variété d’usages pérennes ou temporaires. Elle répond aux règlementations selon l’usage (RT 2012 et handicap…) Entièrement construite en France avec des Compagnons charpentiers et favorisant les circuits courts dans le choix des produits, la maison qui déménage ! allie performance économique et respect de l’environnement.

 

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La maison qui déménage !, un logement temporaire pour une famille

La maison qui déménage ! peut-être une solution rapide de logement pour des familles en difficulté. Conçue pour 4 personnes, elle peut accueillir un couple et 2 enfants. Sa compacité est un atout pour diminuer le loyer ; la maison qui déménage ! sera louée environ 7€ du m², soit 280 €.

 

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Sources : ville de Jouy en Josas

Les Nouvelles.fr

http://www.kisskissbankbank.com/la-maison-qui-demenage

http://www.habitat-humanisme.org

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Association, Spectacle, Vallée de la Bièvre

89ème Fête des Fraises de Bièvres

Juin 16, 2014

Ce dimanche s’est déroulé à Bièvres la 89ème édition de la Fête des Fraises. Le traditionnel défilé de chars était mené par les personnalités locales : Madame Anne Pelletier-Le Barbier maire de Bièvres, Monsieur Thomas Joly, conseiller général du Canton de Bièvres et Monsieur le maire de Palestrina, village italien jumelé avec la ville de Bièvres.

On a pu voir défiler dans la bonne humeur les différents chars présentés par les diverses associations bièvroises alors que passaient dans la foule des hôtesses qui distribuaient aux spectateurs des tartelettes aux fraises.

Le beau temps était de la partie. Outre ce défilé se tenait une fête foraine sur le parking près de la mairie. C’est un plaisir de voir que de telles traditions de fête continuent à apporter un peu de joie dans un contexte où les raisons de se réjouir se font rares.

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sont Bievres, Jouy en Josas, Orsay, Vauhallan.

Contact : Stanislas Berteloot [email protected]